Discours indirect

succession des compléments circonstanciels (l.20). La comparaison, « comme la lueur d'un éclair » (l.22). Mise en valeur aussi par l'accumulation des verbes. L'utilisation des discours rapportés inscrit le passage dans le genre du conte philosophique . Discours indirect libre (l.24) qui souligne l'interrogation discours direct (l.27) qui reprend l'avertissement du père et pose le problème de la sincérité de l'amitié. Les points de suspension (l.28) souligne et provoque la curiosité du lecteur

bon signe, j'en augure bien pour la suite... » II- Un portait plus construit qu'il n'y paraît a) un portrait mis en scène...: La portrait est mis en scène, il est apparenté à une action: « à toute heure en tout lieu ». Les phrases en discours indirect libre peuvent faire penser que Cléanthis, tout en décrivant sa maîtresse, la joue et l'imite. + L'action est marqué par le rythme accéléré: pour animé le portrait: phrases courtes et anaphoriques de temps qui dénoncent l'instabilité et l'inconstance

représentant l’Église. 4. La communauté des animaux : - C’est à une sorte de coalition que l’âne doit faire face, et celle-ci est rendue particulièrement vivante par l’emploi du discours indirect libre dans les vers 58 à 62 environ. Ainsi, ce sont tous les courtisans qui tiennent le même discours que le loup. - Tous les autres constituent une foule d’animaux anonymes, mais caractérisés par une attitude commune : on suit celui qui parle le plus haut et le plus fort ! On ne distingue

un discours indirect libre qui sert à rapporter au détail près les paroles des Lorieux sur Gervaise : « Quelle dèche, quel décatissage, mes amis ! » ou » voilà où menaient l’amour de la fripe, les lichades et les gueuletons » ou « Dieu de Dieu ». Tout cela donne l’impression que ces personnages s’expriment en direct, apporte de la vie au texte et un effet de réel. Le lecteur a l’impression d’entendre ce couple parler. D’ailleurs, pour renforcer cette impression, Zola emploie aussi le discours indirect

Quand Emma dit que la cloche est monotone, c’est elle qui perçoit qu’elle l’obtient. Description faite par le regard d’Emma «  quelque chat que les toits ou dans les campagnes C) Un discours indirect libre Ah quoi bon ? Ah quoi bon ? Qui l’entendait ? Rapporte le plus direct possible la démarche et le discours intérieur d’une personne. Pour lui donner vie. Dans le texte on a la pensée d’Emma «  j’ai tout lu «  les paroles sont données tels qu’ils ont été prononcé. AXE3 : le regard de Flaubert

s'envoler") -Perceptions auditive : Ne sais pas qui parle et ordonne de tirer / n'entend pas les coups de feu . -Perceptions physiques : Difficulté a respirer tant sa respiration devient pénible -Pensées : Rapportés au discours indirects " Il lui semblait ... qui l'enveloppait" et au discours indirect libre ( qui montre que le personnage est angoissé et qu'il ne comprend plus ce qu'il ressent ) II) Un héros ridiculisé Le comportement du héros n'est pas celui qu'on attend dans une scène dramatique , il présente

trouble amoureux ; Lecture cursive + prise de notes (évènements principaux, interrogation orale) Lecture => chapitre XXXIII pour la séance 6. Capacité : Champ linguistique : Types de phrases et ponctuation (repérage, signification) Discours indirect libre – point de vue interne Invention lexicale : néologisme, mot-valise Séance 4 : Etude la langue : Types et formes de phrases et ponctuation. Activité : Exercices d’application. = Evaluation 2 Champ linguistique : Types de phrases

dans le travail réciproque de la société sur l'individu et de l'individu sur la société." Comment se manifeste le naturalisme dans le roman l'Assommoir? Le point de vue et le discours indirecte libre : La composition du passage fait alterner les points de vue avec une utilisation très adroite du discours indirect libre, ce qui structure le texte en trois temps : - c'est d'abord Gervaise qui regarde avec étonnement et crainte cet objet extraordinaire.(l.1 à 9) - Puis elle est relayée par

intériorisée. Le champ lexical de la vision glisse le lecteur vers l'imaginaire a travers des verbes de pensé '' il considérait '' (l.24), '' il souhait connaître '' (l.25) , '' il l'as supposé '' (l.32). On observe aussi l'introduction de passage au discours indirect libre, qui montre que Frédéric se laisse aller vers la rêverie. Il commence a se poser des questions sur ce personnage '' qu'elle était son nom, sa demeure, son passé '' (l.25) , puis a partir '' du châle qui glisse '' (l.33), il imagine un scénario

prononcées par Fagin et donnez-en le type et la forme. -l.16-17-18 :Interrogatif, forme passive. L.20-21 :impérative, forme négative. L.25 :déclaratif , forme emphatique. Les paroles de Fagin et d’Oliver sont rapportées au discours direct. Transposez au discours indirect les phrases : « est-ce que mon mouchoir ne pend pas de ma poche ? », « Regarde un peu si tu peux le prendre sans que je le sente, comme les autres le faisaient en jouant ce matin. » -Il lui demanda si son mouchoir ne pendait