Distance Hiérarchique Au Japon

face aux nouvelles exigences de son environnement dans lequel elle évolue. Le monde change, des industries complètes changent d'une partie du monde à une autre, et la plus grande partie de ce mouvement provient du Japon. Il y avait des raisons pour voir envers le Japon pour voir ce qu'ils faisaient de manière différente. Le Benchmarking implique d'identifier, de comparer et d'adapter les "meilleures pratiques" détectées dans des organisations situées partout dans le monde et dans tous

tous les outils de NTIC, on note une progression ces dernières années de la téléphonie mobile, qui ajoute au recul du fixe. Les smartphones et les tablettes ont surpassé les ordinateurs en termes de vente. Nokia, plus gros vendeur de smartphones, distance Samsung, HTC et Androïd qui progressent cependant rapidement. La marque Nokia représente à elle-seule environ un tiers du marché mondial en téléphonie, à savoir 1 500 millions de téléphones , chiffre considérable. Schéma 1 : Situation des NTIC

seront amenés à connaître tous deux. Sartre est reçu premier au concours d'agrégation à la deuxième tentative, Simone de Beauvoir remportant la seconde place. Après son service militaire, le jeune professeur (il a alors 26 ans) demande à être muté au Japon, qui l’a toujours intéressé. Rêve brisé, puisqu'il est envoyé au lycée du Havre, aujourd'hui lycée François-Ier, à compter de mars 1931. C’est une épreuve pour Sartre, lui qui a tellement craint les vies rangées et qui a tellement critiqué dans ses

SYSTEME CAPITALISTE 10 I. LA FRANCE, HISTOIRE ET GEOGRAPHIE II. DEMOGRAPHIE ET IMMIGRATION III. POLITIQUE IV. ECONOMIE V. FISCALITE VI. INFLATION, POUVOIR D’ACHAT VII. EQUILIBRE DES FORCES VIII. LE CAPITALISME 10 11 13 14 20 20 23 25 PARTIE 3 : LE JAPON ET SON SYSTEME CAPITALISTE I. GEOGRAPHIE ET RESSOURCES NATURELLES II. DEMOGRAPHIE III. POLITIQUE IV. ECONOMIE V. FISCALITE VI. POUVOIR D’ACHAT VII. EQUILIBRE DES FORCES VIII. CAPITALISME IX. RECOMMANDATIONS 29 29 30 32 33 43 46 49 53 56 3

d’internationalisation, de diversification et d’intégration, développement de grands | | |groupes. | | |Japon appauvri : logique de production au plus juste. | | |Management humain, protection sociale, premières préoccupations environnementales.

atout de vente. Mais échec avec concorde et le réacteur nucléaire EPR. LES ORIGINES DU MARKETINGUSA après la première GM dans les années 20. En Europe après 1945. Le facteur culturel modifie l’utilisation du M : Egypte : M = vente ou production Japon ; M inspiré des USA mais les recommandations des études de marchés ne sont pas obligatoirement suivies. France : M est différents des ventes. Le responsable marketing est plus conseillé qu’acteur. M n’est pas une science exacte. Il existe des méthodes

Octave Gélinier (1916-2004) : La DPPO (Direction Participative Par Objectifs) C'est un ingénieur français. Les responsabilités et les exigences fixées aux individus doivent être cohérentes avec leur niveau hiérarchique. La pyramide des objectifs doit être superposable à la pyramide hiérarchique. Gélinier propose de négocier l'objectif à atteindre avec l'employé (direction participative par objectifs). Une personne est d'autant plus motivée si elle a participé à fixer les objectifs. Gélinier préconise

concurrentiel I. Origine et évolution de la stratégie Une origine militaire : Grèce antique : l’art du général : une combinaison des mots « Statos »(=armée) et « agein »(=mener) la stratégie est l’art de celui qui mène une armée. L’influence du Japon : Les leçons du Kendo un art martial : les dimensions du Mai Deux ouvrages historique de référence : - l’ouvrage de Sun Tsé (l’art de la guerre), théoricien militaire qui vécut en chine environ 5 ans avant notre ère, est considéré comme le 1er ouvrage

Taylor pour parvenir à une organisation scientifique du travail. ← Au 20ème siècle : • En 1933 : Il s’est développé le courant des relations humaines, ce courant représente une réaction contre le poids du travail programmé ; du contrôle hiérarchique rigide qui formait les traits caractéristiques du taylorisme et des théories traditionnelles de l’organisation. • En 1940: Le management scientifique moderne : L’entreprise s’appuie sur les acquis de l ‘O S T et intègre de nouvelles

. . . Localisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .25 . . . . . . .25 . . . . . . .26 . . . . . . .28 . . . . . . .30 X PILOTER LES RISQUES D’UN PROJET Culture : des risques caractéristiques La distance hiérarchique . . . . . . . . . Le contrôle de l’incertitude . . . . . . . L’individualisme . . . . . . . . . . . . . . . La masculinité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .