Discours De Périclès

Devoir 02-HG20-09 29 2. Définissez les termes suivants en 2 - 3 lignes : a) impérialisme athénien b) démocratie directe c) ostracisme d) éphébie e) sacrifice f) magistrat à Athènes 3. Ces propositions sont-elles vraies ou fausses ? a) Périclès en faveur de la grandeur d’Athènes s’opposait à la guerre du Péloponnèse. b) Le quorum correspond à un nombre minimal de citoyens à l’assemblée pour que les votes soient valables. c) L’autel de sacrifice est toujours placé dans le temple en Grèce

prend » pas la parole dans une république. I. Pouvoir et parole sont intimement liés Ce constat est à la portée de tous. Chacun peut observer que les hommes (incluant les femmes) qui ont du pouvoir tiennent des discours. Et réciproquement toute personne qui a la possibilité de tenir un discours devant un public attentif possède par là même un pouvoir. À cet égard, on peut citer l’accès des femmes au pouvoir qui passe par le droit à la parole à la maison, dans la rue (combat de suffragettes) puis dans

est sympathique, il étudie la philosophie pendant 10 ans. Pendant ce temps, un nouveau tyran, Pisistrate, garde le pouvoir par la force jusqu’en 527 avec le concours de l’armée. Il emploie des mercenaires, il est très habile et rusé, et fait des discours séduisants. Il se rend populaire chez les vignerons montagnards et les artisans de la cité d’Athènes, il développe une politique de plein emploi, il fait obtenir du travail aux chômeurs, il lance une politique de grands travaux à Athènes (portuaire

donc des sujets interdits. Au comble du tabou athénien, Dicéopolis décide de décréter une paix personnelle, or en ceci il se désolidarise de la communauté. Il n'y a guère que Diogène le Cynique pour rejeter ainsi la communauté, ce « tout » que les discours officiels, comme l'Oraison funèbre prononcée par Péricles2, se plaisent à considérer comme homogène et devant primer sur les citoyens. On est obligé de se souvenir en lisant cette scène de la mésaventure de Thersite dans l'Iliade, où ce simple soldat

que modèles dont les choses sensibles ne sont que les images. Cette contemplation de l'intelligible en général et de la Beauté en particulier, assimilée aux divinités qui président à l'accouchement, conduit l'âme du disciple à enfanter de beaux discours sur le savoir et sur la vertu, à l'instar des poètes qui composent de beaux vers, et des législateurs qui promulguent de belles lois, cet enfantement spirituel transposant au niveau de l'âme une activité que l'ensemble des êtres humains, les

à telle ou telle « ethnie », mais cela impliquerait que les mathématiques ne sont que grecques et masculines ! Or si EUCLIDE, THALES et PYTHAGORE sont des mâles grecs ils ont inventé ou découvert (? ) un savoir dépassant à jamais le siècle de PERICLES ! Nous vivons dans une époque scientiste qui s’accompagne paradoxalement d’une conception relativiste dans le domaine de l’action . Parler d'un "choc des civilisations"illustre parfaitement ce que nous voulons dire car une telle opinion

contre certaines formes de religion. Il poursuit là une idée qui lui est chère et qu’il a déjà exposée dans Le Siècle de Louis XIV. Le règne du Roi-Soleil est apparu comme une période grandiose, un état achevé de la pensée humaine comme le siècle de Périclès, celui de César et d’Auguste ou celui des Médicis. Pourtant ce siècle de lumière fut terni par les luttes religieuses. Certes, à la suite de Rabelais, il critique l’abus de la bonne chère dans le clergé de province et assure que l’abbé de Kerkabon

contre certaines formes de religion. Il poursuit là une idée qui lui est chère et qu’il a déjà exposée dans Le Siècle de Louis XIV. Le règne du Roi-Soleil est apparu comme une période grandiose, un état achevé de la pensée humaine comme le siècle de Périclès, celui de César et d’Auguste ou celui des Médicis. Pourtant ce siècle de lumière fut terni par les luttes religieuses. Certes, à la suite de Rabelais, il critique l’abus de la bonne chère dans le clergé de province et assure que l’abbé de Kerkabon

que c’est une multitude aveugle, et que légiférer est une tâche ardue. Il faudrait donc, dans la mesure où le peuple n’est pas assez éclairé et compétent, qu’ils soit guidé par une grande conscience, un esprit supérieur, un grand législateur (ex: Périclès, philosophe-roi de Platon, ...). V - Le gouvernement Dans les méandres de sa pensée, Rousseau est pour le pouvoir du peuple. Dans un des chapitres de son ouvrage, il réfléchit sur la meilleure forme de gouvernement. Il passe en revue 3 formes de gouvernement:

entre ‎l'homme et la femme. Malgré quelques exceptions, comme Aspasie de ‎Milet, femme de l'homme d'État athénien Périclès (vers 495-429 avant J.-C.), ‎généralement les femmes grecques doivent se tenir à l'écart de la vie de la cité et ‎travailler « la laine entre quatre murs », ce que Xénophon critique. Il adopte donc un point de vue dépréciatif afin d'alimenter ensuite son propre discours, dans lequel la femme contraste avec l'enfermement énoncé pour les athéniens. Il aborde ensuite, en opposant