Discrimination positive

LA NON DISCRIMINATION A L’EMBAUCHE La discrimination à l’embauche est une réalité. En 2007, le bureau international du travail (cf. annexe n°1) avait mesuré que quatre fois sur cinq, les employeurs français préféraient embaucher un candidat « d’origine européenne » plutôt que son collègue d’origine maghrébine ou noire africaine. De plus, une récente étude menée par eurobaromètre (cf. annexe n°2), révèle que 64% des européens s’inquiète d’une possible augmentation de la discrimination liée à

Joëlle Devoir N°2 : Socialisation, Stigmatisation et discrimination sociale des enfants et adolescents handicapés L’égalité des droits et des chances envers les personnes handicapées a été promue grâce à la Loi 2005-12 du 11 Février 2005. Celle-ci renverse la tendance sur l’adaptation de la personne handicapée à la société. En effet, il s’agit désormais de faciliter l’intégration des personnes en situation de handicap, par le biais d’actions menées par la société. Cette

Dossier Ethique et Déontologie Le cas de la discrimination à l’embauche chez randstad ANNEE 2010-2011 Table des matières Introduction 2 I. Analyse de la politique de recrutement 2 A. Une politique de recrutement centrée sur des valeurs humaines : 2 B. Différentes formes de discriminations 2 C. La mise en place de comité RSE 2 1. Une méthode de recrutement tournée vers l’individu : 2 2. Une implantation favorisant le développement régional : 2 II. Solutions adoptées

L'équité remet en cause le fait qu' il faut tendre vers une égalité des positions parfaite, un traitement égalitaire n'est pas équitable, ne corrigeant pas les inégalités de départ. Il est donc juste et efficace de mettre en place une "discrimination positive" , c'est à dire donner plus à ceux qui en ont moins, c'est un idéal de l'équité, qui repose sur l'égalité des chances. Cette justice compensatrice profite à differentes personnes, d'abord les femmes, grace à differentes lois sur la parité

semble avoir reçu un coup de fouet ces dernières années avec l’apparition de notions telles que « la discrimination positive » ou encore les « quotas » (A), ce qui renforce l’idée selon laquelle l’école de la république serait un moteur de l’intégration (B). A) Deux notions semblent être prédominantes désormais lorsqu’il est question d’intégration. Tout d’abord, l’expression « discrimination positive » (1) qui a fait son entrée sur la scène il y a fort peu longtemps, accompagnée de la théorie des

faveur de "l'égalité des chances", considérée en crise dans un contexte de discriminations sociales dans la poursuite des études et à l'embauche. Cependant cette initiative n'est pas sans interroger les principes de notre démocratie, méritocratique par définition : même si cette orientation ne toucherait au final qu'une très faible proportion des étudiants issus des catégories populaires, elle constitue une "discrimination positive" qui pourrait exclure certains étudiants qui aurait bénéficié de ces places

rjinrge- jignerjngerijngrjingfejingefijenfgijgerbiuefgeugfnuofegnuefg- buogfebuoefghuihgerueturuotregefbiuhfegihbgzriubgreiugebfiub- iuevfuivfebhijvefibijbgrebojgernojfvrnojvfrjonnjivgrnijbgrjn- igbrujbgrjjibgruojrgbnijgrbjij Catégories de discrimination Situations discriminatoires Sont interdits toute distinction ou tout traitement inégal fondés sur : l'origine géographique, l'appartenance ou non-appartenance, réelle ou supposée, à un ensemble de personnes défini comme ethnie ou comme

ajoute que « nul ne peut être lésé, dans son travail ou son emploi, en raison de ses origines, de ses opinions ou de ses croyances ». C'est dire si l'égalité de tous forme le cœur de l'actuelle Constitution. Sous prétexte de lutter contre les discriminations, le président de la République avait souhaité inscrire la « diversité » dans le préambule de la Constitution. L'annonce était populaire. Mais a-t-on bien mesuré la portée symbolique de cette intronisation ? Dans les bourgs et les villages, la

les pauvres, les handicapés) - stigmatisation des individus différents, ne répondant pas aux normes imposées par la société - incompréhension et non connaissance sont souvent à l’origine de la stigmatisation Exemple : discrimination des handicapés sur le marché du travail. L’Etat a donc entrepris une campagne d’information pour sensibiliser les entreprises à la validité des handicapés dans le monde du travail. Des lois ont donc été votées pour obliger les entreprises à embaucher

CONSEQUENCES ET SOLUTIONS FACE A LA DISCRIMINATION A) Conceqeunces et solutions Cette discrimination si bien sûre est fondé entraine de lourdes conséquences. En effet, lorsque un individu est reconnue coupable de discrimination celui-ci est passible de trois années d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende. Cependant les peines sont variables selon la manière et le contexte dans laquelle cette dernière s’est manifestée. La discrimination entraine Aussi des atteintes