Droit de remontrance

domination. Don Juan apparait comme un personnage hors du commun, démesuré ( éminemment dramatique ). Un duo inhabituel. Dans cette première partie de l’étude, nous constatons que Sganarelle peut disputer avec son maître mais n’a pas le droit aux remontrances. Ainsi Don Juan affirme « je te donne la liberté de parler et de me dire tes sentiments », traditionnellement les valets dans les comédies de l’époque sont considérés comme des bouffons mais là nous remarquons une relation privilégiée. Cette

avait dévoré elle-même les digues qui la protégeaient contre l’océan humain sous lequel elle devait périr. Le magnanime César, en écrasant les Gaules, ne fit qu’ouvrir la route aux Germains. Tant de sociétés, tant de langues éteintes, de cités, de droits, de foyers anéantis, firent le vide autour de Rome, et là où les barbares n’arrivaient pas, la barbarie naissait d’elle-même. Les Gaulois détruits se changeaient en Bagaudes. Ainsi la chute violente, l’extirpation progressive des cités particulières

vant Propos : Le droit comme la justice est inhérente à toutes sociétés. Dans toutes les sociétés à toute époque il y a toujours juge chargé de rendre justice. Toute vie sociale entraine des contestations, des conflits. Ces conflits se produisent pour de multiples raisons (existence de certains faits, sens de la portée d’une règle de droit). Une tierce personne doit intervenir pour trancher le conflits, en général dans les société modernes et démocratiques, un tiers extérieure au conflit se prononce

Texte 1 : Ce texte est un extrait des remontrances du parlement de Paris, il a été écrit à paris au 18ème siècle. Il s’agit du siècle où il y a eu la révolution française. Ce texte est adresseré au Roi et parle de l’inégalité qui est très présente à cette époque où la France est une monarchie absolue. L’auteur du texte pense que l’inégalité est obligatoire pour qu’un ordre règne, et que chacun a une place précise à honorer au sein de la société. A noter que dans le dernier paragraphe, il est dit

rend au château du gué de Vède. Il est accueilli par ses ennemis à coup de canons et d’artillerie, pourtant il ne s’en rend pas compte. « Mais un méchant canonnier qui était mâchicoulis lui tira un coup de canon qui l’atteignit violemment à la tempe droite ; pourtant il ne lui fit pas plus mal que s’il lui avait jeté une prune. ‘ qu’est-ce donc ? dit Gargantua. Vous nous jetez des grains de raisin ?’ ». Aux chapitres XXV et XLI, Rabelais tourne les moines en dérision à travers la guerre et par la même

la haine des pays colonisés. C'est dans une perspective communiste que l'auteur critique fougueusement la classe bourgeoise qui n'a plus de limites dans l'atrocité qu'elle délègue au travers du système économique capitaliste. Ce discours est une remontrance envers la colonisation, telle un concept de déshumanisation de l'Homme pour qu'ils détruisent des civilisations. Ce pamphlet est la première déclaration de la valeur des cultures nègres devant l'Occident. En 1950, l'Afrique est toujours colonisée

être sacré là-bas, Reims étant au mains des ultras catholiques. L’édit de Nantes est une décision royale en 1598, c’est un texte de compromis, où les protestants vont être reconnu et vont être des sujets du roi, ce qu’il leur permettra d’obtenir des droits comme léguer son patrimoine ou se marier par exemple. Les protestants avait de nombreuses place forte avec de la milice, dans l’ouest, sud ouest, de la France. Tolérer n’a pas la même signification, ici cela veut dire que les protestants vont devoir

appartient la puissance exécutive ». * Les ministres dans l’esprit des chartes n’étaient que des conseillers responsables devant le Roi, nommés et révoqués par lui. On observe aucune spécialisation fonctionnelle, toute justice émane de lui il peut en droit, dans la théorie, dominer totalement les ministres qui ne peuvent agir sans son accord. La charte ne prévoit que leur responsabilité pénale (article 55 et 56). * Le Roi est irresponsable et inviolable (article 13). b. Evolution vers un régime

période d'un an seulement, alors que depuis 1414 les souverains précédents avaient reçu ce droit à vie. Au lieu de congédier le duc de Buckingham, Charles, convaincu de détenir son pouvoir royal de droit divin, fait dissoudre le Parlement et court-circuite la voie parlementaire pour exiger de nouveaux impôts pour financer ces guerres. En 1628, les deux chambres du Parlement adressent une pétition des droits (Petition of Right) qui rappelle au roi ses manquements aux libertés anglaises : tout nouvel

royauté de repenser progressivement les fondements de son autorité, ce qui veut dire que le droit qui était suzerain dans l’ancien temps passe souverain.Il est considéré comme un supérieur dans la chaine féodo-vassalique, il est lié par contrat au seigneur locaux ce qui veut dire moyennement à un serment porté au roi, il promet la protection le seigneur la fidélité (une règle de droit privé qui s’applique au droit public). Il n’y a pas de hiérarchie. Pas d’autorité.Le roi lorsqu’il va faire les seigneurs