Discours direct

Étudiez les indications scéniques du texte à partir le tableau ci-dessous : (3pts) Le Décor Les gestes Les mouvements (4) 8- La bonne disait au professeur : ‘‘J’ai trouvé l’assiette. Je m’en vais ...’’ (1,5pt) Transformez cette phrase de discours direct au discours indirect. 9- Relevez deux indicateurs d'espace (1pt) II- PRODUCTION ÉCRITE : (07pts) Traitez l’un des deux sujets au choix : 1- Dans un texte de 6 à 7 lignes, faites le synopsis (résumé) de cette pièce théâtrale en vous basant sur

au passé-simple. On n'est alors plus seulement dans la vision et les pensées de Boule de Suif, masi dans la scène elle-même, l'action qui se déroule. Les autres éléments narrés, on s'arrête ici pour laisser place à deux formules transposées au discours direct : "...". Mais on s'arrête sur celle-ci précisemment parce qu'elles ont une importance capitale : elles closent le récit en sonnant l'apogée du mépris et de la méchanceté auquel le lecteur n'avait pas encore été confronté directement, mais uniquement

personnage. Un autoportrait peu flatteur : La présentation du personnage va être surtout faite par le principal intéressé : pour le narrateur c’est une façon de le mettre au 1er plan, et de le caractériser principalement à travers ses paroles. Le discours de Jean Valjean prend la forme d’un autoportrait qui livre au lecteur les informations qui lui manquaient et répond donc aux questions qu’il se posait ( même rôle que l’incipit d’un roman ). Nous apprenons ainsi son identité l.591 et suivantes : « Je

personnages plus philosophiques à son histoire. Rosalie, dans Une vie est un personnage qui par lui-même réfléchit sur la vie et qui dénonce de façon directe une facette de la vie choisie par l’auteur. Comme à la fin du roman quand Rosalie dit : « La vie voyez-vous, ça n’est jamais si bon ou si mauvais qu’on croit. » C’est alors par le discours direct d’un personnage que le lecteur est mené à la réflexion. En outre, l’auteur peut aussi écrire une œuvre philosophique. Dans cet ouvrage, l’auteur peut

ce qui est réel et vrai, mais à travers la perspective d'un personnage. 2. - le discours – ou style - indirect libre : c'est un procédé qui consiste à rapporter des pensées ou des propos de personnages, sans les transcrire au discours direct (monologue ou dialogue), ni les rapporter au discours indirect simple (il a dit que, il prétendait que... etc.). Exemple : Extrait significatif (en italiques, marques du discours – ou style - indirect libre) : « Après l’ennui de cette déception, son cœur de nouveau

pauvre homme la jambe gauche et la main droite ». La phrase exclamative : « Eh ! Mon Dieu ! » montre l’horreur de Candide : « dans l’état où je te vois ». Candide a de la compassion pour le nègre : « mon ami », il le traite comme un frère. Le discours direct de Candide, qui pose des questions naïves, amène naturellement le témoignage du nègre. On remarque aussi que le nègre ne se révolte pas, il parle de son maître avec respect : « fameux ». Il dit à Candide : « j’attends mon maître », c’est le quotidien

définit cette particularité par l’expression de « double énonciation », qui rappelle que le théâtre est un monde de conventions et d’artifices, comme l’illustre le procédé de l'aparté destiné au seul public. Le texte de théâtre relève donc du discours direct, en vers ou en prose, destiné à la communication orale. L'échange à travers le dialogue est fait de répliques de tailles diverses, de l'échange vif par vers ou courtes phrases qui se répondent (stichomythie) aux répliques longues et élaborées

était devenu complètement chien, il n’y aurait plus ni souffrance, ni humiliation. Pour qu’il y ait humiliation, il faut que B. soit encore suffisamment homme pour ressentir l’humiliation d’être traité comme un chien.  les autres : phrase au discours direct, l. 18-19. résume la situation, mais dans l’ordre inverse du texte : « tu es un animal, tu es une merde, Brodeck » → être rien (cf. début du roman) 1.3. Le choix de Brodeck ?  Mais cette acceptation semble être déjà un début de résistance, *analyse

comte de Gormas. La quasi-totalité du discours d’Elvire à pour sujet le père de Chimène, même lorsque ces termes désignent d‘autres personnages ( «Don Rodrigue » et « Don Sanche » ), ils nous renseignent en réalité sur le Comte ( l‘adjectif « charmant » du domaine de la magie qualifiant celui qui l‘emploi) . De plus la Servante dresse son portrait en tant que personnage vaniteux en rapportant ses paroles au style direct ( vers 25-38 ). Ce type de discours rend la scène plus vivante certes mais

lecteur l’antagonisme entre le Cerf et le Lion. L’utilisation du discours direct donne plus de solennité aux paroles royales. Le « nous » de majesté instaure une distance renforcée par le chiasme des vers 35 et 36 « membres profanes / sacrés ongles ». Le stratagème du Cerf est amorcé par une phrase ambiguë et provocatrice : « le temps des pleurs est passé » au vers 39-40, immédiatement atténuée par le récit enchâssé et la prosopopée (discours d’un être inanimé ou mort) de la Reine. La périphrase « votre