Dreyfusards Et Antidreyfusards

carnot contre les socialiste. 4)affaire Dreyfus (1894-98) Il est injustement jugé de trahison au profil de l’Allemagne,antidreyfusard la verité fini par eclater au grand jour , quand zola publie l’article j’accuse . Cette crise fini par entrainer une chute du gouvernement, on met en place lunion nationale. Ensuite valdekrousseau et lors des election legislative les dreyfusard remporte les elction . Gracié par emile loubet Cc du grand 3 : La republique a été consolidé en France mais el n’est

gracié en septembre 1899, puis réhabilité. Alfred Dreyfus a été au cœur d'un conflit social et politique majeur de la III ème République, appelé l'Affaire Dreyfus. Cette affaire a divisé l'opinion française en deux clans opposés : les dreyfusards et les antidreyfusards. Émile Zola s'est impliqué politiquement dans cette affaire en prenant publiquement la défense d’Alfred Dreyfus : Émile Zola a publié dans le journal L'Aurore, début 1898,une lettre ouverte intitulée J’accuse… ! A la suite de cette

publié influencent l'opinion publique. Comme nous l'avons déjà dit, cette affaire prend au bout d'un moment une ampleur considérable, jusqu'au point de diviser toute la France en deux à son apogée en 1899. Les courants politiques se divisent en dreyfusards et antidreyfusards. Cette affaire permet à des organisations antisémites de voir le jour et d'exposer leurs idées avec un bon prétexte. C'est par exemple le cas de l'Action Française. C'est un mouvement politique réactionnaire, nationaliste et antisémite

Les adversaires de la révision du procès invoquent la raison d’Etat et l’honneur de l’armée. Ils sont soutenus par des nationalistes, comme Barrès et Déroulède (Ligue des Patriotes) ou des antisémites, qui dénoncent le « Syndicat juif ». Les dreyfusards invoquent les idéaux de la Révolution, le droit de l’individu et les principes universels de 1789. Ce clivage dépasse les sphères politiques, pour toucher de nombreux Français (caricature de Caran d’Ache, « Un diner en famille »). En août 1898

au capitaine Alfred Dreyfus,  de confession juive, qui sera finalement innocenté. Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1895 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l’innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards » partisans de sa culpabilité. L’origine de cette affaire, la condamnation fin 1894 du capitaine Dreyfus pour avoir livré des documents secrets français à l’Empire allemand, s’avéra par la suite être une erreur judiciaire2

Dreyfus Le capitaine Alfred Dreyfus est accusé de haute trahison envers la France, ayant soi-disant falsifié et communiqué des documents secrets et de première importance à l'Allemagne. Cette affaire oppose les «dreyfusards », partisans de l'innocence du capitaine, aux « antidreyfusards », partisans de sa culpabilité. L'affaire dure jusqu'en 1906, alors que le capitaine Dreyfus est enfermé au bagne de Cayenne, en Guyane, et prouve in fine son innocence. Les grandes œuvres de la littérature française

au capitaine Alfred Dreyfus français qui sera finalement innocenté. Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1894 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l’innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards » partisans de sa culpabilité. On ne sait si la Charge décrite par Devambez vise à réprimer une émeute anarchiste, mais elle prend sans doute son sens dans le contexte troublé des années 1890 et du début

intitulée « J'accuse… ! ». Il accuse l'armée et le gouvernement de ne pas reconnaître l'erreur judiciaire.Dès lors, la presse reflète la lutte entre les deux camps. Il y a d'une part les dreyfusards, partisans de l'innocence de Dreyfus au nom des valeurs républicaines et démocratiques. D'autre part, les antidreyfusards regroupent les partisans de la culpabilité de Dreyfus, au nom du soutien de l'armée. Ces derniers sont majoritairement nationalistes et antisémites. • En 1899, Dreyfus est à nouveau jugé

de la France en deux camps. D’un côté les dreyfusards, ce parti est conduit par Clemenceau, directeur du journal l’Aurore. Il compte surtout -malgré la présence de certains conservateurs, avec le journal le Figaro, et de certains catholiques et militaires -des radicaux et de nombreux socialistes comme Jaurès, des intellectuels, des écrivains comme Zola. Il prend vite des accents antimilitaristes et anticléricaux. De l’autre côté, les antidreyfusards qui correspondent largement à la droite nationaliste

apporter son soutient à la famille du condamné. L’évolution du monde politique sur l’affaire Dreyfus s’explique dans un premier temps par des raisons stratégiques, Clémenceau va fonder un journal « L’aurore », qui va rapidement devenir la tribune des Dreyfusard. La campagne de presse en faveur du révisionnisme va évoluer rapidement grâce à l’article de Zola « J’accuse » du 13 janvier 1898, article dans lequel il dénonce l’aveuglement et la mauvaise foi de l’état majeur français qui a condamné Dreyfus