Doise

parus entre 1995 et 2001 sous sa direction aux Presses Universitaires de Grenoble, avec la coopération de Gabriel Mugny et Dominique Oberlé pour le volume 1, Jean-Claude Deschamps pour le volume 2, Jacques-Philippe Leyens pour le volume 3, Willem Doise et Nicole Dubois pour le volume 4, Jean-Marc Monteil pour le volume 5, Robert-Vincent Joule et Jean-Marc Monteil pour le volume 6 ; * Perspectives cognitives et conduites sociales (en Co-direction avec R.-V. Joule et J.-M. Monteil) ; une série

libres pour tirer dans les conditions les plus favorables o Exemple thème d’étude 1 : plans possibles  Jouer sur les côtés  Passer à un partenaire prévu à l’avance 3. Eclairages scientifiques complémentaires - Notion de conflit sociocognitif (Doise et Mugny, réed. 1981) : c’est par les interactions entre les sujets par la confrontation des points de vus des uns et des autres que l’individu progresse et qui peut mettre en place un projet collectif IV. La notion de projet déclinée en terminale

réfèrent à des hypothèses sur la façon dont les élèves apprennent. Ils privilégient le modèle socio-constructiviste qui s’appuie sur les travaux en psychologie génétique ( Jean PIAGET ) , en épistémologie ( G. BACHELARD ) ,et en psychologie sociale (DOISE, MUGNY, PERRET-CLERMONT ) . 3 conceptions de l’apprentissage ( acquisition de connaissances nouvelles ) : A ) La conception transmissive ( conception de la tête vide ) On part du principe que l’enfant ne sait rien sur la connaissance à

rapporte à l’aspect égoïste de l’humain. Cependant, cela pourrait être une piste afin d’expliquer pourquoi la comparaison sociale est rarement explicite dans nos activités. Bibliographie : Deschamps, J-C- (1991). La comparaison sociale. Dans W. Doise, J.C. Deschamps, & G. Mugny (Eds.). Psychologie sociale expérimentale. Paris : Armand Colin, pp. 169-181. Huguet, P. (1995). Travail collectif et performance individuelle. In G. Mugny, D. Oberlé, & J.L. Beauvois (Eds.). Relations humaines, groupes

de compréhension et d’interprétation de la réalité. » (S. Moscovici 1960). Les représentations sont organisées en système. On peut déconstruire des représentations sociales. Psycho sociologie 2 TITRE II – LA NOTION D’INFLUENCE SOCIALE DE DOISE (1982) C’est un ensemble de processus qui modifie les perceptions, jugements, attitudes ou comportement d’un individu à partir de sa connaissance des perceptions, jugements ou attitudes des autres. 1935 – SHERIF : Se questionne sur la façon qu’une

et la réalité fait rage. L'ambiguïté des personnages pour l'illusion, le mensonge et la réalité, la vérité est source d'une constante incertitude. L'un des exemples les plus forts est celui de Dorise dans Clitandre. Dans la scène V de l'acte II, Doise apparaît comme perdue entre le mensonge et la verité. Elle est à demie vêtue, à demie nue, elle un être hybride moitié vérité, moitié mensonge. La folie la gagne, et elle confond la réalité et l'illusion, son mensonge devient sa vérité. Elle se trouve

dans quelques passages du livre à remettre en cause certaines théories qui leur paraissaient assez floues. Epreuve d'écriture : L'influence sociale a été définie en 1982 par Willem Doise comme des processus régissant les modifications de perception de jugement, d’opinion, d’attitude ou de comportement d’un individu, provoquée par sa connaissance des perceptions, jugements, opinions d’autres individus. A la suite de la lecture du livre

ton sang ». Il consent à lui offrir le choix : « la bourse où la vie ». De même, […] le peuple agresseur : « abdique ta liberté ou accepte le massacre. » » (p. 174) Conclusion : « Nous voulons vivre, et pour vivre vaincre ! » (p. 182) Jean Doise, Maurice Vaïsse : Politique étrangère de la France : Diplomatie et outil militaire (Chapitre X)

des attitudes, les valeurs jouent le même rôle : "le processus de catégorisation, quand il intervient dans des jugements sur des opinions ou des attitudes … est modulé selon les valeurs auxquelles adhèrent ceux qui doivent émettre des jugements" (Doise).  Il existe des liens, enfin, entre catégorisation sociale et identité sociale : la catégorisation sociale ne sert pas simplement à organiser, simplifier ou structurer les relations entre individus et groupes, elle est aussi "un système d'orientation

a-t-il besoin de remettre en question sa raison d'être ou de la réanimer ? » « Un individu partage toujours ses appartenances à des catégories sociales avec certains individus et se distingue d’autres individus par ces mêmes appartenances » (Doise, 1988). La notion de groupe semble dès lors prégnante dans notre société pour se différencier d’une autre personne. Le mot « groupe » se rattache ici à une entité de personnes. Les individus s'y rattachant sont généralement nommés des "membres" laissant