Drumont

d'avec l'extrême-droite (pour la branche proche du néo-nazisme) ou l'incompatibilité de défendre le nationalisme et l'internationalisme, critique également faite à l'encontre des anarchistes de droite (François Richard considère en effet qu'Édouard Drumont ou Lucien Rebatet sont anarchistes). L'anarchisme de droite est également critiqué pour son incohérence et son inexistence en tant que mouvement politique (la grande majorité des auteurs cités comme des anarchistes de droite ne se sont en effet jamais

Qu ant j'al'ri vai de CI'acovie et que je vis se dresser SUI' Monl mal'l!'c l'énorme eL ruineuse bâtisse du Sacré-Cœur, je perdis mes inquiétudes. Des seus (lui dépensent en moeUons cinquante m illions eL qui n'onL jamais cinquante Yoir le Drumont. (1) Tc.tl al1!clIl d'lUi Il nli.témite, pal' Ed. • -28mille fran cs pour soutenir un journal ne sont pas dangereux. Nous jtJgeons habile d'entretenir celte légende que l'Eglise nous persécute furie usement; alors nous devenons

flatteuse, ainsi cette arrivée d’une population juive, inattendue et un peu excédentaire, surtout à Paris, va accentuer l’antisémitisme en ressortant les vieux démons du juif errant, du juif qui a tué Jésus, slogans orchestrés par un ouvrage d’un certain DRUMONT qui publie un livre qui va faire fortune : « la France juive » : le juif est riche, il a un nez crochu, l est à part. Tous ces mythes ressurgissent comme un racisme sous terrain de la société+ scandale de Panama + Juif francs-maçons. Faits Bibliographie

conflit franco-prussien, fin du Second Empire, Commune de Paris, début de la Troisième République. 1879 : deux millions d'habitants à Paris. 1884 (21 mars) : loi sur les syndicats professionnels. 1886 : publication de La France juive d'Edouard Drumont. 1894 (octobre) : arrestation du capitaine Alfred Dreyfus. 1896 (novembre) : diffusion à la presse du bordereau accusateur. 1897 (novembre) : révélation publique du rôle d'Esterhazy, premiers articles de Zola. 1898 (31 août) : suicide du commandant

raison) et qui est tirée du fonds du puits de l’ignorance. Rassemblés derrière Zola, les intellectuels s’efforcent de faire sortir la vérité du gouffre de l’ignorance ; ils sont contrariés dans leur entreprise par des antisémites notoires comme Drumont ou Rochefort, qui sont à la tête de journaux s’évertuant à cacher la vérité en présentant Dreyfus comme un traître et un coupable. C’est donc une lutte farouche entre dreyfusards et antidreyfusards qui est ici à l’œuvre ; non seulement les journaux

démocratie, le parlementarisme, le pluralisme et sont favorable à une démocratie autoritaire qui serait une forme pure de la démocratie (cf. Gentile, Giovanni, penseur fasciste) (cf. pensée politique, synthèse fasciste, nationalisme Barrès, antisémitisme Drumont, anarcho-syndicalisme) Si le fascisme est un phénomène historique global d’après 1918, il devient un mouvement politique capable de revendiquer le pouvoir , contre le marxisme, puis anti-communiste militant contre le bolchévisme (1917), contre

Présentation PowerPointLa nation en débat. Identité nationale et immigration Chapitre 2Introduction Objet du chapitre: comprendre comment l’immigration est devenue un problème politique (une question prise en charge par le pouvoir politique)Comment l’immigration a fait l’objet d’un processus de « politisation »Cela implique d’opérer un détour historique pour comprendre notamment depuis quand/de quelle manière s’est construite la notion d’identité nationale Introduction Quelques rappels historiques

35 -« Ségrégation,exclusion, expulsion... »p.41 ( pour un monde débarassé des démocrates, des communistes, des juifs...) d) Les personnalités qu'il admire. Doriot (p.32), Gustave Le Bon, Gobineau (p.37), docteur Carrel (p.38),Vacher de Lpouge, Drumont (p.39), Darnand, Mayol de Lupé (p.42) sont tous des intellectuels antisémites, racistes et collaborateurs. e) Son ami Konrad « grand, droit, blond, halé.. superbe uniforme noir... »p.36 ( le parfait aryen ?) « persuadé de la précellence de la race

du conflit israélo-palestinien au début du XXe siècle, avec la naissance du sionisme. Celui-ci se manifeste comme une réaction à l’antisémitisme de la fin du XIXe siècle tel qu’il s’exprime en Europe (par exemple en France avec l’affaire Dreyfus, Drumont) notamment par la parution en 1896, de l’ouvrage Der Judenstaat (l’Etat des Juifs) du journaliste juif hongrois, Theodor Herzl, qui prône l’idée d’une terre, d’un Etat qui offrirait un refuge aux populations juives qui se trouvent persécutées dans

Nationale, dirigée par l’Abbé Garnier, républicaine (ralliée) et antisémite, elle compte près de 12500 adhérents à la fin des années 1890. la Ligue antisémite française de Jules Guérin fondée en 1897 prend la suite de la Ligue antisémite de France de Drumont. Elle cherche systématiquement le désordre dans la rue et s’en prend aux juifs. Elle compte 11 000 militants en 1898. Il s’y ajoute de nombreux groupes locaux, fauteurs de troubles : on dénombre des incidents et des violences antisémites dans 55 villes