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Avant de pouvoir vous définir l’inconscient, il est nécessaire de définir la conscience. Le dictionnaire définit la conscience : 1_perception connaissance plus ou moins claire que chacun peut avoir du monde extérieur et de soi-même. On y distingue 2 types de conscience : la conscience de ce qui nous entoure est la conscience de soi. La conscience de soi est la capacité propre à l’homme de se considérer comme objet de ses pensées, autrement dit l’utilisation du « je ». 2_le sentiment intérieur

La conscience I- Conscience morale et psychologique → Conscience = mot polysémique : 2 acceptations du mot: ¤ conscience morale : dès Socrate (Vème av. J.C.) qui évoque le « démon » l'invitant à telle ou telle conduite ¤ conscience psychologique → Conscience morale = présence en chacun de valeurs qui aident à définir ce qui est bien ou mal => origine de ces valeurs ? Fournies par une autorité extérieure (famille, société, Dieu) ? Ou bien découvertes/inventées par moi ? → Conscience

INTRODUCTION «  Cogito ergo sum »  : du latin je pense donc je suis, est une vérité première que DESCARTES au XVII eme prend comme base des autres philosophies. Ainsi pour lui personne ne peut douter selon lui de cette vérité première car nous ne pouvons douter de notre propre existence. De cette citation qui contribue au début de la réflexion sur la conscience, il apparait qu’elle engage l’homme à se positionner. Ici tu reviens à la ligne S’interroger et se demander « Pourquoi refuse

Garzoni Lundi 14 Novembre 2011 Rudy T°ES Dissertation « Autrui est le médiateur indispensable entre moi et moi même » Dans la vie courante il y a trois sujets : autrui, moi et moi même. Autrui, c'est n'importe qui à partir du moment que ce dernier dispose d'une conscience. C'est par conséquent un autre moi tout en étant différent du fait qu'il ne dispose pas de la même conscience. Le « Moi » est notre point de vu subjectif auquel on accède par l'intériorité. Il fait appel à notre conscience

deux choix qui départagent une décision. Plus la sensation que notre avenir est du à nos choix, plus notre conscience est vivace. Le doute est de toute évidence à l'origine de cette sensation. Descartes le confirme avec sa célèbre phrase « Cogito Ergo Sum » (« Si je doute c'est que je pense si je pense c'est que je suis donc je suis une chose pensante »). Bergson reprend donc un point déjà confirmé mais pousse le sujet plus loin en se posant la question de la vivacité du doute. Le philosophe sous-entend

Philosophie Si l'on dit «Chacun sa vérité» le mot « vérité» garde t-il un sens ? Intro: Pour certains la vérité n'est seulement un éléments de connaissance ou bien une hypothèse or ellepeut également se trouver avec l'idée réel. La vérité qualifie le vrai, elle peut être donc conforme a la réalité de plus elle est fondé par notre pensé. Autrement dit chaque êtres recherchent lavérité en soie qui ne peut être universelle à la seule condition d'être démontrable. On peut donc ce demandé si

Dans ce texte, Alain tente de nous montrer comment la conscience se constitue. L’auteur se demande à quelles conditions on peut ou non parler de conscience, comment celle-ci évolue à travers le temps, il tente aussi donc de développer la question de l’identité personnelle. Il avance dans ce texte que selon lui, notre conscience est en devenir permanent et donc que le moi ne sera jamais totalement construit. De plus, il montre l’intérêt du passé dans son évolution. Des lignes 1 à 3, Alain nous présente

pensée.  Sa méthode au fur et à mesure du Discours est de n’accepter que les faits absolument certains afin d’avancer dans la vérité en allant du plus simple au plus compliqué.  On y retrouve à la fin du Discours la vérité indubitable du cogito ergo sum, je pense donc je suis qui est la conclusion à laquelle le philosophie aboutit.  　 I/ Plan de l'ouvrage Première partie : considérations sur les sciences Seconde partie : principales règles de la méthode Troisième partie : règles de la

être ou voir (quand on rêve on croit faire quelque chose mais on ne le fait pas) => Il veut questionner aussi la pensée, mais au moment où il pense que la pensée n’existe pas il est en train de penser donc la pensée est indubitable  « Cogito Ergo Sum » : « Je pense donc je suis » TRANSITION : L’essence de l’homme serait donc sa pensée, singularité de l’homme au sein de la nature, être à part dans la nature. Ainsi, il y aurait bel et bien un rapport d’opposition entre Nature et Culture.

prouver qqchose = passage du doute naturel au doute hyperbolique - Spinoza : doute inutile et factice vérité non accessible ? - dans la théorie de Descartes : il a tout supprimé car il doute de tout mais il reste le « je » qui doute —> cogito ergo sum —> le « je » existe c’est une certitude unique : je suis une substance pensante - Apologie de Socrate écrite par Platon — > Il examina le propos afin d’en dégager le sens en interrogeant les prétendus sages sur leur supposé savoir. Il découvrit