Distraire Le Spectateur

éduquer; il représente la réalité aussi cohérente qu’elle puisse paraître. Pour parvenir à ses fins, il dispose d'un langage propre à lui-même qui pose des problèmes spécifiques. C’est le cas d’Eugène Ionesco, qui a su, par un langage pauvre et simple, distraire les autres qui écoutent, qui ne pousse pas l'action et qui sert à remplir des moments de silence. L'absurde est à la base de ces dialogues parfois incohérents à l’antipode du théâtre traditionnel. C’est ce à quoi, Ionesco définie la pièce à une "anti-comédie"

travers les péripéties des héros, et de faire ainsi passer son message sans violence et sans en avoir l'air. Ainsi, Candide de Voltaire est un conte philosophique riche d'un enseignement qui s'exprime à travers les voyages du héros. Le lecteur est spectateur de l'évolution du personnage de Candide, qui découvre la brutalité du monde au fil du récit, comme au chapitre dix-neuvième : « la méchanceté des hommes se présentait à son esprit dans toute sa laideur». De cette manière, Voltaire cherche à combattre

Scapin, ou Les précieuses ridicules. Ce sont des farces tout ce qu’il y a de plus comiques! -Certes, mais les farces ont rarement d’autres ambitions que celle d’amuser. Molière a effectivement écrit des pièces destinées à l’unique distraction du spectateur. Mais la plupart de ses grandes pièces sont des critiques pures et simples déguisées en comédies. Pour reparler de Tartuffe, ce n’est rien d’autre qu’une critique violente à l’égard de la religion. Il propose un spectacle dans lequel les dévots

accompagnent les instruments sur le rythme et le ton, il y a donc un humour entre sonorité et chants.Mon passage favoris est quand Polichinelle reçoit des coups de bâton à répétition dans l’air des Croquignoles car la scène est terriblement comique pour le spectateur de la pièce.Nous retrouvons là une pièce dans une autre premièrement par la venu de personnages extérieurs à la pièce mais aussi des scènes totalement en dehors de la pièce originale.3. Second intermède Le second Intermède n'a pas seulement

ses plus agiles chorégraphes, pour se disputer verbalement dans le cadre d’un respect mutuel : les belligérants forment deux rangées, et en présence d’un arbitre qui annonce à chaque fois l’objet de la dispute, improvisent au mieux pour distraire les spectateurs et honorer leurs valeurs. Cet « Ahwach », appelé aussi « Ahiyad » dans certaines régions, est très répandu au sud du Maroc et permet aux jeunes amateurs de la poésie non expérimentés, d’observer les talents des plus âgés qu’on appelle « Amarir

• Rééducat° naufragés, Trivelin opère cette rééducat°. L'histoire fait intervenir l'image d'un monde inversé, le goût de l'expérimentation (les maîtres, autant que les spectateurs, prennent conscience de l'aliénation). Une fin qui éclaire → réforme morale (chacun retrouve son rôle) + montre une confiance en l'éducation, pas de remise en cause de la domesticité par le théâtre, il s'agit de corriger les mœurs (contrairement

Dell’Arte a) L’histoire Le 25 février 1545, à Padoue, en Italie, huit acteurs de la « compagnie fraternelle » signent un contrat pour devenir professionnel. Ils veulent avoir une relation plus personnelle, plus intense avec le public pour le distraire, et gagner leur vie grâce à lui. Peu après cette compagnie, d’autres troupes se forment sur son modèle et sont connues jusqu’en France (les Comici Gelosi, les Desiosi, les Confidenti, les uniti, et les accesi). La première troupe itinérante est celle

appuyant sur votre expérience de lecteur et de spectateur, vous vous demanderez dans quelle mesure le genre théâtral peut être défini comme une d'"Illusion comique". Depuis la Grèce ancienne, le théâtre a toujours eu une grande importance dans nos sociétés occidentales. A la fois divertissement, spectacle, support de réflexion, le théâtre englobe tout un travail de l’acteur, du dramaturge, du metteur en scène, pour atteindre son objectif : immerger le spectateur dans un autre monde. Le définir comme une

critiquer sans risquer pour sa vie. Cependant tous les n'ont pas toujours réussi à se faire entendre ou forcément eu pour vocation de « réveiller le peuple ». Certains d’entre ne sont tout simplement pas écoutés, d’autres souhaitent seulement distraire, donner un moment de relaxation au public ou raconter une histoire, l'Histoire. Certains écrivains, et plus particulièrement les romanciers, n’ont pas rempli leur mission qui est de « réveiller le peuple ». Par exemple François Coppée ou encore Guy

dans ce tableau de nombreuses parallèles (colonnes chandeliers), ainsi que de lourdes arcades qui accentue la grandeur de la scène (on peut ici faire un parallèle avec le banquet chez Lévi de Véronèse). Cependant puisque rien ne devait distraire le regard du spectateur de la scène principale, David réduit les proportions de la cathédrale pour accorder plus d’importance aux personnages. David travail a l’huile, on peut observer que la matière est beaucoup plus épaisse au premier plan qu’au dernier