Douaire

PIQUEUR – Valet de chiens qui poursuit la bête à cheval. FORURE – Trou fait avec un foret, une vrille ; trou axial de la tige de certaines clés. DOUAIRIERE – Vieille dame de la haute société, hautaine et sévère (péjoratif) ; veuve jouissant d’un douaire (droit de l’épouse sur les biens du mari). VIF-ARGENT (de vif, « vivant », et argent) – Mercure ; se dit aussi d’une personne très vive. MOUCHE – Petit morceau de taffetas noir que les femmes mettaient sur la peau pour en faire ressortir la

jeune fille pour la consommation du mariage qui scelle définitivement le mariage et donnera lieu le lendemain matin le morgengave (le don du matin : le mari à la femme pour qu’elle puisse vivre quand il sera mort). « Au coucher, la femme gagne son douaire » Dos ex marito : reçoit de son père et qui passe à la mort de celle ci, dans les mains de ses fils, ce qui prouve qu’elle était propriétaire de ses biens. Tacite montre une structure tridimensionnel : Richesse, Solidarité dans la guerre et les épreuves

PIQUEUR – Valet de chiens qui poursuit la bête à cheval. FORURE – Trou fait avec un foret, une vrille ; trou axial de la tige de certaines clés. DOUAIRIERE – Vieille dame de la haute société, hautaine et sévère (péjoratif) ; veuve jouissant d’un douaire (droit de l’épouse sur les biens du mari). VIF-ARGENT (de vif, « vivant », et argent) – Mercure ; se dit aussi d’une personne très vive. MOUCHE – Petit morceau de taffetas noir que les femmes mettaient sur la peau pour en faire ressortir la blancheur

Asmat », dans Soigner, éduquer, bâtir : un siècle de missions en Asie et Océanie 1860-1960, Françoise Douaire-Marsaudon éd., Paris, 1 Astrid de 2008, Hontheim, « De l’école sans bancs à l’école sans élèves : les surprises de Autrement, p. 180-203. l’enseignement missionnaire chez les Asmat », dans Soigner, éduquer, bâtir : un siècle de 85 missions en Asie et Océanie 1860-1960,87 Françoise Douaire-Marsaudon éd., Paris, Autrement, 2008, p. 180-203. 87 Une plume sur la balance de l’oralité Une plume

yendow reçu du père de l'épouse, les biens personnels du mari acquis, reçus ou hérités de sa parenté, les biens de l'épouse, moins nombreux que ceux de son conjoint mais qui, lui confèrent cependant une certaine autonomie : ce sont essentiellement le douaire. (sadag) reçu de: l'époux, le daho lanti donné par la belle-mère et éventuellement d'autres biens reçus en héritage (comme ailleurs en pays musulman, la part d'héritage des femmes est la moitié de celle des hommes).. La nature de ces biens est diverse

laisse entrevoir des exception : les dons aux église et au communauté religieuses ,exception légitimer par le statut du roi chrétien ; les dons fait a leurs maitresses, ; les dot des filles du roi constituent des exception a l’inaliénabilité , + la douaire (sorte d’assurance vie , des biens attribués a la reine si elle devient veuve de sorte de lui permettre de vivre après ) ; les échanges de biens domaniaux avec des bien pv , échange doivent etre proportionné > aspect relatif de la règle d’inaliénabilité

Que de cet incident par la ville on ne cause. LE NOTAIRE Hé bien, il est aisé d'empêcher cet éclat, Et l'on peut en secret faire votre contrat. ARNOLPHE, sans le voir. Mais comment faudra-t-il qu'avec elle j'en sorte ? LE NOTAIRE Le douaire se règle au bien qu'on vous apporte. ARNOLPHE, sans le voir. Je l'aime, et cet amour est mon grand embarras. LE NOTAIRE On peut avantager une femme en ce cas. ARNOLPHE, sans le voir. Quel traitement lui faire en pareille aventure? LE

cet incident par la ville on ne cause. Le notaire Hé bien ! il est aisé d'empêcher cet éclat, Et l'on peut en secret faire votre contrat. Arnolphe, sans le voir. Mais comment faudra-t-il qu'avec elle j'en sorte ? Le notaire Le douaire se règle au bien qu'on vous apporte. Arnolphe, sans le voir. Je l'aime, et cet amour est mon grand embarras. Le notaire On peut avantager une femme en ce cas. Arnolphe, sans le voir. Quel traitement lui faire en pareille aventure

fait tant de bruit ? Les mariages et les cessions sont les voies les plus douces par lesquelles un peuple puisse recevoir un maître étranger, mais elles ne sont pas fort honorables ; elles supposent que l’on puisse disposer d’une nation comme d’un douaire ou comme d’un legs, selon le bon plaisir ou selon les intérêts du prince. On pourrait croire que dans les royaumes électifs, la force ne s’en mêle pas ; mais qu’est-ce que cette élection tant vantée ? C’est ou un accord fait entre les grands, qui

correspondances, où il développe les idées que le mariages n'est pas un mariage « d'amour » ce qui encourage l'homme a aller tromper sa femme. Il est contre l'argent qui circule pendant le mariage définit dans le contrat comme la dot. Mais il est pour le douaire (la somme que le mari s'engage a réserver s'il meurt avant sa femme), car c'est une sécurité de survie pour les femmes, et c'est sur le plan moral un remerciement du mari à la femme pour son traitement rendu. Il ne se contente pas de lancer des idées