Dogmatisme

3. Relativisme, dogmatisme et faillibilisme Attitudes épistémiques (relatif à la connaissance) : relativisme, dogmatisme et faillibilisme. Notre devoir est d’avoir uniquement des croyances rationnellement justifiées. Relativisme : Toutes les croyances, les idées se valent. Attitude correcte? Les connaissances progressent, les idées sur les sujets se modifient. N’implique pas que chacun ait raison et que toutes les opinions se valent. Donc, non ce n’est pas correct. Dogmatisme : On a toujours raison

universelle, qui semble libérer les hommes, puisqu'elle s'oppose en cela au dogmatisme, qui les aliène, car ils doivent suivre, sans penser, ce qui est interprété par d'autres. Les hommes agissent don au contraire de ce que Dieu voudrait, (comme Kant le montre lorsqu'il dit: « un faux culte, c'est à dire une prétendue adoration de Dieu qui est en réalité un acte contraire au culte véritable exigé par Dieu »), en se soumettant au dogmatisme, à ce qu'il appelle « l'illusion religieuse ». Kant distingue donc

du XVe siècle aux Essais de Montaigne. C’est que l’horizon culturel s’est considérablement élargi. Le monde s’est ouvert à de nouveaux continents, un nouveau système économique, le capitalisme, est en train de naître, la Réforme remet en cause le dogmatisme catholique. Confronté à ce tourbillon de nouveautés, l’humanisme ne peut plus rester une attitude intellectuelle ou idéologique. Il va devenir lui-même quête du sens nouveau à donner aux événements, interrogation perpétuelle au sujet des troubles

par conséquent, ce n'est pas en le cherchant qu'on le trouvera. II/ Mais... 1) le dogmatisme La vérité ne connait pas toujours la réussite. En effet, elle peut se détourner à toute contestation ou critique de manière arbitraire et, ceci, en s’appuyant sur des certitudes infondées en raison. La vérité que l'on nous inculque depuis toujours, n'est pas forcément la réalité. C’est ce qu’on appelle le dogmatisme. Ce dernier paralyse la pensée en l’empêchant de se confronter à ses limites et à ses

la vérité étant unique et universelle, le problème est de savoir qui détient cette vérité. II. La diversité des opinions et de leur expression est la condition de la découverte de la vérité L'expression de la diversité éloigne le dogmatisme et le totalitarisme. C'est au nom de l'imposition d'une vérité commune et indiscutable que les régimes totalitaires bannissent la diversité des opinions. Ils en interdisent l'expression par la censure dans les médias, les camps de concentrations

du soleil ». Dans cette description Transition : Si Voltaire s'attache à parodier la cérémonie de l'autodafé, c'est pour mieux dénoncer les responsables. En effet, le philosophe des Lumières s'attaque avec ironie à l'obscurantisme et au dogmatisme. II. L'ironie voltairienne au service de la dénonciation A. Critique de l'obscurantisme : Les « sages du pays » La réponse apportée à une situation dramatique suite à une catastrophe naturelle est d'emblée marquée par l'ironie. On note l'utilisation

Dictionnaire historique et critique va devenir l'arme privilégiée du camp des "philosophes". L'Encyclopédie de Diderot (1713-1784) et d'Alembert (1717-1783) reprendra à son compte le militantisme philosophique et le combat contre l'obscurantisme, le dogmatisme, le fanatisme et le despotisme. Les idées de Pierre Bayle trouveront aussi un écho puissant chez Montesquieu (1689-1755), qui introduit en philosophie politique des notions décisives, Voltaire (1694-1778), héros de la lutte contre l'obscurantisme

liberté. Le fanatisme est une machine qui exécute ce qu'on lui a commandé de faire. La liberté est premièrement une liberté intellectuelle ; l'idéologie pense à la place de la personne fanatique. Dogmatisme : tenir pour vérité absolue et indiscutable les principes d'une croyance ou d'un système. Ce dogmatisme a une attitude fermée et problématique car ils nous envoie vers la folie, un délire récitant auquel nous sommes renvoyés vers une dimension pathologique. Le fanatisme est une pathologie mentale

lâcheté, d’intolérance et masque aussi la honte de celui qui s’aperçoit de son ignorance. Jusqu’au dernier moment, le prisonnier est face à lui-même, face à sa propre ignorance, face à son propre dogmatisme. Une fois que ce face à face est réglé, il s’ouvre aux autres et affronte le dogmatisme des autres.

convaincre. Les fondements de cette formule sont donc contraire à la recherche de la vérité universelle donc cette formule n’est pas légitime. Protagoras confond vérité et opinion. Le véritable intérêt de cette théorie, c’est qu’elle remet en cause le dogmatisme, puisque, grâce à la rhétorique, je peux indifféremment démontrer une chose ou son contraire, selon que les hommes d’une société donnée auront choisi une convention plutôt qu’une autre. II-Comment refuser de dire « à chacun sa vérité » ? La vérité