Drumont

l'école alphabétisation 1882 +presse diverse : -populaire Le Petit Journal / Le petit Parisien - engagée droite La Croix / gauche L'Humanité 2. L'affaire Dreyfus : une crise qui engage les médias + Éclate en novembre 1894 presse extrême droite Edouard Drumont + prend parti : - dreyfusard L'Aurore « J'accuse » / La petite République - antidreyfusard La Crois / Le Petit Journal + Forte audience, innocence de Dreyfus => La presse est actrice de démocratie 3. Les médias face à la première guerre mondiale

- le vocabulaire employé : Judas (contraire aux valeurs laïques évoquées précédemment par les républicains), traître, La France aux Français. - la revendication de l'antisémitisme (livres de Drumont à gauche). - Caricature du juif apatride et germanophile. - Composition générale : Drumont jetant Dreyfus aux égouts ce qui permet de laver l'honneur bafoué de l'armée et entraîne une aube nouvelle. O. Mirbeau, lui, réaffirme avec force les valeurs de la République : liberté (4

nationalisme connaît des hauts et des bas, mais parvient à se maintenir en tant que force politique, sous le nom d'Action française, jusqu’à la défaite de 1940, lorsque après cinquante ans de combat, elle accède au pouvoir et peut, vieux rêve de Drumont, « purifier » l'État avec les conséquences que chacun sait. On note à cette occasion le ralliement de nombreux républicains à Vichy, sans qui le fonctionnement de l'État eût été précaire, montrant en cela la fragilité de l'institution républicaine

Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité et lui donner les moyens d'agir pour faire reculer les discriminations. Étymologie[modifier le code] Le pamphlétaire Gaston Mary, collaborateur à La Libre Parole, le journal d'Édouard Drumont, est la première personne connue à avoir utilisé le mot « raciste » en 18944,5,6, selon Charles Maurras7. Toutefois, l'adjectif « raciste »8 et le nom « racisme » ne s'installent dans le vocabulaire général en France qu'à partir des années 19309

dreyfusards ainsi que les anti-dreyfusards utilisent la presse qui pendant des années, nourrit une opinion politique profondément divisée. Les journaux relatent ces affaires, au départ d'un fait divers, celle-ci rapportent beaucoup d'argent. Eduart Drumont écrit « La France juive » en 1884, c'est un livre antisémite . De plus un journal  «  la libre parole » antisémite est considérée comme un feuilleton avec des épisodes. L'entourage de Dreyfus prouve son innocence et accuse les anti-dreyfusards d'avoir

politiques conduisant à pratiquer des discriminations raciales, des ségrégations ethniques et à commettre des injustices et des violences, allant jusqu'au génocide.Le pamphlétaire Gaston Mary, collaborateur à La Libre Parole, le journal d'Édouard Drumont, est la première personne connue à avoir utilisé le mot « raciste » en 18944,5,6, selon Charles Maurras7. Toutefois, l'adjectif « raciste »8 et le nom « racisme » ne s'installent dans le vocabulaire général en France qu'à partir des années 19309

donc le journaliste en position d’autonomie politique, économique et également social. Qu’en est-il réellement ? À la charnière des XIXème et XXème siècle, de nombreux hommes politiques sont aussi des hommes de plume (Georges Clemenceau, Édouard Drumont, André Tardieu, Jean Jaurès). La presse tient un rôle politique, de façon flagrante, particulièrement avec l’affaire Dreyfus. Au cours du siècle, éclatent des affaires et des scandales dans lesquels on accuse la presse d’avoir joué un rôle néfaste

appelle par la suite cette période la crise boulangiste. Les républicains sont de nouveau majoritaires aux élections de 1889. En février 1889 la faillite du canal de Panama provoque la ruine de 85 000 entrepreneurs. Par la suite, en 1892, Édouard Drumont un journaliste antisémite, dénonce un mauvais financement du canal à cause de financiers juifs et de plusieurs hommes politiques. C’est le début de la tendance antisémite en France. En 1881 Jules Ferry relance l’expansion coloniale de la France

en 1882 : juifs deviennent boucs émissaires des difficultés économiques Scandale de Panama en 1892 met en accusation deux grands « corrupteurs » de politiciens et de journalistes, Herz et Reinach, issus de familles juives allemandes. Edouard Drumont réalise la synthèse de ces antisémitismes avec La France juive publié en 1886, grand succès. Utilise les deux courants antisémites vus et considérations sur la différence en le « Sémite » et l’« Aryen ». En 1889 il crée la Ligue nationale antisémitique

l'autel - sous le Second Empire, science et religion non comaptibles (Littré, Paul BErt) - vers 1900: anticléricalisme politique, né de l'Affaire Dreyfus visant l'alliance de l'armée et de l'Eglise contre la République, avec de l'antisémitisme à la Drumont, dont La Libre Parole est lue dans les Presbytères L'anticléricalisme s'exprime dans de nombreuses publications: - La Raison, publié en 1899 "Organe de la libre pensée" - La Calotte, d'André Lorulot La foi est ennemie de la science. Institutions