Discours indirect

du narrateur qui pointe le décalage entre la vision romanesque d'Emma et la réalité Description péjorative du duc (contraste avec l’admiration d’Emma) champ lexical de la déchéance ≠ superlatifs d’Emma jeu de superposition des points de vue discours indirect libre But : Donner à voir au lecteur ce que le personnage de perçoit pas b) Satire de l'aristocratie et de la société vision grotesque du duc = satire de l’aristocratie contraste entre le luxe du repas et la description du duc Ironie du narrateur

En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos, Sa femme, ses enfants, les soldats, les impôts, Le créancier, et la corvée Lui font d’un malheureux la peinture achevée. Monologue au discours indirect libre : bilan, introspection Il appelle la mort, elle vient sans tarder, Lui demande ce qu’il faut faire C’est, dit-il, afin de m’aider A recharger ce bois ; tu ne tarderas guère Le dialogue avec la mort Le trépas vient tout

Dès les premières lignes qui montre qu’il y a une absence de hiérarchie entre les événements dans ces deux romans. De plus, dans le texte de Malraux nous connaissons les pensées du personnage avec un point de vue interne notamment grâce au discours indirect libre comme les citations « Découvert ? Combattre, combattre des ennemis qui se défendent, des ennemis éveillés ! » (L. 8) on connaît ses sensations, ce qu’il perçoit ici, la lumière comme « du building voisin » (L.5) les bruits de la rue ; on

discerne une satire de la Cour (et de la société humaine) • une allusion aux rapports entre les hommes et les animaux. 1ère partie, v. 1-14 : la peinture de la peste. Cette première partie décrit la peste. 2ème partie, v. 15-33 : le discours du Roi. Il apparaît comme un bon roi, qui prend en charge l'avenir de son royaume. Il propose le sacrifice "du plus coupable", invite son Conseil à suivre son exemple (impératifs 1ère pers. pluriel), et commence son examen de conscience. Il s'accuse

«Alors/lui parti » ... Elles s'articulent autour de la présence ou absence de l'aumônier. Opposition entre l'homme face à autrui ou face à lui-même. Dans un premier temps, révolte très vivante, grâce au Discours indirect libre qui fait entendre la voix même de Meursault. Oralité presque théâtrale du discours. On a un net effet de réel. ... Puis passage à la paix. Noter les champs lexicaux (révolte partie 1 / paix partie 2) 2)  - Meursault s'affirme comme un homme dans ce mouvement de découverte de

.. L'on voit ici se mettre en place la symbolique animale : opposition entre les prédateurs (Loups, renards) et les proies (innocentes !), entre animaux belliqueux et pacifiques (les tourterelles, symbole de l'amour). 2ème partie, v. 15-33 : le discours du Roi. Ici, celui-ci n'est pas trop malmené. Il apparaît même comme un bon roi, qui prend en charge l'avenir de son royaume. Il propose le sacrifice "du plus coupable", argumente par des références historiques, invite son Conseil à suivre son exemple

était froide comme un grenier dont la lucarne est au nord, et l’ennui, araignée silencieuse, Filait sa toile dans l’ombre, à tous les coins de son cœur.>> (page 42). Flaubert utilise aussi le discours indirect libre pour ressortir l’esthétique. Ce type de discours rapporté qui fond les paroles ou les pensées du personnage dans la narration. Il permet au narrateur de transcrire les pensées intimes d’un personnage, même celles qui n’ont pas été réellement exprimées dans l’œuvre

qu'ils s'arrêteraient pour vivre », on voit un rêve éveillé d'une vie simple et proche de la nature ornée de tous les artifices et les conforts de la civilisation. Remarquable est l'emploi du conditionnel et de l'imparfait qui caractérisent le discours indirect libre et correspond au rêve d'Emma, l.8 « on marchait au pas … corset rouge ». Ce passage est décrit en focalisation interne et marque minutieusement les étapes du rêve. La longueur et le rythme des phrases redouble la longueur de la rêverie

dévoilant les ressentis de Thérèse : « Elle avait vécu, jusqu'à ce soir, d'être traquée ; maintenant que la voilà sauve, elle mesure son épuisement. », cela nous permet de mieux comprendre le personnage de Thérèse. Mauriac utilise également le discours indirect libre toujours dans ce même but : « Quelles seront les premières paroles de Bernard dont le témoignage l'a sauvée ? ». La ponctuation montre l'inquiétude de Thérèse, elle est déstabilisée : « le juge d'instruction... encore lui... ».

serait point arrivé. » Dans ce passage, le narrateur nous dévoile les réactions et les pensées du héros sans que celui-ci ait besoin de les exprimer ouvertement. Le narrateur lit dans l'esprit de son personnage. Les dernières phrases sont au discours indirect libre, mais ici encore tout se passe intérieurement. 2)Le point de vue externe : L'action semble perçue par un témoin extérieur et le narrateur ne donne aucune information sur l'intériorité des personnages, leurs intentions ou les éléments