Drumont

le 28octobre sur l’arrestation d’un officier de l’armée pour trahison, il dévoile le nom de Dreyfus. Son concurrent d’extrême droite, "La Libre Parole", titre le même jour sur cette culpabilité. Vitrine française de l’antisémitisme, le journal de Drumont met immédiatement l’accent sur l’origine juive d’Alfred Dreyfus et en fait un argument a priori de sa culpabilité. Mieux, misant sur une théorie du complot, "La Libre Parole" affirme que l’Etat souhaite étouffer l’affaire parce que Dreyfus est juif

sont retrouvés touchés par ce qu’on a appelé la « crise des subprimes ». Document 2 5) Le document 2 est un extrait de : « Des subprimes a la récession, comprendre la crise » ouvrage de Nicolas Coudrec et Olivia Montrel-Drumont. Dans cet extrait, ils nous expliquent que les entreprises ont recours aux crédits que leurs accordent les banques. Mais elles peuvent aussi se financer directement sur le marché des capitaux (les bourses) ou peuvent émettre des titre de propriété

écluses, mais en 1888, il est devenu clair, que cette construction sera un échec et la compagnie est mise en liquidation en provoquant la ruine de 85000 souscripteurs. Enfin, le scandale a été révélé en 1892 par un journaliste antisémite Édouard Drumont dans son quotidien : La Libre Parole. Il a révélé plusieurs noms de journalistes et de politiciens corrompus tel que Cornelius Herz. Ce scandale provoque un grand bruit. Reinach est retrouvé mort, mais Lesseps et Eiffel échappent à la prison. Lesseps

Fr ) L’Humanité (SFIO) L’intransigeant ( boulangisme ) Affaire Dreyfus : 1894 1896/1898 naissance dans la presse = affrontement des camps Dreyfusards ( L’Aurore, Clémenceau Zola, ‘ J’accuse ’ ) ≠ Anti Drefysards ( La libre Parole, Edouard Drumont ) -342900161925 Presse : sous influence ( même si loi du 29 Juillet 1881 ) = tutelle de la bourse Impératif de la rentabilité : course au profil = compétition entre journaux (pub..)Scandale de Panama ( 1880 avec Ferdinand

trahison au service de l’Allemagne. (Transmission aux allemands des plans du tout dernier canon de l’armée française et de la nouvelle stratégie en cas de crise avec l’Allemagne). DECRIPTAGE DE LA UNE DE LA LIBRE PAROLE. Journal dirigé par E. Drumont (théoricien antisémite, auteur de La France Juive. Dreyfus est déshumanisé, associé à un rat, coiffé d’un casque d’allemand. Un soldat, l’air martial, prête mains fortes à Dreyfus. Le soleil de la vérité, la lumière VS les ténèbres, le mal, le

l’armée aussi]. Libération : 1906. [On frôlera la guerre civile(le conflit : Dreyfusards≠ Antidreyfusards (Anti-sémites et anti-républicains.]( des hommes Pô d’ext. Droite souhaitent profiter de cette crise pour renverser la république (Ex : Edouard Drumont, Paul Déroulède). Enjeu de la crise : Savoir si on juge une pers. De façon impartiale ou en fonction de ses origines ou religion + savoir si l’armée est + importante que le droit à la justice. Pendant ce conflit : un gouv de défense républicaine

parole » qui est un journal antisémite. Dreyfus est représenté comme traite. Il est caricaturé comme un juif. On le surnomme « judas Dreyfus », pour bien montrer que c’est un traite. Il est jeté à l’égout. Il va donc y avoir deux camps entre celui de Drumont et celui de Zola. Zola va donc être mis en arrêt pour la prison, mais il va partir à Londres. Dreyfusard : ligue des droits de l’homme, pour défendre Dreyfus. Et donc il va y avoir l’antidreyfusard, dont les catholiques, les nationalistes, l’armée

antisémite. Presse antisémite Avec Drumont par exemple, dont la pensée se résume en une phrase " on ne s'improvise pas patriote, on l'est dans le sang, dans les moelles " et pour lui, le sémite est " un négociant d'instinct, il a la vacation du trafic ", idéal qu'il expose dans la France juive puis dans la libre parole. Toujours dans la même lignée, on note l'intervention Barres qui devient le porte-parole du mouvement nationaliste. Admirateur de Drumont, il considère l'affaire comme une 'guerre

patrie. On les accuse aussi d’être trop fidèles à la république et on publie plusieurs articles contre les Juifs. Puisque la presse est libre d’écrire ce qu’elle veut sans conséquences, plusieurs propos antisémites sont tenus. Le journaliste Édouard Drumont publie, en 1886, «La France Juive» un livre antisémite qui connait un énorme succès avec 62 000 exemplaires vendus lors de la première année suivant sa sortie (ce qui est beaucoup puisque la majorité de la population est analphabète à l’époque) et

couvrir que très partiellement la somme requise. Ainsi, la Compagnie fut mise en liquidation : 85 000 souscripteurs, petits épargnants pour la plupart, étaient ruinés. Malgré les plaintes, le scandale n'éclata qu'en septembre 1892, lorsqu’Édouard Drumont (Connu pour ses propos antisémites) fit paraître une série d'articles intitulés « Micros » dans la revue antisémite La Libre Parole, sous le titre « Les Dessous de Panamá ». Ainsi, il déclare qu’une part importante des capitaux a été détourné de son