Doit On Craindre Autrui

« l'éthique minimale », pensée postiche qui tient en  un axiome : l'idée qu'on se fait de l'Homme doit être réservée à la sphère privée, l'Etat ne devant que refléter la diversité des opinions. Cette idée simplette veut empêcher l'Etat de définir le bien commun et de le servir (en posant des limites aux intérêts particuliers). Ainsi, Ogien refuse que l'on conteste le principe de la soi-disant « gestation pour autrui » (GPA) : c'est-à-dire le com-merce des ventres. D'où l'échange, assez vif, entre lui et

à la liberté de notre conscience. Je peux me faire une représentation de la réalité, et en dégager © Hatier 2007 LA CONSCIENCE • SUJET 1 2. La conscience, signe d’un enfermement A. L’impossibilité de s’harmoniser avec son corps et avec autrui La conscience, si elle peut être libératrice, peut aussi être synonyme d’enfermement. Nous en voyons une illustration si nous revenons à la conception qui est celle de Descartes. Les deux principales conséquences de sa philosophie de la conscience

La question de la légalisation de la gestation pour autrui est à nouveau au cœur des débats actuels. La dernière fois, c'était il y a un peu moins de trois ans lors des discussions précédent la révision des lois de bioéthique, projet qui n'avait finalement pas retenu l'attention du législateur de l'époque. Aujourd'hui, la question n'est plus exactement celle de légaliser ces pratiques mais plutôt d'agiter la peur d'une légalisation future de celles ci afin de peser dans le débat contre l'ouverture

les sources de crainte et que l’on soit raisonnable. Plan : - L’intro : début->Bien vivre/ Philosophie = chemin vers le bonheur * 1ère partie : Commence-> s’en écarte/ Il ne faut pas craindre les dieux * 2ème partie : Prends l’habitude->qu’il dut ne pas être/ Il ne faut pas craindre la mort * 3ème partie : Il faut se -> et à part des vertus/ Partie du plaisir en 5 sous partie : * Il faut se-> si complexe qu’il soit/ Des désirs au Plaisir * Mais précisément->

comment l’ acte en question profite à l’individu par le biais d’une démarche intellectuelle, puis comment il profite de même à autrui par le biais cette fois de l’individu. Prendre soin de soi passe tout d’abord par la connaissance de soi, on ne peut en effet prendre soin de ce que l’on ne connaît pas. La connaissance de soi entendue ici comme la connaissance de son âme doit figurer d’instrument permettant à l’homme d’accéder à la technique de l’amélioration de soi. Nous en convenons donc que se

leur naissance mais cette règle connaît des atténuations : un individu accède à la personnalité juridique lorsqu'il naît. Il devient donc une personne, et l'État doit en être informé. C'est pourquoi une déclaration de naissance doit être faite auprès de l'État civil de la mairie du lieu où la naissance s'est produite. Cette déclaration doit être faite dans les trois jours qui suivent l'accouchement. Si la déclaration n'est pas faite dans les délais, il faudra qu'intervienne un jugement pour que l'officier

simple (présent chez l’humain).  Instinct: série complexe de réponses (parade nuptiale de certains oiseaux). Les comportements appris • Résulte de l’influence du milieu • Nous apprenons: – en agissant – en faisant des associations – en observant autrui L’apprentissage: modification relativement permanente du comportement ou du potentiel comportemental résultant de l’exercice ou de l’expérience vécue  Les types d’apprentissage  A- Apprentissage associatif  1-Conditionnement classique (répondant)

assouvissent vite leur désirs dès qu'ils apparaissent. Mais il faudrait laisser le désir grossir , le laisser mûrir. Le vrai désir est douloureux, on est presque détruit par celui-ci. Pour vivre heureux et libre, il faut vivre pleinement de ses désirs. On doit laisser aller ses propres passions car elles font notre singularité. Ceci est la vie que le fort va choisir. C'est à dire qu'il va se laisser submerger par le désir. Le fort va affronter les vie et maîtriser sa peur, il va rechercher la difficulté

fondement du bien vivre, du bonheur, c'est l'ataraxie (l'absence de troubles) - une physique, une conception de la nature - une éthique, une étude philosophique de l'être humain dans son rapport au monde - une morale, des règles qui prescrivent ce que doit faire ou pas un humain - une théorie de la connaissance L'épicurisme et le stoïcisme ont des conceptions de la nature différentes. Leur conception de la vie bonne, du bonheur n'est pas semblable. Pour Epicure, la nature en soit ne l'intéresse

de ne pas être soumis à autrui, une absence d’obstacles. Descartes parle alors de « libre arbitre ». La question de l’existence d’une servitude volontaire et de son rapport à la loi, qu’elle soit juridique ou morale, se pose, dans la mesure où, de par les définitions, lier la liberté ou le volontaire et l’obéissance semble donner sinon une contradiction, une incohérence en tant qu’incapacité à appartenir à des champs communs. Or dans ce cas, la loi si pour exister doit être respectée et obéie