Dissimulation Admise Comme Nullité Du Mariage

le droit est l’école de la rigueur par nécessité mais non celle de la rigidité. Origine du mot droit : du latin directum, direction, désigne l’ensemble des règles qui gouvernent l’activité humaine. A l’heure actuelle, le droit peut être défini comme la faculté de faire un acte, de jouir d’une chose et d’en disposer, d’exiger quelque chose d’une autre personne ou de la collectivité. La vocation du droit est de régir et de construire une société organisée, qui s’oppose de ce fait à l’anarchie

Ce rapport d’obligation touche le patrimoine de chacune des deux personnes . - passif : dette du débiteur - actif : créance du créancier Le rapport d’obligation fait naître un droit personnel, mais si on considère le patrimoine du créancier comme un bien ( une valeur économique ) par csq cette créance accroît le gage de celui ci, il peut la céder . L’objet peut être constitué par l’action de faire, ne pas faire ou donner . Il existe également d’autres types de classification : obligation

donné donations c'est-à-dire transférer un droit réel sans contre partie. On fait référence à dare qui veut dire l'obligation de constituer ou de transférer un droit réel à titre gratuit ou onéreux. En droit Français on considère cette obligation comme exceptionnelle car le code civil a crée le principe de transfert de propriété par le seule échange des consentements (solo consensu). Il suffit que les parties soient d'accord sur les parties essentielles du contrat pour que le transfert s'opère. Par

civil de 1804) . La personne n'est pas regardée comme un individu fait d'une âme et d'un corps mais abstraitement d'une manière juridique. Au sens juridiques les personnes sont capable de jouir de droits. Tout les hommes naissent libres et égaux en droit et ont la personnalité juridique. Tel n'a pas toujours était le cas, en effet à l'époque du code civil en 1804, les esclaves étaient privés de la personnalité juridique. En droit ils étaient comme une chose. Cette situation a perdurer jusqu'à l'abolition

obligations : Section 1 : La notion d'obligations En droit privé : l'obligation a un sens étroit, elle désigne le rapport juridique qui unie un débiteur et un créancier. Elle est conçue comme un bien faisant partie du patrimoine I- L'obligation est un lien de droit De façon classique, l'obligation se définie comme le lien de droit entre un créancier et un débiteur en vertu duquel le premier peut exiger du second l'accomplissement de la prestation, objet du droit personnel. Du fait que l'obligation

civil donne la définition du contrat et cette définition du contrat. Il existe plusieurs types d’actes, des actes bilatéraux, unilatéraux et collectifs. A- Le contrat variété d’acte juridique. L’article 1101 du code civil définit le contrat comme une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent envers une ou plusieurs autres à donner, à faire ou ne pas faire quelque chose. Le but du contrat c’est donc la création d’obligation, c’est la convention par laquelle on s’oblige. Cette

d’inventer d’autres théories de la responsabilité pour se détacher de la faute  Essor d’une responsabilité objective détachée de la faute individuelle  Essor d’un droit compassionnel pour les victimes Dc  Le machinisme va faire reculer la faute comme condition de la responsabilité. - Individuel/collectif : Code civil dominé par l’individu. En droit de la responsabilité, il y a eu plusieurs évts qui marquèrent l’essor du collectif. *30’s : l’assurance de responsabilité qui fait que l’individu seul

relatives aux juridictions civiles et à la procédure judiciaire. Caractéristiques La caractéristique principale est le formalisme. La forme permet la sécurité et protège les droits des justiciables. De plus, elle permet de garantir une bonne justice. Comme le disait IHERING «La forme est la sœur jumelle de la liberté». Une autre caractéristique est que les règles de DJP sont impératives. Les deux raisons de cette impérativité sont que la justice est un service public et que les règles sont d'ordre public

étudier trois vices du consentement et la lésion 1- L’erreur est une représentation erronée de la réalité L’acceptant s’est trompé. La loi va autoriser dans certains ca qu’on remette en cause le contrat par cette erreur. L’erreur est admise quand on se trompe de chose, mais il faut qu’elle porte sur des éléments essentiels. Cela peut être la matière, l’authenticité, l’origine, l’utilisation de la chose. La loi dit «  on admet l’erreur sur les qualités substantielles de la chose ». Les

circonstances) (2) >< obligations naturelles, engagements sur l'honneur (gentleman's agreement), engagements mondains. Ce pouvoir de contrainte va induire plusieurs principes : − art. 1174 C. civ. : nullité de l'obligation sous condition suspensive purement potestative dans le chef du débiteur ; − nullité de l'obligation dont l'objet n'est ni déterminé ni déterminable (ex. si je m'engage à vous livrer du vin sans autre précision, le Code civil indique que dans ce cas le vin doit être de qualité loyale