Drumont

début 1895. Dès 1896, Certains officiers sont persuadés de son innocence. Zola est convaincu en 1897. Son article Pour les Juifs, Le Figaro, est à l’articulation de l’argent et de l’affaire Dreyfus, puisqu’il s’oppose à l’antisémitisme d’Edouard Drumont dans son journal La Libre Parole. Le « J’accuse… » du 13 janvier 1898 se solde par l’exil à Londres en juillet 1898 et le retour en France début juin 1899. Grâce à Zola, l’Affaire Dreyfus engagea la responsabilité d’institutions comme l’armée et la

graphologique plus que sommaire. Il a alors 35 ans, d’une famille alsacienne fortunée, père de deux enfants. Le vrai coupable est le commandant Esterhazy, officier d’origine hongroise, personnage très dépensier. - Dès le 29 octobre, le journal de Drumont place l’affaire sur le terrain de l’antisémitisme. - Le 19 décembre 1894, le 1er procès commence. Un expert affirme que Dreyfus a contrefait son écriture, et le colonel Henry, membre du bureau de renseignement déclare qu’il est sûr de la culpabilité

Nazis puisent aussi leurs doctrines dans les théories antisémites du 18-19°S voir même de la renaissance. Martin Luther, a la fin de sa vie est devenu très hostile aux juifs. Voltaires a également laissé des écris hostiles aux juifs. Wagner, Edouard Drumont à écrit « La France juive ». Il croit à un complot juif visant à dominer le monde en fomentant des crises économiques et des révolutions. « Protocole des sages de Sion »Document sur une soi-disant conquête juive. Après la WW1, l’antisémitisme se

construction du canal de Panama (ferdinand de Lesseps était à l'origine de cette idée, son entreprise fait donc faillite). Ca provoque la ruine des petits épargnants qui ont investi dans son entreprise par l'achat d'action. => Journal antisémite Drumont la libre parole liste « chequart », d'hommes politiques ayant été « corrompus » pour permettre la création de l'entreprise de Panama. Il y a un procés suite à l'affaire. Tous les députés sont acquittés. Les seules condamnés : Eiffel, Ferdinand de

La défaite de la France pour Taine ou Renan a ébranlé une idée de la nation confondue avec les valeurs de la gauche. Pensé que le suffrage universel à eu des effets nocifs (et a notamment conduit à la défaite). La montée de l’antisémitisme  Drumont : La France Juive : 1886 Création du jounal la croix : le plus anti-juif de France. On parle de « péril juif » Une organisation et des chefs Succès du nationalisme tient à son organisation originale et la stature de chefs de files charismatique

de l’instruction publique - grève des mineurs de Decazeville (défenestration de Watrin) - le général Boulanger (Jules Ferry : un « Saint-Arnaud de café-concert ») est nommé ministre de la Guerre (Charles de Freycinet) - La France juive, Edouard Drumont - loi d’exil pour les familles ayant régné sur la France - Illuminations, Rimbaud 1887 - affaire Schnaebelé (« un frisson traversa le pays », Barrès) ; manifestation de la gare de Lyon lors du départ de Boulanger - scandale des décorations

le 28 octobre sur l’arrestation d’un officier de l’armée pour trahison, il dévoile le nom de Dreyfus. Son concurrent d’extrême droite, "La Libre Parole", titre le même jour sur cette culpabilité. Vitrine française de l’antisémitisme, le journal de Drumont met immédiatement l’accent sur l’origine juive d’Alfred Dreyfus et en fait un argument a priori de sa culpabilité. Mieux, misant sur une théorie du complot, "La Libre Parole" affirme que l’Etat souhaite étouffer l’affaire parce que Dreyfus est juif

percement du canal, la Compagnie de Panama rencontre des difficultés financières. Les dirigeants versent des pots de vin à des élus pour qu’ils modifient la législation fiscale, mais la compagnie fait tout de même faillite. Le journaliste antisémite Drumont révèle l’affaire. Une Commission d'enquête interroge une centaine d’hommes politiques (tous sont acquittés, sauf l'ancien ministre des Travaux publics). Le scandale provoque la chute de plusieurs gouvernements. Les nationalistes et les antisémites

antidreyfusards voués à l’Etat : antisémitisme, fidélité et honneur à l’armée. La presse antidreyfusarde s'impose très majoritairement de 1894 à 1897. Un des journaux emblématiques de l'acharnement antisémite de cette presse est La France Libre, dirigée par Drumont, dont les propos eurent au moins le mérite d'être à l'origine de l'engagement de Zola dans L' Affaire. En outre, d'autres journaux comme L'intrensigeant ou La Croix, ont repris à leur compte et diffusé largement les idées anti-dreyfusardes. A partir

faire voter une loi pour autoriser un lancement d’obligations à lot. La loi est votée en 1885, ce qui n’empêche pas la compagnie de faire faillite et de ruiner de nombreux petits épargnants français. En 1892, le journaliste d’extrême droite Edouard Drumont, qui a mené une enquête sur cette affaire, la révèle dans son journal et publie la liste des 104 « chéquards ». Les gouvernements sont successivement renversés et les députés mis en cause, qui nient l’affaire sont acquittés. L’opinion publique découvre