Djihad

métaphysiques et religieuses. 2.3- Terrorisme comme « religieux » ? En outre, chaque fois qu'on a voulu donner une caution majeure à un combat, on l'a sacralisé. Cette technique faisant de la << guerre >> une chose sainte (croisade, djihad, ou quelle que soit la manière dont on la nomme) équivaut, au prix d'un retournement de termes, à enrôler Dieu, à l'instrumentaliser et à sanctifier les objectifs poursuivis en même temps que les moyens utilisés et les agents qui mettent en œuvre

l’occupation étrangère. On ne veut plus être « esclave ». Une lecture de la France comme un pays néocolonial. Très faible pourcentage 0,001% de musulmans opprimés se mobilisent contre cette oppression « américaine ». Donc difficile de réduire la violence djihad à la variable purement structurelle. Le réalisme peut faire comprendre dans certaines situation de domination/contexte autoritaire et compagnie peut favoriser la résistance et pq on a recours à des attentats/spectaculaire mais le réaliste n’explique

implantés. § Essor du Jihadisme avec la guerre d’Afghanistan ú le Djihad qui, dans sa conception traditionnelle est d'abord un effort personnel et permanent que tout musulman doit faire sur soi-même pour se rapprocher de Dieu, devient pour le croyant un devoir personnel et impérieux de lutter contre les adversaires de sa religion. ú Le salafisme djihadiste est né au milieu des années 1980 en Afghanistan, à l’époque du djihad contre l’occupation soviétique ú Radicalisation

la mort de Malik-shah en 1092. L’expansion turque en Arménie puis dans l’Asie Mineure byzantine n’est qu’en partie l’œuvre des Seldjoukides. Les combattants turcs appartiennent à des tribus semi-nomades, les Turcomans, animés par l’esprit du djihâd (ghazis) et peu disposés à obéir à un maître. Alors que l’Arménie est quasiment perdue, l’empereur Romain IV tente de mettre fin aux attaques turcomanes. Son expédition en 1071 provoque cependant l’intervention du sultan seldjoukide Arp-Aslan

et le Liban. Création d'une zone tampon sous l'autorité de l'Armée du Liban Sud. Septembre 1983 : la "guerre de la Montagne" oppose chrétiens et druzes. Ceux-ci prennent le contrôle de la région du Chouf. Octobre 1983 : double attentat-suicide du Djihad islamique contre les contingents français (58 morts) et américain (241 morts) de la force multinationale. Novembre 1983 : un attentat-suicide contre le quartier général israélien à Tyr fait 62 victimes. Novembre-décembre 1983 : affrontements entre

l’ISLAMISME politique, souvent partie prenante des djihad d’Afghanistan, de Tchétchénie, des Philippines, etc., les radicaux refusent toute logique nationale et se font les défenseurs d’une communauté musulmane déterritorialisée, sans attache nationale. En recherche de modèles, ils se reconnaissent volontiers dans la figure d’OUSSAMA BEN LADEN et dans le réseau AL QAÏDA (« la Base », créé en 1993 par un communiqué du « Front islamique pour le Djihad contre les juifs et les croisés ») ; symétriquement

empires, perse et byzantin, favorise la conquête par les Arabes fédérés par Mahomet (570-632). L'islam vient, en fait, renforcer un Orient déjà dressé contre l'orthodoxie byzantine. Il donne aux bédouins une conscience et un drapeau. Avec le Coran et le Djihad, la guerre devient une guerre sainte. L'expansion est extrêmement rapide. Jérusalem est prise en 638, puis Alexandrie en 641. C'est la fin de l'Egypte des savants et des Pères de l'Église. C'est la fin d'un monde. Alexandrie qui depuis le déclin d'Athènes

GB en Atlantique avec hommes, armes et nourriture. NB : Religion, economic and political means were used in diplomacy: god is with us, including in the French republic. The religion was used to weaken the enemy: the caliph raised the standard of djihad: the holy war. The entente gave support to the Arabic countries which rebelled against the Turkish Empire: the wahabite were the most powerful (utilisations des nationalisms). Balfour in November 1917: big declaration to favour a national homeland

présenté sous sa forme la plus radicale et la plus conquérante ; les déclarations de certains imams ou cheiks islamistes appellent clairement au meurtre et à l’extermination des Infidèles qu’ils soient chrétiens, juifs ou apostats. Pourtant, si le djihad est la base de l’Islam, c’est essentiellement dans son acception de lutte sur soi même pour un perfectionnent moral et non de guerre sainte. Les musulmans répondent que l’Occident a fait preuve de beaucoup de barbarie dans le cadre des drames

des femmes, la démocratie, la réussite matérielle. L'islam est cependant très divisé entre les sunnites et les chiites. l’islamisme se diffuse dans les années 1970 et 1980 dans le Moyen-Orient et dans le reste du monde musulman, grâce notamment au djihad mené en Afghanistan contre l’occupation soviétique, qui aboutit à la prise de pouvoir des Talibans. Si la majeure partie des musulmans demeure modérée, des groupes radicaux (intégristes) chez les palestiniens (le Hamas), au Liban avec le Hezbollah