Droit divin

ordres doivent obéir au roi. C'est une société fondée / qui repose sur l'inégalité. B / La monarchie de droit divin, 1p34 Selon Bossuet, le roi est l'envoyé de Dieu, il lui obéit. Cela oblige les sujets à être de la même religion que le roi, c'est-à-dire à être catholiques. Il est donc hors de question de contester un ordre du roi, car le roi est sacré. On parle de monarchie de droit divin car selon cette théorie le pouvoir du roi lui serait donné par dieu.II / La monarchie absolue créée

révolution mais plutôt à une évolution : "quelque fois, change de nature, devenant alors prince cesse d'être tyran".     Cependant, la 1ère phrase a une tonalité péremptoire (catégorique). Implicitement, Diderot remet en cause la monarchie de droit divin (implicite car censure des Jésuites).     Diderot bénéficie de la caution de Dieu pour récurer l'église.     L'argument est repris au paragraphe 4 et utilisé pour justifier le seul type de soumission que Diderot reconnaît.     C'est parce que

consentement = progrès Cf. : (« devenir » + paragraphe de transition « tyran » (archaïque) devient « prince » (positif et récent) ( Rythme ternaire L.22 ( Rehausse le peuple ( Logique : cf. connecteurs logiques = raisonnement logique ( Monarchie droit divin : CRITIQUE ( Dieu ne partage pas le pouvoir ( Roi = homme normal -> autorité discutable d’égal à égal ( Critique société : -crédule cf. « crime de l’idolâtrie » - soumise : profite au roi. Antithèse corps/esprit, apparence/réalité Cf. : L

passé sa vie a lutter contre l'injustice, l'intolérance, voire la tyrannie. Le courant philosophique des Lumières traverse le XVIIIe siècle, remettant en cause les fondements des systèmes politiques, notamment du royaume de France : monarchie de droit divin, concentration des pouvoirs, intolérance religieuse, Voltaire est donc une des grands figures des Lumières. Quelques textes : Candide (conte) La Henriade (poésie) Zadig (conte) L'Ingénu (conte) La Princesse de Babylone (conte) Dictionnaire philosophique

la date de son sacre. Il faudra attendre 1403 et 1407 pour que le Roi Charles VI prenne 2 édit sur l’instantanéité de la succession. Un roi qui s’inspirait d’une règle de droit privé (saisine héréditaire), «  le mort saisi le vif ». D’un point de vue doctrinal, Jean de Terre a rattaché l’instantanéité de la succession au droit acquis du dauphin, celui que la coutume désignait comme successeur. Les rois sont considérés comme des sortes de personnes «  immatérielles » se profilant derrière la succession

à la révolution mais plutôt à une évolution : "quelque fois, change de nature, devenant alors prince cesse d'être tyran". Cependant, la 1ère phrase a une tonalité péremptoire (catégorique). Implicitement, Diderot remet en cause la monarchie de droit divin (implicite car censure des Jésuites). Diderot bénéficie de la caution de Dieu pour récurer l'église. L'argument est repris au paragraphe 4 et utilisé pour justifier le seul type de soumission que Diderot reconnaît. C'est parce que l'homme ne

foudre (Louis XIV enfant) = pouvoir Monarque des Dieux = Royauté de droit divin = Louis XIV (gobe, tue, croque le peuple) C’est le plus mauvais roi qui puisse exister, montré par ses impôts énormes, provoque des famines. Mort de la population, des villages entiers disparaissent. La Fontaine n’admire pas du tout Louis XIV pour lui le meilleur régime constitutionnel est la démocratie et le pire c’est la monarchie de droit divin, pour La Fontaine Louis XIV est un tirant qui cause de la mort son propre

donnant son avis sur les bienfaits du règne du roi et de tout ce qu'il apportait de positif à la société. Voltaire commence : « Il est vrai qu’il vaut mieux être gouverné par une personne présente comme le roi, car avec la monarchie absolue de droit divin, c’est Dieu qui était à l'origine de toutes les décisions. Mais en vérité, ceux qui fixaient  les lois étaient des représentants de Dieu, des religieux qui, au nom de la religion, décidaient de tout pour tout le monde. Tous ceux qui ne croyaient

ligne 13 employés dans un parallélisme de construction pour rendre plus saillante l'antithèse. Cette relation est pourtant susceptible de s'inverser : '' autant de '' ; '' autant de droit et de justice '' ligne 14. L'articulation logique ligne 13 : '' en sorte que '' ; la comparaison d'égalité ligne 14 : '' autant de droit et de justice '' et l'identité exprimé par '' la même loi '' constituent trois éléments justificatifs de la violence dont l'objectif est de se libérer d'un pouvoir usurper. B)

la fin de chaque paragraphe il récapitule. On a l'utilisation d'un vocabulaire abstrait "liberté, loi, république". Il y a un vocabulaire du droit pour montrer que l'étude de l'autorité se rapproche a un domaine juridique. II/En quoi ce texte est un texte argumentatif, quel est sa thèse : a) On peut voir dans ce texte la thèse "aucun homme n'a le droit de commander aux autres". Cet article vise le roi, Diderot renie cet idée que l'autorité du roi n'est pas inscrite dans la nature. Très vite implicitement