Discours De Périclès

stratégie par une logistique Les hô po st vraiment des entrepreneurs po qui vt développer une rationalité gestionnaire et communicationnelle. La com° a pr vocation de permettre une certaine gestion de l’opinion, en renforçant, appuyant le discours des élus. Ces motifs de pérennisation ont favorisé la création de services de com° ds les institutions publiques. Com° médiatique : nécessaire aux dvlpmt des carrières po. Devenue un critère de sélection reconnu du personnel politique. Cf

Le théâtre élisabéthain est aussi une façon de parler : de la langue parlée familière, directe, savoureuse et concrète à la langue savante et poétique ; de la prose (pour la comédie) aux vers (pour la tragédie), la rhétorique est reine : le discours est formel et structuré pour persuader et émouvoir. Les structures sont d’abord rigides et mécaniques (répétition, allitération, comparaison, etc.) puis elles s’assouplissent et se diversifient pour exprimer toutes les nuances de la pensée.

rapport entre une législation juste et les conseils justes du sage. Dans ses encouragements à vivre honnêtement dans la cité dans laquelle on réside, Démocrite, qui, après bien des voyages, séjourne dans l’Athènes démocratique équilibrée de l’époque de Périclès, inscrit ses préceptes en une triple activité : il reconnaît l’accord entre la loi juste, des gouvernants justes et ses propres réflexions de sage sur la justice. « Il convient de respecter la loi, le magistrat, et celui qui est le plus sage. » Dans

la représentation entre acteurs et chœur. Les pièces sont écrites avec cette distribution entre les deux. Malgré l'étymologie du terme « dramaturgie », la scène antique fonctionne surtout sur le principe du discours et de la parole : les actions passent toujours par le filtre du discours et sont prises en charge par la parole. En fait, les acteurs racontent ce qu'ils font. Le personnage significatif de ce principe est le messager. C'est un personnage qui vient raconter les bataille, les combats

longtemps. Principe Les règles ou les principes qui régissent les modes d'expression des populations sont les éléments clef qui caractérisent toute démocratie. « La démocratie c'est le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple. » (Périclès, avant Abraham Lincoln). Cette définition a deux conséquences directes : • dans l'essence démocratique, les représentants d'un peuple ne peuvent être issus que de celui-ci, ce qui oppose fondamentalement la démocratie à tout système de type

vont soulever concerne la hiérarchie des valeurs. Kelsen va considérer que chaque philo du droit tant à hiérarchiser des valeurs, morales, politiques, et à rendre une valeur proéminente par rapport à une autre. Or pour lui comment peut-on tenir un discours cohérent sur une valeur que ne renvoi à aucun contenu. Confusion entre l’interprétation des normes juridiques et le jugement de valeur. Le principal danger pour Kelsen de confondre les deux. Forme d’antagonisme entre ces deux approches, Villey a

Au 5e siècle, le terme de sophiste désigne une classe itinérante de penseur qui enseignait l'excellence, la vertu. Pour réussir à convaincre leur auditoire, ces personnes faisaient usage de la rhétorique de façon très importante. La science du discours était une science particulièrement précieuse dans la vie politique en Grèce (car il y avait beaucoup de débat, le meilleur orateur gagnait le débat et obtenait la confiance du peuple). Les sophistes se faisaient rémunérer pour enseigner ce savoir

LA MYTHOLOGIE ------------------------------------------------- Mythologie Le dieu Thor de la mythologie nordique affrontant les géants, M. E. Winge, 1872. La mythologie est (du grec μυθολογία, de μῦθος mythe et λόγος discours), soit un ensemble de mythes liés à une civilisation, unereligion ou un thème particulier, soit l'étude de ces mythes. Les chercheurs qui étudient les mythologies sont appelés « mythologues ». Comprise comme ensemble de mythes, la notion de mythologie est généralement

Flammarion. Pour approfondir : ● Amouretti M.-Cl. & Ruzé F., Le monde grec antique, Hachette, coll. « HU », éd., 2003. ● Bertrand J.-M., Cités et royaumes du monde grec : espace et politique, Hachette, coll. « Carré Histoire », 1992. ● Brûlé P., Périclès, l’apogée d’Athènes, Gallimard, coll. « Découvertes », n° 217. ● Finley M. I., Esclavage antique et idéologie moderne, éd. de Minuit, 1981. ● Grimal P., La mythologie grecque, PUF, coll. « Que-sais-je ? », n° 582. Chapitre 3 - Citoyenneté

retrouve plusieurs sortes d'amour, que les grecs théorisent en 3 catégories : Éros : (dieu grec de l'amour) ; un amour passionnel qui a été théorisé par Platon (dans le banquet), amour lié au désir, à la possession de l'autre. Amour exclusif (voir discours d'Aristophane, désir de se réunir à l'être aimé qu'on a perdu). Mais Platon n'aime pas Aristophane, il le trouve faux. Qui montre, non pas l'amour tel qu'il est mais tel qu'il devrait être. Desiderare (sidus=étoile) : perte de l'étoile. Le désir