Discours indirect

Jeanne ne peut rien contrôler - Scène proche du mélodrame : « cassée ; épouvantable ; tortures ; trahison ; désespoir » - Tension dramatique, sorte de suspens → risque d’accident ou de suicide - Interruption brutale : « Et soudain » - Discours indirect libre (l.30) : « Et maintenant ! maintenant ! Oh … » → tonalité pathétique - Accumulation de termes excessifs : tonalité hyperbolique II) La mort symbolique - Deuil du passé et de tout ce qui donnait un sens à sa vie - Point de

calme lié à l’importance de la nature ; pour enfin analyser la prise de conscience et la libération de soi. Meursault n’a jamais montré aucune émotion, et a toujours fait preuve d’impassibilité ; cependant dès le premier paragraphe grâce au discours indirect libre, une immense colère s’empare de lui sans qu’il ne sache réellement pourquoi : « Alors, je ne sais pas pourquoi, il y a quelque chose qui a crevé en moi. ». On remarque l’utilisation du champ lexical de la colère reflétant l’atmosphère qui

de manière Elles sont introduites par « ob ». - « ob » (si) Exemple : « Ich weiss nicht, ob heute noch ein Zug nach Paris fährt. » (Je ne sais pas s’il y a encore un train pour Paris.) La conjonction « ob » est donc utilisée dans le discours indirect interrogatif. Les subordonnées de concession Elles sont introduites par « obwohl » et « während ». - « obwohl » (bien que) Exemple : « Obwohl er die ganze Nacht nicht geschlafen hat, ist er überhaupt nicht müde. » (Bien qu’il n’ait pas

conscience de Jacques et de suivre au plus près le cheminement de sa pensée : les réflexions de Jacques sont délivrées en focalisation interne « il aurait voulu comprendre » (l. 15) et « il en venait à penser » (l. 39) et sont, rapportées au discours indirect libre « Mon Dieu ! il était donc revenu ce mal abominable dont il se croyait guéri ! » (l. 2-3). Dans le premier paragraphe, il décrit les symptômes de son mal qui, à son grand désespoir, est réapparu : depuis l’adolescence, il est pris d’une

parle pour l' auteur doit avoir pour seule fonction d' informer le lecteur. Il est donc un art où l' auteur s' efface et laisse place au récit; par exemple dans L'Assommoir de Emile Zola l'observation directe des lieus et l'utilisation du discours indirect libre, aide le narrateur a se cacher derrière son roman et a le rendre plus vraisemblable. On se demande alors si il est mieux que le locuteur disparaisse pour respecter la vraisemblance et la facilite de compréhension de l'intrigue Le

théâtre : jouer du faux pour révéler du vrai. 2) Mosca, le rôle de révélateur - Fonction didactique de Mosca : rôle de clarification pour le spectateur. Il met au courant sur l’attitude de Volpone et sur les motivations des oiseaux de proie. Discours indirect libre, page 23, permet de rentrer dans les pensées du personnage. Il est le plus cupide de tous donc il est à même de comprendre la cupidité de chacun. Valeur conjecturale du conditionnel. Page 27, Voltore prononce ses premières paroles, et Mosca

qu’elle l’utilise « Toujours ses soupçons finissaient ainsi », la persuasion, par une déclaration amoureuse « Vilain …je t’aime ». Roubaud la serre contre lui « éperdument », puis il rit, badine avec elle et s’extasie sur son cadeau au moyen du discours indirect libre « Il s’exclamait….servir ». Roubaud à oublier ses soupçons et le lecteur avec lui puisque toute la dernière partie de l’extrait semble correspondre à un échange amoureux.Pourtant, si Roubaud apparaît comme un être violent, Séverine quant

Exercice 1 Transcris en discours rapporté indirect les extraits de dialogues suivants : 1. « Aurait-il reçu mon invitation? » Je me demande… 2. « Combien gagnerait-il? » Je me demande… 3. « Pourquoi serait-il si froid avec nous ces derniers temps? » Je me demande… 4. « Qu'est-ce qui l'intéresse? » Je me demande… 5. « Quel livre aimerait-il le plus? » Je me demande… 6. « Qu'est-ce qu'elle préfère, un livre ou un CD? » Je me demande… 7. « Qu'est-ce qu'elle serait devenue? » Je me demande… 8

Mathilde est à son tour nommée comme si, face à cette femme, elle retrouvait enfin son identité effacée au fil des années passées à travailler pour rembourser la parure. Mathilde est troublée par cette vision « émue » qui la replonge dans le passé. Discours indirect libre « allait-elle lui parler ? » suivi d’un dialogue qui, on le comprend a toujours lieu dans l’esprit de Mathilde qui tergiverse pour savoir ce qu’elle doit faire. A la fois prise par l’envie de lui dire ce qu’elle a fait et retenue par la

connotations féminines (le val de Vaucotte ouvrait sa gorge profonde), qui peuvent évoquer par association la nudité de l'épouse infidèle que le comte recherche dans cette campagne. Puis Fourville repère la hutte du berger ; point de vue interne avec discours indirect libre ligne 5 ; mais dès la ligne 6 , le récit adopte un point de vue complètement extérieur au comte ; on ne devine ce qu'il voit par le bas de la porte (ligne 13) que par ses réactions. Après avoir poussé la maison au bas de la falaise, il