Discours indirect

voix ) renforce l'image d'un personnage perdu face au discours des autres sur lui-même. Le narrateur raconte son histoire à la première personne et fait alterner 3 formes de discours rapportant les paroles prononcée lors de son procès.  Le discours direct : citation des propos des avocats et de ceux du gendarme : « il est vrai que j'ai tué »...  Le discours indirect : élément de la plaidoirie : ligne 13 à 16 ; ligne 31 à 35.  Le discours indirect libre : ligne 16 à 18 : « pour lui j'étais un fils

interne ----> l.3 on accède aux pensées de Roubaud -l.10/21 pensées rapportées au discours direct -l.14-15 discours indirect libre (rapporte les paroles (ou les pensées) de manière indirecte) -pensées retranscrites spontanément -même procédés l.22 ----> l.38 avec les réactions de Séverine -Focalisation interne (le narrateur raconte ce qu’il voit) l.24 -focalisation zéro (narrateur omniscient) l.26.29-30 -discours indirect libre l.32 -le lecteur suit d’abord les réactions de Séverine puis le cheminement

Les paroles rapportées D.D - D.I - D.I.L – R.P On peut rapporter les paroles des personnages de différentes manières : Au D.D = discours direct Au D.I = discours indirect Au D.I.L = discours indirect libre Au R.P = récit de paroles 1. Le D.D : le dialogue Définition : le narrateur rapporte les paroles des personnages exactement telles qu’elles ont été prononcées. . On utilise les deux points (avant le dialogue), des guillemets ouvrent et ferment le dialogue. Les tirets permettent un changement

suicide → interné à Paris - Équilibre entre le récit des péripéties, les descriptions limitées et fonctionnelles - Jeu entre discours direct / discours indirect / discours indirect libre - Utilisation de phrases plutôt courtes, ponctuation expressive et paragraphes (très) courts : mise en page aérée - Langue soutenue dans le récit et dynamique dans le discours direct - Pittoresque : transcription des paroles des personnages populaires 1000 Œuvre Romans Contes et nouvelles Chroniques

Césarée parce que la rêverie est en focalisation interne. Il n'y a pas de narrateur. Dans un récit à la troisième personne, le « je » apparaît dans les dialogues. Discours indirect libre: ce devrait être « il devenait gâteux » or ici: « je deviens gâteux » donc discours direct en apparence. Mais il y manque les indices du discours direct habituel (retour à la ligne, etc.) Mais ici monologue intérieur. Intro: topos du genre romanesque. « Mais il l'avait mal regardée » prend tout de suite le contre-pied

différents types de discours : Direct : vers 29-30 ; vers 29 : Que sens-tu ? dis-le moi : parle sans déguiser : rythme ternaire, 2 vbs à l’impératif + une question : c’est le roi qui domine le dialogue, l’autre ne peut qu’obéir ou répondre ; contradiction flagrante avec le sans déguiser par lequel le roi tente de montrer sa mansuétude.       Discours narrativisé : Le Singe approuva fort cette sévérité (20) ; L’autre aussitôt de s’excuser    (30)       Discours indirect libre : 23-24 (discours du singe)  

remarque qu’une seule marque de la première personne : « j’ai essayé » (l.1) ; la voix narrative cède devant celle du procureur, qui développe sa plaidoirie. Cette voix du procureur résonne soit par le biais du discours indirect, soit par le biais du discours direct ou du discours indirect libre. Le narrateur est un simple vecteur de la voix de la justice. Discrète ou forte, la voix du narrateur joue un rôle dans la satire de la justice qui est proposée dans chacun des textes. En effet, dans

rapport à Balzac ou Stendhal, Flaubert rend plus rare l'utilisation du discours direct ( dialogue ). Flaubert dit lui-même que ces dialogues se réduisent à des « monologues », car il s'agit de « bavardages » que personne n'écoute. Chacun est renvoyé à sa solitude car il n'y a pas d'échange. De ce fait, Flaubert privilégie le discours indirect libre pour traduire la pensée et la psychologie de ses personnages. Le discours indirect libre se reconnaît surtout par le contexte. Pas de verbe introducteur

mais aussi dans celui de Marie de Kerangal à la ligne quarante « Ils sont sous la bâche ». Nous avons différents types de discours comme du discours indirect dans le teste d'Albert Cohen à la ligne 24 « retourne- toi, ordonna-t-il » ou dans le texte de Marie Kerangal au discours indirect libre à la ligne 10-11 « T’habites loin ?, J’habite en haut et toi ? ». Il y a aussi du discours direct dans le texte de Sylvie Germain, avec l’emploi des guillemets, à la ligne douze et treize « « Est-ce que je suis

FICHE BREVET N°3 Les discours de la narration I. Discours direct Le narrateur rapporte les paroles d'un personnage directement, telles qu'elles ont été prononcées, sans modification. On remarque la présence des guillemets précédés de 2 points et de verbes introducteurs comme demander, répondre, dire ... Exemple: Fatouma dit à Alizé : « Ne t'en vas pas! Tu vas te faire gronder! » II. Discours indirect Le narrateur rapporte les paroles des personnages indirectement