Dumping Social Et Fiscal

du monde se financent tous grâce aux profits (bénéfices) réalisés. Les secteurs institutionnels constituant des producteurs non marchands : – Administrations : n'ont pas pour but de dégager du profit, se financent à travers les prélèvements fiscaux et sociaux – ISBLSM: pas de but lucratif, se financent par des cotisations, dons, subventions … – Ménages et acteurs du reste du monde n'ayant pas d'activité marchande La concurrence se limite par définition aux acteurs marchands. Les acteurs non marchands

problèmes mondiaux. Géopolitique : Relation entre les enjeux de territoire et politique. Dévaluation compétitive : Sous évaluer sa monnaie afin de favoriser les exportations. Dumping : Vendre à perte afin d’écraser les entreprise concurrentes. Dumping social : Abaisser volontairement tout ce qui touche aux salaires. Dumping fiscal : Attirer les entreprises un maximum en réduisant les coûts d’imposition. Spécialisation : Se concentrer sur une seule production. Protectionnisme : Consiste à établir des

Les difficultés pour emprunter de l’argent frais entraînent une spirale vicieuse : le gouvernement est obligé de tailler dans les budgets publics et dans les salaires et d’augmenter la fiscalité. L’activité stagne, le chômage augmente, les rentrées fiscales du gouvernement se font moindres et le déficit se creuse. La boucle est bouclée. La Grèce peut-elle faire faillite ? La Grèce peut faire défaut de paiement, c’est-à-dire décider souverainement de ne pas honorer ses dettes. Le résultat immédiat

concurrence, où de multiples industries se délocalise. Du dumping fiscal au dumping social, les pays occidentaux ne peuvent rivalisé face a ses prix bas. Le dumping fiscal consiste a pratiquer une fiscalité plus faible que c'est voisin. L'Asie maintien volontairement c'est coût le plus faible possible, insistant par ainsi au entreprises basé dans des pays avec une forte fiscalité a venir produire chez eux. De plus l'Asie applique un dumping social qui désigne la concurrence entre les travailleurs. En

La mondialisation, un phénomène économique, social  et culturel Ce cours a été repris à partir de l'article ci-dessus de Pascal Salin, mais aussi à partir d'un article "Mais pourquoi cette haine des marchés" écrit en juin 1997 par Martin Wolf du Financial Times I. Le phénomène de mondialisation A. Définir la mondialisation Le Fonds monétaire international (FMI) définit la mondialisation comme « l’interdépendance économique croissante de l’ensemble des pays du monde, provoquée par l’augmentation

capitalisme sauvage. Or la capitalisme n’est pas un projet de société. Il est et restera toujours une technique économique, un instrument pour créer de la prospérité. A la différence, le libéralisme est un projet de société fondé sur une éthique sociale, culturelle et économique. L’objectif du libéralisme c’est de garantir des libertés réelles dont doit disposer chacune et chacun d’entre nous. Liberté « réelle », j’insiste, car le libéralisme ne vise pas quelque chose d’inexistant qui serait

effets externes et des coûts de transition. • Par ailleurs les différents types de spécialisation d’un pays avantagent certains groupes sociaux et en pénalisent d’autre. 3) Le prolongement de la théorie ricardienne • La principale critique que l’on peut objecter à ce modèle est le fait de confondre - volontairement l’enrichissement de certaines classes sociales avec la croissance macroéconomique nationale, et a fortiori, mondiale. 3) Le prolongement de la théorie ricardienne  « les entreprises

UNIVERSITÉ IBN ZOHR FACULTÉ DES SCIENCES JURIDIQUES ÉCONOMIQUES ET SOCIALES Master Recherche: Economie et gestion des organisations Exposé sous le thème le libre échange et le protectionnisme Prof : A . Noureddine travail réalisé par : *AGUENANE Noureddine * SAIDI Brahim Introduction problématique: libre échange et protectionnisme, Y a-t-il vraiment une politique meilleure ou, selon la conjoncture, on tend à préférer l une à l autre ? Introduction PARTIE I : Approche conceptuelle

rappelons que depuis 1985, environ cinq cents textes européens concernant les transports sont parus. Le transport maritime était pour l’essentiel libéralisé depuis longtemps, avec la disparition progressive des pavillons nationaux où les droits sociaux nationaux s’appliquaient aux marins, remplacés par des pavillons-bis, comme celui des îles Kerguelen pour la France, sortes de pavillons de complaisance légaux, et surtout par les pavillons de complaisance reconnus comme tels, qui relèvent d’Etats

Tokyo / façade de la dorsale européenne, « Ranstad Hollande » Rotterdam) se crée une interface dynamique. * Les 7000 paradis fiscaux de la planète : installés souvent dans des micro-états (Andorre, Iles Caïman, Maldives) et accueillent les  « pavillons de complaisance ». Un paradis fiscal est un état où les entreprises et les particuliers bénéficient d’avantage fiscaux et se livrent à des activités opaques (blanchissement d’argent sale). Ce sont les zones grises de la mondialisation. 4) Les