Discours Hynkel

et à la fois un blâme. Avant de montrer que les jeunes ne savent pas aimer et les vieux savent aimer, il montre que si on regarde les choses superficiellement, on pourrait croire que le contraire. En effet, on remarque que Don Ruy Gomez mène un discours mélioratif au sujet des vieux qui « savent », d’après lui, aimer. Il reproche aux jeunes gens de ne pas savoir le faire. Il explique à Dona Sol pourquoi certains savent aimer, et d’autres non, afin de la persuader de l’aimer comme il l’aime. Don

pas appliquer cela « je ne pouvais entrer en ses bonnes grâces » lignes 49 et 50. Par la suite, Francion explique que son surveillant s'adressait à lui lorsqu'il faisait son discours sur « l'abstinence » ligne 50 ; Francion représente donc celui qui est dans l'excès, dans la goinfrerie. Le surveillant, pour appuyer son discours, fait référence à un adage, s'adressant de nouveau à Francion, « Il ne faut manger que pour vivre, non pas vivre pour manger » ligne 51, il allie cela à Cicéron ce qui est ridicule

parole des manuels est donc comme les autres, à prendre avec précautions et à remettre en question s’il le faut car elle ne doit pas être souveraine. Nous allons maintenant nous intéresser aux stratégies discursives. « Prendre le pouvoir par le discours, c’est modifier l’univers de croyances et de représentations de son ou ses co-énonciateur(s) » écrit Blandine Pennec en amorce de son intervention. B. Pennec mène une analyse sur les propos tenus en public par des notables de France et montre à quel

d’abord la description de la peste et sa symbolique, puis l’hypocrisie du Roi soutenue par le parti pris de la Cour et pour finir l’injuste procès. Ce texte est divisé en plusieurs parties : l’introduction, le discours du Lion, le discours du Renard et des autres animaux, le discours de l’âne et la morale. La première partie est une amorce de la critique faite par La Fontaine. En effet, elle traite du sujet de la Peste. Tout d’abord, le narrateur décrit cette maladie comme un mal envoyé par le

ou moins virulente, l’organisation de notre Démocratie à la française. Commençons d’ailleurs par le père de cette Constitution, le Général De Gaulle, qui lutta de toutes ses forces pour mettre fin à la Constitution de la IV ème République. Dans un discours prononcé lors d’une conférence de presse par un de ses lieutenants ; Jacques Debu-Bridel, le 8 septembre 1947, nous remarquerons et analyserons une critique frontale des partis politiques motivée par des buts spécifiques au Général De Gaulle et ses

La mise en spectacle de la parole   L’art du discours, une invention grecque. La mise en spectacle de la parole s’opère dès qu’elle s’adresse à autrui. La conversation la plus banale est déjà une mise en spectacle, pour la simple raison que tout ce qui entoure la parole (gestes, posture, regard, etc.) contribue à la visée de la parole. Cette question rappelle que parler est une action sur autrui, et que la démocratie, en affirmant la liberté d’expression de tout un chacun, entraîne une mise en

la gestuelle, du ton, et d'autres grands principes primordiaux à l’art de communiquer et persuader. C’est ainsi que Cicéron y décrit les manières les plus appropriées pour s'exprimer en public, et ce, afin de d’approcher au plus près le discours et la prestation parfaite. Il distingue trois genre de style oratoires : le simple, s’identifiant au langage de la raison, puis le tempéré, correspondant à l’imagination et aux sentiments calmes ou affectueux et enfin le sublime, appartenant

- Les personnages - Le dialogue (présence de verbes de discours) Le loup domine tout le passage : - l'agneau se met en situation d'infériorité Le discours est long au début car l'agneau s'explique avec le loup, puis le discours accélère dû à la mauvaise foie du loup qui veut en finir même si l'agneau a raison. Les arguments du loup reposent sur la force, il n'a pas d'arguments raisonnés. On a une simulation de procès ; discours totalitaire Morale : (On change d’énonciation, le "nous"

 Le discours électoral de Benkirane est-il populiste ? Préparé par : encadré par : RACHID MADINZI Pr Sabah Khaoua Doctorant en sciences du langage sabah-khaoua@hotmail.fr Madinzi-master@hotmail.com

Un éloge = l’apologie = le panégyrique = le dithyrambe (va de plus en plus fort ; le dithyrambe est composé que de compliments). Un plaidoyer ≠ un réquisitoire. (Défendre) (Accuser). Un plaidoyer est un discours pour défendre une cause. Un réquisitoire est un discours contre ; pour accuser. Réfuter ≠ confirmer. (S’opposer) (Être d’accord). Dénoncer ≠ Prôner. Une affirmation = assertion.