Débat Nouvelle école Keynésienne Classique

dimension sociale : l’émergence de la mutualité et de la coopération. LEON WALRAS influence Charles Gide : il dit qu’il ne s’agit plus de prôner la république coopérative selon le modèle de Rochdale mais il s’agit d’opposer une école nouvelle, une pensée nouvelle qui viendrait en contradiction avec les écoles libérales, socialistes et historique. Il faut une meilleure fluidité du marché de travail.  On a une intervention économique de l’Etat qui petit à petit joue un rôle non plus répressif

physiocrates estiment également qu’il faut rechercher le taux raisonnable de l’impôt, en réclamant la suppression des prélèvements existants et leur remplacement par un impôt unique. 2-L’impôt dans la théorie libérale classique : a) l’impôt chez les libéraux classiques : désigne le mouvement de la pensée économique accompagnant la révolution industrielle. On peut le répartir en deux groupes : le premier (SMITH), mobilisé par le souci de délimiter au mieux le champ d’intervention économique

a un surplus, et donc on entre dans une société où les gens échangent ce qu'il y a en plus. Les objectifs économiques d'une société moderne sont de satisfaire les besoins de la population. > Comment définir les besoins d'une population ? Débats démocratiques, échelles de valeur... La notion de besoin a été étudiée, ils ont été hiérarchisés (pyramide de Maslow, qui propose de voir les besoins hiérarchisés) Il existe des facteurs de productions que sont le travail, le capital (=l'argent

économiques et de présentation d'une explication simplifiée du fonctionnement réel de l'économie. Dans ces modèles, il est possible de faire des distinctions en fonction des modèles suivis. Il existe par exemple des modèles d'optimisation dans la théorie classique. Il est possible de n'avoir qu'uniquement des modèles de précisions (voir la comptabilité nationale). Il existe aussi des modèles de simulation qui cherchent à découvrir quelles vont être les conséquences d'une démarche hypothéticodéductive. la

A la fin du 19ème et au début du 20ème s., les ouvrages et revues économiques accordaient beaucoup de place à l’histoire économique. Aux Etats-Unis, le nouvel institutionnalisme (T. VEBLEN) inspiré de l’école historique allemande et fondée sur le paradigme des notions de conflit et de pouvoir critiquait déjà l’orthodoxie (paradigme fondé sur la maximisation sous contrainte) pour son incapacité à intégrer dans ses analyses le schéma évolutionniste darwinien. De nos jours, la science économique se

d’imitation/différenciation qui met en relation les comportements de consommation des individus. Certains consomment des 3 4 biens particuliers en vue de se distinguer. D’autres individus cherchent à les imiter, poussant les premiers à trouver une nouvelle distinction. Ce sont les besoins secondaires.  Notions d’efficacité, de Coût d’Opportunité et de la Frontière de Possibilité de Production Si les besoins sont illimités et les moyens limités, il est nécessaire d’employer les ressources de façon

chocolat et le bonbon, l’entrepreneur doit egalement faire un choix entre l’investissement conssacré a l’achat des matiere premier et l’invest a l’emboche des personnel, au niveau macro-economik, le gouvernement doit choisir entre la construction d’une nouvelle rougue et la construction de navire de guerre, les agent eco = etat, entreprise, consommateur, ils doivent faire des choix, le consommateur est soumis donc a une contrainte de revenu et il cherche a maximiser sa satisfaction, sous une contrainte

ne relance toute l’économie. B_ Les crises depuis 1945 1) 1945-1973 : Malgré la période de forte croissance, des crises inflationniste L’inflation est un phénomène très complexe et rechercher les causes de l’inflation suscite énormément de débats donc beaucoup de controverses scientifiques et politiques sur le sujet. Apparition de plusieurs crises inflationnistes pendant cette période de forte expansion économique qui ont provoqué en France des hausses de prix et des déséquilibres extérieurs

ECOLE CENTRALE 2ème ANNÉE d’ÉTUDES PARIS INTRODUCTION A L’ANALYSE ECONOMIQUE Gilles KOLÉDA 2007 - 2008 Introduction à l’Analyse Économique (Seconde version)1 Gilles Koléda Maître de Conférences à l’Institut Universitaire de Technologie de Tours Membre de l’équipe ERASME (Ecole Centrale Paris) Merci à tous les élèves qui ont, par leurs remarques ou corrections, permis l’amélioration de la première version de ce polycopié d’Introduction à l’Analyse Economique. Vos remarques

2 – Les classiques : Etat gendarme au milieu du 18ème a – Les physiocrates et le laisser faire, laisser passer Pour eux richesse d’une économie est de type agricole. Pour s’enrichir, une économie doit laisser circuler la richesse entre ‘catégories de société’ (agriculteurs, ouvriers et proprios) sans entrave à cette circulation. L’Etat doit limiter son intervention au maintien d’un ‘ordre national’, c’est – à –dire assurer la libre concurrence. Les deux grandes idées des classiques : libre