Djihad

motivations : leur raisonnement est métaphysique et non politique : ils ne relèvent pas d'une idéologie de la guerre froide. l'islamisme : la religion est l'exutoire des oppositions réprimées. mais leur lecture du Coran est déformée : le notion de djihad = relecture d’un épisode de la vie de Mahomet réfugié à Médine. D’un côté les croyants et de l’autres, chrétiens et juifs, les hypocrites musulmans personnes ou États qu’il faut combattre c'est à dire les musulmans qui refusent les appels des islamistes

Pakistan voisin. Cette opération est une erreur. Les moudjahidines afghans (notamment le Commandant Massoud) résistent grâce au soutien américain et pakistanais. Des islamistes du monde entier (dont Ben Laden) convergent pour participer à ce nouveau Djihad. Face à ces oppositions, M. Gorbatchev finit par décider en 1989 le retrait des troupes soviétiques. A partir de ce moment là certains étrangers ayant combattu en Afghanistan commence à rentrer dans leurs pays (Algérie par exemple) ou vont combattre

entités politiques indépendantes bien organisées. Cependant, ces structures vont subir l’influence de la conquête peule vers la première moitié du 19ème siècle. Les Peulh, pasteurs nomades, qui hier étaient soumis aux peuples en place profitent du djihad lancé par Modibo Adama16 sous l’ordre d’Ousman Dan Fodio pour soumettre ces peuples. S’étant islamisés, ces Peulh déjà présents avant même le Jihad fondent avec les nouveaux venus les Lamidats, refondant ainsi le paysage politique de la plupart des

coupable come première instance et condamnée à 8 ans de prison ferme. Aujourd’hui, la suspecte s’est expliquée et se dit pour la guerre mais contre le terrorisme. Elle est accusée d’avoir créé un site internet en Belgique qui recrute des candidats au Djihad  (des jeunes musulmans qui étaient formés dans des clans d’Al Quaida à la frontière Pakistano-afghane afin de rejoindre les zones de combats). Selon la défense, elle est très religieuse, passionnée, victime de sa notoriété et surnommée « l’égérie

etc. Cependant, comme pour son ennemi de toujours, la stratégie de Sharon a d’ores et déjà connu ses limites. En premier lieu, la sécurité promise n’a jamais été atteinte, en dépit de coups très durs portés aux réseaux terroristes du Hamas et du Djihad isla- mique ainsi qu’aux forces armées de l’OLP : en trois années de présence au pouvoir, le général le plus prestigieux de la guerre du Yom Kippour a déjà dû déplorer l’assassinat de plus de neuf cents Israéliens (en décembre 2003). Jamais les actes

de la communauté internationale Haut moyen âge. Politiquement et juridiquement : universel théocratique avec le khalife qui réunit le pouvoir temporel et spirituel. Il doit garder la loi de dieu, la reprendre et la faire respecter. A travers le djihad, devoir religieux moteur des conquête de l’islam. Il faut convertir ou détruire les infidèles (=barbares). 10ème : khalife perd du pouvoir politique et garde le pouvoir religieux / pouvoir politique aux émir et au sultans. B. la participation

le consul de France. Crise diplomatique franco-algérienne. Les troupes françaises débarquent à Siddi-Ferruch le 14 juin. Après la prise d’Alger, le 5 juillet, le dey Hussein Khodja signe la capitulation. En novembre, l’émir Abd El-Kader proclame le djihad contre les Français. La France reconnaît par le traité de la Tafna, signé le 30 mai, la souveraineté d’Abd El-Kader sur les deux tiers de l’Algérie. Elle conserve toutefois plusieurs « possessions », dont Alger, Blida et Oran. Le 13 octobre, les troupes

scénario opposé : les Soviétiques envahissent le pays en décembre 1979 pour venir en aide à un régime communiste ultra minoritaire issu d'un coup d'Etat militaire. L'intervention ne parvient pas à contenir l'insurrection généralisée menée au nom du Djihad (guerre sainte) par la population afghane. Les Américains et leurs alliés pakistanais vont dès lors appuyer et armer les moudjahidines afghan et l'URSS décidera de se retirer à l'époque de Gorbatchev (1987). D) Etude de cas : le Moyen Orient

kofr" ou "la seule loi c'est le Coran", il prône l'islamisation par la force, le port obligatoire du hidjab, veut instaurer des interdits du style "la yadjouz", prélever l'impôt "révolutionnaire" qui deviendra durant les années de braise "l'impôt du Djihad". C'est justement cette frange extrémiste que la SM va pousser à la radicalisation et à la confrontation, entraînant toute une jeunesse à prendre les armes, à rejoindre les maquis et à embrasser le langage de la violence. L'ouverture démocratique

avant que l'Assemblée générale des Nations Unies ait eu le temps d'examiner les recommandations de la C.I.J. ou de la Mission de l'O.N.U., mais elle exerçait une pression déterminante sur l'Espagne. Au sein même du Maroc, elle ravivait l'atmosphère de djihad que le roi faisait régner sur son peuple depuis l'été 1974. Le peuple marocain fut littéralement séduit pas l'idée, et dans les trois jours qui suivirent le discours du roi, 362.000 Marocains se présentèrent pour s'inscrire à la Marche. Vers le 21