Discours direct

conte les ravages causés par la peste, vue comme un châtiment divin, puis se concentre ensuite sur la recherche d’un sacrifice afin d’arrêter l’épidémie. La fable garde l’univers animal généralement utilisé par La Fontaine, et se construit par les discours successifs du lion, du renard et de l’âne, pour arriver à une morale sur l’injustice qui caractérise les relations entre les puissants et les faibles. (présentation du texte) De quelle manière La Fontaine nous apporte-t-il un témoignage engagé

La polyphonie I- Définition : 1- Bakhtine créa la polyphonie il la considère : plusieurs voix dans un même discours 2- Qui sont : l’énonciateur, locuteur, le sujet parlant a- Sujet parlant : producteur physique de l’énoncé c’est l’écrivain sujet réel psychosocial l’auteur b- Enonciation : compris comme le responsable de l’énonciation c- Instance narratrice : l’énonciateur c’est le point de repère de la référence du déictique 3- Puis elle fut développée par Ducrot : traitant de

A la lecture des documents du corpus composé de trois fables et d'un récit, plusieurs questions apparaissent. La première concerne les titres, la suivante l'utilisation de style direct dans les textes, la troisième la formulation des moralités et la dernière la description des personnages. En ce qui concerne le premier point formulé ainsi : > Ésope dans son titre cite deux animaux qui sont stéréotypés : le renard est par excellence l'être intelligent, le bouc fort mais stupide

humain B) Le discours de l’avocat - (l.22-23-24) Idée de pesanteur, oxymore avec «les heures interminables» et «eau incolore» - Prétention de l’avocat avec le «je» à la place de Meursault «moi aussi je» (l.11) -> redondance de l’égo  Eloge dithyrambique avec «éminent représentant du ministère public» (l.12) L’avocat se met en valeur - Discours ampoulé, expressions fleuries «j’y ai lu à livre ouvert» (l.13) «je me suis penché sur cette âme» (l.11) Discours direct de Camus pour

à cet amour impossible sont exacerbées par le ton du récit et surtout par un faux dialogue, cher à Marguerite Duras, qui s'attache à montrer que l'écriture ne peut rendre compte de la relation amoureuse. 1/ Les types de discours Le texte utilise tous les types de discours : La narration occupe une place réduite, volontairement neutre avec ses phrases brèves et son présent de narration que l'on peut interpréter comme la résurgence du passé sous forme de vision ou comme un texte cinématographique

histoire propose deux personnages : - « un petit Berbère » (1) = périphrase indéfinie. L’adjectif qualificatif donne une double indication : taille / âge mais également une dimension affective. C’est lui-même qui se présentera dans le discours direct (5) « Yalann Waldick ». Le lecteur reconnecte alors avec la réalité du roman. Il s’agit d’une anecdote du passé du narrateur – personnage principal. Cependant, tout au long de ce chapitre, il reste « le petit Berbère » (5, 17) = symbole fort,

politique dans les nombreux discours qu'il prononça devant l'Assemblée, par exemple celui qui nous intéresses ici, prononcé le 30 juin 1850. Hugo déploie dans cette intervention toutes ses qualités d'écrivain et d'orateur pour dénoncer la misère et choquer ses destinataires afin qu'ils réagissent et agissent politiquement contre ce fléau. Par quels moyens Hugo nous donne-t-il donc à voir la réalité atroce de cette misère? Nous verrons dans un premier temps que ce discours met en place un lien puissant

l’on reprend la lecture, il est difficile de se replonger dans le récit. La ponctuation est assez peu présente, seuls les points et les virgules sont utilisés. Il n’y a aucune ponctuation pour indiquer le passage entre une narration et un discours direct ou le changement de locuteur. Les seules manières de faire la distinction entre ces transitions sont d’une part la flexion, c’est-à-dire la variation de la forme des mots (conjugaison, etc.) et d’autre part l’analyse des pensées des personnages

ouvrages tel que "Lec Châtiments, "les Contemplations", également engagé, cet auteur a écrit des discours comme celui-ci "le discours à l'Assemblée". Dans cet extrait, l'écrivain explique les conditions de vie désastreuses des ouvriers et de leurs conséquences. Quels moyens V.H. utilise pour faire passer sa thèse et pour dénoncer la misère? La première partie montrera qu'Hugo prononce un discours éloquent pour persuader et convaincre son auditoire, puis dans une seconde partie, il dresse un tableau

désordre mental chez l’auteur qui s’aggrave progressivement pour arriver jusqu’à une folie hallucinatoire introduite par « Il me semblait ». Le style de l’œuvre contribue à cette impression de désordre mental: L’alternance de la narration et du discours direct au vers 3 à 5 et au vers 17 « Silence ! Elle a parlé ! » qui dramatise le texte, l’anaphore « que » des vers 12 à 16 qui alterne refus : « Qu’elle ne pouvait pas m’avoir ainsi quitté », « Que c’était impossible enfin qu’elle fût morte » et hallucination