Dissertation Héraclite

souvent l’opinion comme un jugement sans fondement rigoureux, souvent dénoncé dans la mesure où il se donne de façon abusive les apparences d’un savoir. Héraclite déjà critiquait ce qu’il appelait les « polymathes », c’est-à-dire ceux qui prétendaient au savoir du fait qu’ils avaient une somme considérable de connaissances. Car l’important, pour Héraclite, n’est pas de connaître beaucoup de choses, mais de savoir écouter le Logos (la raison), et de comprendre que « tout est un ». La question de la vérité

philosophes ont une approche différente de la psychologie humaine. Dans ce texte j’aborderai la nature humaine selon Héraclite et Parménide. Qu’est-ce que la nature humaine pour Héraclite et Parménide? En effet, leur vision de l’être (nature) n’est pas la même. Pour comprendre, nous allons démontrer dans ces lignes leur différent point de vue ainsi que leur principe rationnel. 1. Héraclite, à travers ces fragments de réflexion, nous porte à réfléchir sur la nature, mais d'abord et avant tout sur l’homme

Les notions de base : •  •  •  •  L’acteur, Le système, La zone d’incertitude, Le pouvoir. « Le conflit est père de tout, roi de tout, a désigné ceux-ci comme dieux, ceux-là comme hommes, ceux-ci comme esclaves, ceux-la comme libres. » Héraclite d’Éphèse, ~500 avant JC. Πόλεµος. IONIS – STM 2009 - 2010 Sociologie des Organisations Page 4 L’analyse stratégique Les trois postulats de départ : 1.  Les hommes n’acceptent jamais d’être traités comme des moyens aux services des buts que

(être) les thèses précédemment présenter relève de la métaphasique. D’autre part, la première thèse présentée est celle d’Héraclite qui stipule que le réel est en perpétuel changement. Tandis que Selon Parménide le réel est permanant. Sellons Héraclite le réel est changement (mobiliste). Car la nature englobe l’être et le none être de façon harmonique. l’être et le non être sont tous deux nécessaire pour l’existence de toutes choses, qui même si elles paraisent constante sont de façon imperceptible

la justice parce que c'est la justice et non parce que c'est mon intérêt, mais la justice pure ne peut exercer son influence en dehors de la sphère de la moralité privée. Il y a des limites naturelles à l'exercice de la force. "Le soleil, dit Héraclite d’Éphèse, ne franchit pas les limites de sa course, l'animal repu n'attaque pas. Mais Pascal a en vue la réalité humaine, l'homme "animal social" capable de "démesure". En tant qu'animal, l'homme n'est pas un tyran, mais dans la mesure où il

d'être un modèle s'explique non par de la modestie mais par l'impossibilité d'être quelque chose d'immuable dans un monde par nature instable (« le monde n'est qu'une branloire pérenne »). il reprend la doctrine du philosophe grec de l'Antiquité Héraclite : « rien ne subsiste, rien ne demeure jamais identique ». Dans un monde où actionet agitation sont parfois confondues, la sagesse réside parfois chez les plus humbles (« Je propose une vie basse et sans lustre.. »). II – Un homme en quête

PARMENIDE (515-450) Rien ne change Aucune chose ne peut devenir autre chose que ce qu’elle est Nos sens perçoivent que tout change Mais notre raison corrige Naissance du RATIONALISME Ephèse (colonie grecque d’Asie Mineure, Turquie actuelle) : HERACLITE (540-480) Παντα ϱει : tout s’écroule (nos sens sont fiables) Met l’accent sur les oppositions entre le bien et le mal (elles font l’équilibre du monde) Idée de dieu ou λοϒος (logos) => raison : qui englobe le monde entier (le bien contre le mal)

 PYTHAGORE mis en scène par Héraclite : le sage et le PHilospohe Une telle pénurie ne serait pas trop grave si, comme certains l'ont cru, nous possédions l'acte de naissance du terme philósophos. Il s'agit d'une anecdote sur Pythagore racontée par Héraclide du Pont, qui, à la mort de Platon, aurait failli devenir le chef de l'Académie : « Pythagore fut le premier à s'appeler philosophe (philósophos) ; non seulement il employa un mot nouveau, mais il enseigna une doctrine originale. Il vint

démocratie est intrinsèquement paradoxal. Cette politique n’est jamais stable mais tend vers un équilibre, elle est donc en perpétuelle reconstruction. Le jour où elle atteint l’équilibre, on peut dire que ce n’est plus une démocratie. Comme l’a dit Héraclite d'Éphèse, « il n’y a rien de constant si ce n’est le changement ».

changement. Le cours du temps est irréversible du passé vers l’avenir. De plus, deux images représente traditionnellement le temps : celle du fleuve qui s’écoule «  tous coule, tous s’écoule, on ne se beigne jamais deux fois dans le même fleuve » (Héraclite) pour exprimer le changement ; le vieillissement, les saisons…ainsi que l’image du cercle clos sur lui-même. le temps objectif Le temps est en même temps est à la fois une puissance extérieure, une réalité objective sur laquelle l’homme n’a