Droit Des Patients

dans un service de 14 patients souffrant de pathologies diverses : pathologies cardiaques, vasculaires, amputations, pneumologies, digestives. Durant cette période j’ai pu observer une douche donnée contre la volonté du patient. Description de la patiente et de la situation : Mme H Micheline, 75 ans est entrée en soins de suite et rééducation pour une convalescence après l’amputation de sa jambe gauche à hauteur du genou. Ces antécédents sont : une amputation de la jambe droite en 2011, un pontage

pluridisciplinaire La patiente Nom : R. Prénom : Juliette Age : 87 ans Motif d’hospitalisation Le Novembre 2010, Mme R a été hospitalisé en urgence au Nouvel Hôpital Civil de Strasbourg après avoir chuté en ramassant des feuilles, une chute n’ayant causé ni traumatisme crânien, ni perte de connaissances . Cette chute est due à un accident vasculaire cérébral hémorragique droit probablement induit par un pic hypertensif (HTA connue). Par la suite, la patiente a été transféré au service

Actuellement en stage dans un centre de soins infirmiers à domicile qui prend en charge différents types de patients dits « chroniques », c'est-à-dire des patients chez qui nous nous rendons tous les jours pour des soins habituels (injection d'insuline, prise de médicament...), mais nous soignons également des patients dits « externes », c'est-à-dire des patients chez qui nous nous rendons ponctuellement pour des soins spécifiques (pansements, injection d'HBPM suite à une intervention chirurgicale

Institut Régional de Formation Rapport de stage Et d’Enseignement Aquitaine Diplôme d’état d’infirmier Croix Rouge Française Dispense de scolarité titre V Arrêté du 06/09/2001 art 27 ROLE INFIRMIER DANS LA PRISE EN CHARGE D’UN PATIENT ATTEINT D’UN ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL EN EHPAD Session novembre 2007 Aboubacar TRAORE 1 « Il s’agit d’un travail personnel effectué dans le cadre d’une scolarité en IFSI (Croix rouge de Bordeaux) et il ne peut faire l’objet d’une

Le service accueil des patients majeurs pouvant être atteints de diverses pathologies cardiaques et ayant eu ou devant subir une intervention chirurgicale telle que : PAC (Pontage aorto cornarien), Infarctus du myocarde /décompensation cardiaque, OAP (Œdème Aigu du poumon), Pathologie coronarienne, Remplacements valvulaires Aortique ou Mitrale (bio ou méca), Pose de pace Maker, Life Vest, Heart Mate, Plastie mitrale. Le service a une capacité d’accueil totale, de 37 patients en chambres individuelles

Auteurs : Mlle MEYSSIREL Angélique Mlle RABOT Rachel Mlle SLIMANE Nabila PROMOTION 2006/2007 1 SOMMAIRE REMERCIEMENTS INTRODUCTION PAGES 3 4 I - CONSTAT I - 1 L’influence de la médiatisation I - 2 Notre expérience I - 2 - 1 Cas de violence de patient envers un agent hospitalier I - 2 - 2 Cas de violence au sein du personnel I - 3 Nos interviews 6 6 7 7 9 10 II - CADRE LEGISLATIF ET THEORIQUE II - 1 Les lois II - 2 Définitions II - 3 Vision psychologique, philosophique et biologique II - 3 -

Dissertation droit civil le droit à mourir dans la dignité «La mort n'est pas chose si sérieuse, la douleur oui.» cette phrase d'André Malraux souligne la véritable problématique que soulève le droit de mourir dans la dignité. En effet, on pourrait par extrapolation dénoncer l'acharnement thérapeutique qui conduit à garder les malades en vie alors que ceux ci réclament juste une douce fin. Comme le fait remarquer E. Garraud, « moins les médecins s'entêteront à repousser la mort par des soins

Cette institution accueille les personnes de dix huit ans et plus qui souffrent de troubles psychotiques stabilisés (plus spécialement les schizophrènes) et habitant sur le secteur Nord Atlantique. Elle a pour objectif d’offrir aux patients un programme thérapeutique intensif et limité dans le temps, afin d’optimiser leur insertion familiale, sociale et professionnelle. Au sein de l’établissement, le travail se fait en équipe pluridisciplinaire. Celle-ci se compose de douze professionnels

le malade demande que l'on mette fin à ses jours car la vie est devenue insupportable.  * quand le patient refuse que l'on continue à le soigner (il est souvent atteint d'une maladie incurable à un stade terminal).  * lorsque le malade demande qu'on lui administre un traitement qui diminue ses souffrances mais qui va hâter sa fin.  L’euthanasie est involontaire :  * quand le patient est dans l'incapacité de donner son accord.  * quand on suspend un traitement jugé utile, qu’on «

l'EUTHANASIE du 28 mai 2002 . ------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Introduction . La loi dite de «dépénalisation de l'euthanasie» pratiquée par un médecin à la demande expresse du patient et dans le respect d'un certain nombre de conditions restrictives constitue une cause de «justification légale» à l'égard de l'infraction pénale de l'homicide volontaire Afin de mieux comprendre la portée de la loi, nous rappellerons certaines notions