Discours indirect

conjugales, ou les affrontements sociaux. Exemple d'oeuvre: Emile Zola : -« Pot-Bouille » : accouchement naturaliste : point de vue d’Adèle. Lecteur : peut suivre les douleurs du travail comme la souffrance psychologique du perso. Emploi du discours indirect libre + langage familier : effet de réel. -Zola préfère exhiber le réel que respecter la bienséance : détails physiques réels mais crus de l’enfantement. -Loin d’être triomphal et de former le centre de la scène, naissance de l’enfant est

A la fin du passage, on se rend compte de l’ennui que peut ressentir Thérèse. La famille « s’entretenait beaucoup de curé ». Ils habitent en face du presbytère (l.28) et un des sujets principaux de conversation reste la vacation du curé. Au discours indirect libre sont rapportées les questions qui se posaient sur les activités de ce pauvre religieux. Un manque de distraction et d’activité environnante pèse sur le toit des La Trave. C’est de cette manière que Mauriac accentue la solitude de son

enfants ne l'interpelleront pas. 1) Devant ceux qui son pour lui des "héros de chair et d'os", il éprouve tout d'abord un sentiment d'admiration et d'envie qu'exprime l'image "avec des yeux de pauvre" et la double exclamation hyperbolique au discours indirect libre "comme ils étaient forts et rapides! comme ils étaient beaux!" Sartre insiste sur le désir qu'éprouve l'enfant de participer, de partager les jeux des autres. Son humilité est telle qui l'en est a accepter des rôles de moins en moins

Chamalières-Clermont, Clermont-Paris, Paris-Valenciennes ». Le narrateur anonyme adopte le point de vue de Simon qui est d’économiser la dépense d’un parapluie parce que ce voyage lui a déjà couté chère. Il a acheté « un sandwich à prix d’or ». Par le discours indirect libre qui à pour principale fonction de rapporter les pensées intimes du personnages nous apprenons que l’essentiel dans la vie de Simon est de « casser sa croute, et trouver chaussure à son pied » c’est à dire de manger et d’avoir une compagne

BUTOR, La Modification I) Exploration des états d’âme du héros. 1) Un monologue intérieur / absence d’intrigue. - Les connecteurs logiques Mais l. 9, Alors l. 13, Enfin l. 22 traduisent le cheminement de la pensée du personnage. - discours indirect libre - Les phrases interrogatives traduisent les doutes de Léon. 2)L’analyse d’un sentiment de malaise - champ lexical du mal-être : Ce malaise est tant physique ( l. 13-14 : cette inquiétude qui gêne la circulation de votre sang

humaine : on y retrouve donc les couches populaires, le prolétariat, la prostitution… 5) Quels sont les procédés d’écriture privilégiés ? Les procédés d’écriture privilégiés sont : le point de vue interne, l’expansion de la description, le discours indirect libre, l’effet de réel. 6) Quels sont les thèmes privilégiés ? L’ascension sociale et la chute, la puissance de l’argent, l’amour et le désenchantement, la misère du peuple 7) Quels ont été les réactions des contemporains devant

regarder une femme « les yeux attendris, fixés sur la machine », « elle était bien gentille ». Il utilise également des verbes de perception tels que « entendait-on » afin de donner l’impression au lecteur d’y être. Il utilise également le discours indirect libre pour exprimer le point de vue de Mes-bottes afin Zola utilise un champ lexical technique afin de décrire l’alambic tel que « l’énorme cornue », «ce gros bedon de cuivre », « le bout du serpentin », afin de donner l’impression

est comme baigné de lumière : " s’allumaient ", " éclairaient toute la figure de leurs fils d’or ", " figure d’or ", " clarté autour de lui " : allusion à Vulcain, dieu des forgerons. " il devenait beau, tout-puissant, comme un bon Dieu " : discours indirect libre . C’est Gervaise qui pense (d’où la comparaison " comme un bon Dieu " et non " comme un dieu ") Conclusion : Cette évocation de Goujet a donc d’abord une portée argumentative : Zola veut démontrer la valeur du travail manuel

sur le prénom du personnage (asiatique) on nous dit d'abord ce qu'il ressent : de l'angoisse puis on nous dit ce qu'il fait (l20) et enfin ce qu'il pense(l23) On retrouve également le point de vue interne de la ligne 17 à 19 , ainsi que du discours indirect libre (l14 avec interrogations) -->cela permet de mettre en valeur le personnage. Cependant nous avons un point de vie omniscient (l1 à 5) qui nous donne l'impression d'un personnage divisé à la fois à l’intérieur et à l'extérieur de lui-même

corrige la perception des personnages. Comme dans l'amour, de Stendhal démontre les mécanismes qui conduisent à l'amour. b) Regard sentimental de Mme de Rênal Esprit romanesque, regard très subjectif Surprise et bonheur exprimés dans le discours indirect libre (l 23-25), traduisent la pensée de Mme de Rênal c) Regard de Julien Rêverie inaccessible car Mme de Rênal appelle Julien «  Monsieur », il se fait ses illusions Il imagine un scénario qui peut signifier pour lui une ascension sociale