Dreyfusards Non Dreyfusards

attentat à la bombe de Auguste Vaillant. Emile Henri après plusieurs attentats meurtriers est exécuté. Décembre 1893 loi qui punit de prison la provocation au vol, au meurtre et à l’incendie et transfère en juillet 1894 aux tribunaux correctionnels ( et non les jurys de cours d’assises) les délits de presse provoquant la violence. 3) Radicaux, gardiens de l’identité républicaine Intransigeants et réalistes Les radicaux peuvent se prévaloir d’être les gardiens d’une longue traditions républicaine forgé

choisir un président, pour un mandat. La Constitution prévoit une élection au suffrage universel. Louis Napoléon Bonaparte est élu président pour 4 ans ! A la fin de son mandat, il veut se présenter de nouveau à la présidence, mais la constitution dit non. Alors il fait un coup d'état, et prépare ainsi la mort de la république, en arrêtant les républicains ou en les exilant. Victor Hugo choisit l'exil. A partir de 1852, le II Empire naît, et dure deux décennies, de 1852 à 1870. On distingue deux phases :

pas proclamer un régime ou une autre = vide juridique jusqu’à l’amendement Wallon du 30 janvier 1875 et le 25 février 1875 avec La loi sur l’organisation des pouvoirs publics· Le 10 mars également = fixation du siège du gouvernement à Versailles et non Paris· Le 10 mars = Définition solennelle des Statuts de la Fédération de la Garde Nationale· 18 mars 1871 = basculement de Paris dans la Révolution !· Déplacement des 227 canons achetés par souscriptions des parcs d’artillerie vers des sanctuaires·

exclusivement littéraires on dénombre plus de 250 nouveaux titres entre 1880 et 1914. On peut citer : * La Revue Blanche (fondée par les frères Natanson en 1889 à Liège et installé à Paris en 1891, elle fût le porte-parole des intellectuels dreyfusards, et le support de plusieurs nouvelles publications littéraires  parmi lesquelles : Journal d’une femme de chambre d’Octave Mirbeau en 1900. Elle disparait en 1903.) * Le Mercure de France (fondée dés 1672 sous le nom de Le Mercure Galant par

Le budget explose : sous le second empire : 12 millions de francs. En 1888 : le budget passe à 100 millions de francs. Lois libérales : liberté de la presse, de réunion, d’association. 1882 : les maires sont élus par les conseils municipaux (et non par le gouvernement). Révision de la constitution (les sénateurs ne peuvent plus être nommés à vie). Programme Freycinet : programme de grands travaux publics. Objectif : redynamiser la vie économique, notamment en désenclavant les campagnes isolées

ce texte sert encore de référence. Ce résultat, plutôt positif, est le fruit d'un combat, à la fois politique et social. 2ème PARTIE : La presse et le peuple C'est à cet aspect social que nous allons nous intéresser dans une seconde partie car, non seulement le XIXème siècle est pour la presse un siècle de conquête de la liberté, mais aussi celle d'un nouveau public et l'aventure des journaux se mêle à cette fin a celle des sociétés industrielles. Les progrès techniques Les progrès techniques

romain, ce sont les choix de l’auteur, en choisissant notamment une femme en tant que narratrice. La femme au 19ème siècle ne dispose alors pas d’un statut reconnu, ne dispose également pas de droits sociaux ou politiques. Secondement, Mirbeau choisit non seulement une femme mais une femme de chambre, certainement ce qu’il existe de plus soumis et de plus rabaissé à l’époque. Ce choix est donc surprenant voir impensable pour l’époque, jamais la parole d’une soubrette ce voit être prise en compte, surtout

s’impliquer dans une quelconque affaire qui tient à cœur un écrivain : pour Sartre, qui a été condamné, ça sera la résistance (il écrira les Carnets de drôle la de guerre en 1940). Il est donc intéressant d’étudier si la littérature est efficace, ou non, pour défendre ses idées. Dans un premier temps, on verra la responsabilité de l’écrivain en détail, puis l’art de convaincre et de persuader que possèdent les romanciers, et enfin dans un dernier temps, nous contrasterons avec les limites du rôle de

condamné et déporté en 1894 vers la Guyane. En 1897  il y eu un rebondissement quand le colonel Picquart acquiert conviction de l’innocence de Dreyfus. L’Article « J’accuse » de Zola réclame révision du procès. L’affaire divise les esprits : entre dreyfusards et antidreyfusards. La presse tiens un rôle prépondérant. La Droite conservatrice se fait nationaliste, militariste et antisémite et la Gauche démocratique, attachée aux droits de l’homme, évolue vers le pacifisme. A nouveau condamné en 1899, Dreyfus

philosophie des lumières qui prêche l’égalité des individus et refuse donc la division en ordre (3 ordres : noblesse, clergé, tiers-états) de la société d’ancien régime. Cette mentalité a précédé la Révolution, c’est la cause principale de la Révolution et non sa conséquence. Tocqueville dit que la destruction de la société féodale opérée par la Révolution aurait eu lieu de toute façon. Tocqueville dit : « Tout ce que la Révolution a fait, ce fut fait, je n’en doute pas, sans elle ; elle n’a été qu’un procédé