Droit Des Patients

jusqu’au cerveau.( Les oreillettes se contractent vite et le sang ne peut plus circuler jusqu’au ventricule, il coagule et forme un caillot). L’hospitalisation est prévue pour la semaine. Mme R est venue de son domicile en VSL Martina. Cette patiente est mariée et a deux enfants. Elle est retraitée du métier de professeur qu’elle exerçait sur Clermont Ferrand. Mme R à pour antécédents médicaux et chirurgicaux une fracture bimaleollaire en 2003, une phlébite avec séquelle veineuse, une hystérectomie

dans le colon subit une opération chirurgicale conséquente, la colectomie droite. II– Phase descriptive: Mme A , 68 ans, mesure 1,64 mètre pour 62 kilogrammes , soit un IMC (Indice de Masse Corporrelle) à 23,1 , et a donc une corpulence normale . Mme A a très peu d'antécédents médicaux et chirurgicaux: Antécédents Médicaux Antécédents Chirurgicaux - Fracture du poignet droit - Réduction – Ostéosynthèse du poignet droit. Mme A est une personne sociable, très entourée par sa famille en particulier

Lieu : Au CHU de Grenoble en service de pneumologie. Le service comporte 10 chambres pour environ 17 patients atteints de pathologies pulmonaires chroniques. Ce service ne prends pas en charge de patients cancéreux. Il y a une infirmière et une aide soignante de 7h à 14h30, une autre infirmière et aide soignante sont la de 9h à 16h30, l'équipe du soir (une infirmière et une aide soignante) est la de 14h à 21h30. Situation vue ou réalisée: La situation est en lien avec les compétences 7

(et porte des bas de contention), est diabétique et présente une incontinence urinaire et fécale. Elle a subi une cystopexie, une cholecystectomie et une hysterectomie. Elle est également porteuse d'une prothèse totale de hanche au membre inférieur droit qu'elle s'est fracturé suite à une chute. Cette dame voit et entend normalement et ne présente aucun déficit neurocognitif, cependant, elle parle très peu et s'exprime le plus souvent par des hochements de tête. Elle semble ne prendre goût à rien,

Confrontation entre économie et droit. Cristallisation entre les juristes et les gestionnaires. Le juriste s'occupe de l'esprit, de la volonté. Soignants et juriste se rejoignent. Tout soignant nous une relation avec la personne. DROIT Mécanisme d'encadrement du fait social. Le droit est un moyen. Ce n'est pas une fin. On ne fait du droit que pour encadre du fait social. LE DROIT ça contraint Toute règle sans sanction n'est pas à proprement du droit. Une loi qui ne serait pas assortie

Information patient Lors de mon 3ième jour de stage, La situation se déroule dans un service de chirurgie ambulatoire qui traite les pathologies des cinq spécialités : chirurgie ophtalmique, chirurgie gynécologique, des endoscopies, chirurgie ORL et chirurgie vasculaire. Ce service est une création récente par rapport aux autres secteurs, il poursuit une prise en charge efficace dans le circuit du patient avec une organisation compétente dans le respect des bonnes pratiques. Une patiente, Mme D, âgée

Dimension économique du droit de la santé la santé est une économie à part entière, qui crée de l’emploi et de la richesse. Sur lyon les laboratoires pharmaceutiques sont les 1ers employeurs. On à du mal à valoriser cette création de richesses, on a plus l’impression que c’est un centre de cout qu’un centre de richesse. La santé coute chère. Elle a un cout=> ce prix est lié à la démographie, plus la pop vieillit, plus elle coute chère. Dimension gestionnaire du droit de la santé quel mode de

généralisé. Les infirmières viennent tous les jours pour une prise des paramètres vitaux, injection d’anticoagulant tous les matins et surveillance de chimiothérapie lorsque celle-ci en a une en cours, dans ce cas celle-ci passe au domicile de la patiente matin et soir. Ensuite cette situation concerne l’infirmière libérale qui connait Mme Z depuis 3 ans et la suit depuis le début de sa maladie qui a débuté par un cancer au poumon et qui s’est très vite généralisée. Et pour finir, elle concerne moi-même

face à ces émotions, nous devons savoir faire abstraction de celles-ci devant le patient si cela est nécessaire et prendre alors du recule. Cependant, n'oublions pas que le soignant reste un être humain à part entière avec ses qualités, ses défauts, mais aussi ses souffrances physiques et morales. Quelques fois, il vaut mieux faire part de ses émotions (pleures, geste, silence) car cela peut nous aider et aider les patients, mais il faut veiller à toujours rester dans la bienveillance. Les progrès

Problématique entre autonomie, consentement, dignité du patient (loi du 4 mars 2002) et la contention mécanique en milieu hospitalier. INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS 10, rue Marcel PROUST 22027 SAINT-BRIEUC cedex Sommaire : 1. Introduction. 2. Présentation du contexte. 3. Analyse de la situation. 4. Axes d'amélioration. 5. Conclusion.