Dogmatisme

sondant les profondeurs de l'être grâce à l'inconscient. Il y a aujourd'hui beaucoup d'avancées dans les domaines de la psychologie et de la psychanalyse grâce à la notion d'inconscient -le surréalisme a enseigné la liberté, le refus de tout dogmatisme dans tous les domaines de connaissance, et elle constitue la condition de tout progrès. *la libération de l’homme par la lutte contre l’injustice et la menace d’une autre guerre. Les surréalistes se sont engagés politiquement au service de leur

l’église et son pouvoir, l’obscurantisme, le dogmatisme et le fanatisme. Un obscurantiste est une personne qui prône et défend une attitude de négation du savoir (refuser de reconnaître pour vraies des choses qui devraient l'être), ou de restriction dans la diffusion d'une connaissance (sans nier la véracité d'une chose, considérer qu'elle ne peut être diffusée pour des raisons de toutes sortes : intérêt personnel, craintes sociales, etc.). Le dogmatisme est la doctrine selon laquelle l'esprit humain

peut-on refuser tout doute? A-t-on le droit d'ériger le refus de douter en principe inviolable? Quelles pourraient être les conséquences d'une telle attitude? II LE REFUS DE DOUTER N'EST-IL PAS PARFOIS CONTESTABLE VOIRE DANGEREUX ? - Dogmatisme « spontané » et dogmatisme volontaire - Distinction entre absence de doute et refus du doute  Les conséquences sont cependant identiques. - retour sur les arguments de la 1ère partie pour les critiquer (examen). - évidences trompeuses - la science progresse

demander si posséder la vérité ne mène pas à tomber dans certains pièges dangereux ? Le dogmatisme est l'unique danger de la vérité scientifique Selon Hannah Arendt, toute réflexion comporte des risques puisqu'elle remet en question des valeurs établies et parfois dépassées. Alors, le danger, lorsque l'on parvient à la vérité, réside dans la pensée qui croit tout savoir, autrement dit le dogmatisme qui rejette catégoriquement toute critique car dans cette attitude les scientifiques penseraient

privilèges, le despotisme et l’organisation hiérarchique de la société. Ensuite, un contexte moral. Ils critiquent l’esclavage et l’intolérance. Et enfin, un contexte religieux. Ils critiquent l’église et son pouvoir, l’obscurantisme, le dogmatisme et le fanatisme. désigne chez l'être humain un état d'esprit qui perçoit le monde de manière positive. Un obscurantiste est une personne qui prône et défend une attitude de négation du savoir (refuser de reconnaître pour vraies des choses qui

et/ou par autrui et à chercher la vérité par soi même. Savoir remettre en doute conduit à s'opposer au triomphe de tout dogmatisme arrogant à libérer notre esprit de toutes les barrières et à redécouvrir le monde et nous-mêmes avec la philosophie comme exercice de la liberté de penser qui nous sert à découvrir d'autres manières de vivre et de penser, avec refus du dogmatisme et du fanatisme. La philosophie ne donne pas de réponses absolues, définitives, qu'il suffirait d'apprendre pour devenir

1759 le place au centre du combat du siècle des lumières. Au XVIII ème siècle en effet « Les Lumières » désignent la raison, les connaissances positives, l’esprit critique, par opposition avec l’obscurantisme, les superstitions religieuses, les dogmatismes idéologiques. C’est ainsi que beaucoup de philosophes comme Montesquieu et surtout Voltaire, s’inspirent largement des cultures et traditions orientales dans le but de jeter un regard inquisiteur sur le bien fondé des idées reçues de leurs compatriotes

comparaison entre le dogmatisme, le scepticisme et le modérantisme. Ces trois aspects sont chacun d’une sorte associés à la philosophie : -le dogmatisme est l’aboutissement de la philosophie, son concept même qui est la possibilité d’atteindre une certitude. -le scepticisme lui est le contraire exact de cet aboutissement philosophique. Car il est basé sur le fait que la pensée humaine ne peut être la découverte d’une vérité au final. -le modérantisme n’apporte rien d’égal au dogmatisme mais ne se traduit

savoirs incertains. Cette incertitude se révèle tout particulièrement dans les dialogues socratiques, où par l’ironie, Socrate va conduire ses interlocuteurs à se mettre en contradiction avec eux-mêmes et à prendre conscience de la fragilité de leur dogmatisme initial (penser détenir la vérité, et ne pas vouloir discuter de cette certitude première) Exemple : dialogue entre Calliclès et Socrate dans le Gorgias, à propos du droit du plus fort. Socrate s’ingénie à mettre Calliclès en face de ses contradictions

KhûbeMayeul de SIGY L’épistémologie probabiliste de CarnéadeMini-mémoire de Master 1 en philosophie contemporaine,Année universitaire 2021-2022Sous la direction de Stéphane MARCHAND, Directeur d’étude à l'Université Paris-I Panthéon-SorbonneTABLE DES MATIÈRESINTRODUCTION 3LE POSITIONNEMENT DE LA NOUVELLE ACADÉMIE À L’ÉGARD DE SES ADVERSAIRES DOGMATIQUES ET DE SON MAÎTRE PLATON 4Le problème gnoséologique du critère dans la philosophie hellénistique 4Sextus