Douaire

choix, ce sont les parents qui font le traité. Lors des négociations, on parle de la dot, des arrhes, on détermine les biens du futur et de la future (les biens du couple sur lesquels ils devront vivre). On prévoit aussi la constitution d’un douaire à la fiancé pour qu’elle ne soit pas sans rien lorsque son mari mourra. Ces négociations aboutissent à un accord. On fait ensuite une promesse de mariage qui constitue en des remises de gages à la jeune fille : anneau, arrhes. Ensuite on organise

nous Lettres de grâce. Article 44 Déclarons les esclaves être meubles et comme tels entrer dans la communauté, n'avoir point de suite par hypothèque, se partager également entre les cohéritiers, sans préciput et droit d'aînesse, n'être sujets au douaire coutumier, au retrait féodal et lignager, aux droits féodaux et seigneuriaux, aux formalités des décrets, ni au retranchement des quatre quints, en cas de disposition à cause de mort et testamentaire. Article 45 N'entendons toutefois priver nos

qui se replie peu à peu sur lui-même. Un autre système consiste à opérer une distinction entre fils et filles ; seuls les fils pouvant recueillir le patrimoine. Les filles sont dédommagées par une dot ou par l'espérance d'un mari autrement dit un douaire. Dans ce système, seuls les mâles perpétuent le groupe ; on parle de système à lignage. Il faut bien comprendre que ces différents systèmes sont liés à une certaine conception de la propriété. Là encore, deux systèmes s'opposent : la conception

veuve de la succes-sion, à laquelle, elle n'y vient que par voie de legs, aux termes d'un testament en la forme soffrim notariat rabbi-nique. En l'absence de legs, la femme peut en application de la koutouba (acte de mariage) se prévaloir du douaire. En cas de renonciation à ce dernier, les héritiers lui doivent une pension alimentaire viagère qui s'éteint par son rema-riage. Voulant garder la totalité des biens paternels dans le pa-trimoine familial, il est donc admis d'écarter les héritiers

termes d’ancrage territorial des familles, point sur lequel nous reviendrons. → En cas de mort de son mari, on rappellera que la femme a des droits sur ses dotations (dot : biens reçus par la femme lors de son mariage, de la part de sa famille ; douaire : biens reçus par la femme lors de son mariage de la part de son mari). 3 La transmission des noms → On parle de mutation anthroponymique pour le XIe siècle. Du point de vue de la famille, celle-ci se traduit de deux manières : - la transmission

nous Lettres de grâce. Article 44 Déclarons les esclaves être meubles et comme tels entrer dans la communauté, n'avoir point de suite par hypothèque, se partager également entre les cohéritiers, sans préciput et droit d'aînesse, n'être sujets au douaire coutumier, au retrait féodal et lignager, aux droits féodaux et seigneuriaux, aux formalités des décrets, ni au retranchement des quatre quints, en cas de disposition à cause de mort et testamentaire. Article 45 N'entendons toutefois priver nos

fond ; syn. (pop.) : bachotage. Domaine royal : terme utilisé par les historiens pour décrire les terres et les droits contrôlés directement par le roi et par son administration. Dot : donation d’un père à sa fille au moment de son mariage. Douaire : donation d’un mari à sa femme, dont celle-ci peut jouir, généralement en usufruit, au moment de son veuvage ; par extension, droits d’une femme survivante sur les biens de son mari défunt. Doyen : titre porté par le premier des chanoines d’un

de soumission aux hommes. Sur le plan juridique elles passent de l'autorité de leur père à celle du mari. le contrat de mariage donne tout pouvoir au mari qui dispose des biens communs avec un pouvoir absolu. C'est lui qui décide du montant du "douaire" (= montant assigné `a sa femme) alors que cet argent vient de sa "dote" (= argent de sa famille qu'elle apporte en cadeau à son époux) Positions mysogynes de l'époque: o la femme est inférieure à l'homme. Sa seule vocation est la maternité et les

connaît une troisième libéralité en faveur de la femme : il s'agit du douaire ou nudunnll'. Ce douaire pour cause de survie de la femme à son mari ( veuvage ) lui permet de subsister ainsi que ses enfants. Le nudunnf.l certes n' est pas obligatoire, mais le C.R le prévoit expressément ( § 171 ). A défaut le § 172 dispose que la veuve peut prélever « une part de fils » sur la succession de son mari. ll est logique de penser que le douaire est constitué lors de la survenan~e de progEn.iture ( troisième temps

nature a | |fait une race d’ouvriers, c’est la race chinoise, d’une dextérité de main merveilleuse sans presque aucun sentiment d’honneur ; gouvernez-la avec justice, en prélevant | |d’elle, pour le bienfait d’un tel gouvernement, un ample douaire au profit de la race conquérante, elle sera satisfaite ; une race de travailleurs de la terre, c’est le | |nègre ; soyez bon pour lui et humain, et tout sera dans l’ordre ; une race de maîtres et de soldats, c’est la race européenne. Réduisez