Dreyfusards Non Dreyfusards

fait naître lois constitutionnelles en 187530 janv 1875 = Amendement Wallon → psdt de la Rép élu par Sénat + chambre des députés ▪ Sénat peu démocratique 75 nommés à vie → ; 225 pour 9 ans élus par 1 collège électoral (ens de grands élécteurs) et non par suffrage universel ▪ Chambre des députés élue au SU direct = pièce démocratique du → compromis de 1875Mise en place des institutions :20 janv + 5 mars 1876 = grâce à la démocratie → la France devient républicaine (première victoire républicaine

du passé est abandonnée. La République n’est plus l’an I d’une nouvelle ère, mais le couronnement glorieux de vingt siècles d’histoire de France. En effet, le nouveau régime se doit de rassembler tous les citoyens, et veut désormais s’identifier non plus à un parti, mais à la France. Or la France s’est construite au long des siècles. L’histoire française et l’histoire républicaine vont se recouper, marque du caractère 4 exceptionnel de la nation : « Dans l’humanité civilisée, la nation française

rôle décisif dans le destin de l’Action française et dans sa relation avec l’Eglise catholique. Jacques Maritain, né en 1882 dans une famille Républicaine (il est le petit fils de Jules Favre) est d’abord socialiste et évolue dans les milieux dreyfusards. Il fit des études de philosophie et se convertit au catholicisme en 1906 en même temps que son épouse juive Raïssa. Agrégé de philosophie, il choisit d’enseigner à l’Institut catholique de Paris. Jacques Maritain était un thomiste, c'est-à-dire

Extrême gauche renaît autour d’une section de la 1ère internationale. Les candidatures rép ont augmenté en 63 : succès en ville. 69 : percée la + nette avec victoire totale à Paris, mitigé en zone rurale (30 élus). Plébiscite du 8/05/70 (18% de NON) régime solide, rép découragés. b) La diversité des républicains. (aile libérale de rép bourgeois (Simon, Favre, Ferry), avec les orléanistes sur les libertés (Thiers 64 « libertés nécessaires »), décentralisation : « La F a besoin

Dreyfus est reconnu innocent et réhabilité. A titre posthume, on réhabilite le militaire qui l'a soutenu. Le 20 juillet, Dreyfus devient chevalier de la Légion d'Honneur. Tout cela montre que la France a été divisée en 2 camps, dreyfusards et antidreyfusards. Parmi les dreyfusards, on a des personnalités comme Zola, Anatole France, Proust, Durckheim, Monet et Pissarro. Du côté des antidreyfusards, ce sont surtout des notabilités : il s'agit d'associer les valeurs traditionnelles de l'armée avec l'État

Waldeck-Rousseau, contraint les congrégations religieuses à demander des autorisations… qui ne sont jamais accordées. L’affaire Dreyfus a également ravivé l’opposition : la plupart des républicains sont dreyfusards quand la hiérarchie catholique, cherchant notamment à déstabiliser la République, est clairement anti-dreyfusarde. Dès lors, la tension est très vive entre le pouvoir républicain et l’Église catholique. La France apparaît divisée et il devient urgent d’agir. En juin 1903, la Chambre des députés met en

tentent de démontrer l’innocence de Dreyfus. En janvier 1898 Émile Zola publie un article intitulé « J’accuse » dans le journal L’Aurore, ou il accuse l’armée d’avoir condamne un innocent. Deux partis émergent alors de l’affaire Dreyfus : les Dreyfusards et les antidreyfusards. La ligue des droits de l’homme est créée en cette occasion pour soutenir Dreyfus, alors que pour les antidreyfusards le prestige de l’armée et la décision de l’État ne doivent pas être remises en cause. A la suite d’un procès

l’accusation de trahison faite au capitaine Alfred Dreyfus,  de confession juive, qui sera finalement innocenté. Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1895 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l’innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards » partisans de sa culpabilité. L’origine de cette affaire, la condamnation fin 1894 du capitaine Dreyfus pour avoir livré des documents secrets français à l’Empire allemand, s’avéra

flou doc transp dénonciation des pot-de-vin ( ss-entend que les députés st corrompus, vt une autre Répu, une honnête ; autre critique les « coteries »( pour lui les députés et les partis pol ne st que des réunions de pers défendant lrs intérêts et non ps cx de la France « révision » de la Constitution dc chgt de régime le 27 janv il est élu à Paris avec le vote des 3/5ème ( à l’annonce des résultats ces amis le poussent à s’emparer du pvr, une foule de parisiens en « délire » le pousse à marcher

général.  L’affaire Dreyfus a été révélée en 1894 dans Le Figaro. Cette affaire a été énormément relayée dans la presse, de telle sorte qu’elle a été « gonflée », et est presque devenue un critère de positionnement politique : d’un côté les dreyfusards, de l’autre les antis (généralement antisémites, Dreyfus étant juif). L’opinion a été polarisée de la même manière, créant un certain climat de tension. C’est dans cette ambiance qu’Emile Zola a écrit, le 13 janvier 1898 dans le journal L’Aurore