Décentralisation Et Développement Local

conséquences des relations financières de Madagascar avec les Bailleurs de fonds internationaux. La portée du concept de « bonne gouvernance » -- Le dépassement de la notion d’ « Administration administrante » par celle de l’«Administration de développement » et par un esprit « managérial » de l’Administration. -- La « réforme de l’Etat » par la LOLF. Ainsi, l’élément essentiel et le plus remarquable de la LOLF se situe dans la réforme en profondeur de l’Etat qui est bien son objectif majeur, c’est-à-dire

politiques : un seul gouvernement, un seul parlement, une seule organisation juridictionnelle. (Exemple de la France) Lorsqu'un pays atteint un certain degré de développement, il devient illusoire de vouloir continuer à l'administrer uniquement par le centre. Des aménagements sont ainsi prévus : la déconcentration et la décentralisation. Ces deux aménagements coexistent sur le territoire national et ont pour objet de rapprocher l'administration et l'Etat des citoyens. La déconcentration : elle

réaménagement qui marquent une coupure nette avec ce qu’il y avait de plus centralisé et concentré. Ces deux phénomènes sont la décentralisation et la déconcentration. Celles-ci sont parfois confondues car si leurs caractéristiques techniques et leur mise en œuvre sont distinctes les deux cherchent le transfert de pouvoirs de l’Etat vers les autorités locales. La décentralisation est une modalité de répartition du pouvoir, elle repose sur la reconnaissance par le pouvoir centrale d’intérêts distincts

moyens à mettre en œuvre. Les dispositifs d’intervention en faveur de l’aménagement rural s’inscrivent tous dans un objectif de développement local. La Région intervient ainsi au travers de différents programmes en faveur de l’équipement rural, des services à la population, du tissu artisanal et commercial et du patrimoine rural par exemple. Ces programmes de développement global visent à favoriser la coopération intercommunale et la dynamique de projets de territoire tels que ceux portés par les pays

territoire : territoire « prescrit » = découpage administratif qui bénéficie d'un pouvoir de gestion donné par l'état ( régions, département, communes) territoire « construit » = librement choisit par les acteurs locaux en fonction d'un sentiment d’appartenance ou d'un projet de développement II)Un émiettement communal record. A)l'héritage d'un passé agricole. À l'origine le village se définit sur un territoire composé de bois, de pâturage, de cours d'eau, de champs... l'objectif étant d'assurer

Plan Introduction Partie I : cadre conceptuel 1- Qu’est qu’un territoire 2- La gouvernance locale comme nouveau mode de gouvernance 3- Les acteurs publics Partie II : la place du territoire et acteurs publics dans le paradigme de la gouvernance locale 1- Territoire et gouvernance locale  2- Les défis de la gouvernance locale 3- La coordination territoriale et le nouveau rôle des pouvoirs publics institutionnel Conclusion Bibliographie & Webographie Introduction

2 : Décentralisation et suppression de la tutelle Par un décret du 25 Mars 1852, visant à renforcer le pouvoir des préfets pour réaffirmer le régime autoritaire du Second Empire, Napoléon Bonaparte avait affirmé qu’ «on gouverne de loin, mais on administre bien, que de près. » Ainsi, que l’action du gouvernement soit centralisée cela importe peu, mais il est impératif et nécessaire de décentraliser l’action purement administrative. On constate donc, que la question de la décentralisation existait

LES PRINCIPES GENERAUX DE L’ORGANISATION ADMINISTRATIVE L’article 1er de la constitution dispose que « la France est une république indivisible. Son organisation est décentralisée». Le principe de la décentralisation ne peut se déployer que dans le respect de l’indivisibilité qui va s’accomplir dans le respect du 1er principe. PARAGRAPHE 1 : LES PRINCIPES APPLICABLES A L’ADMINISTRATION D’ETAT A) LA SOUVERAINETE EXCLUSIVE DE L’ETAT L’exigence d’indivisibilité de l’Etat signifie d’abord

Décentralisation et Fédéralisme Intro: Avec la réforme du 28 mars 2003, ou Acte II de la décentralisation, qui a doté la France d’une « organisation décentralisée » (article 1 de la Constitution), les collectivités territoriales ont pu acquérir une plus grande autonomie administrative. Il leur a notamment été reconnu un pouvoir réglementaire (article 72 al 3 de la Constitution), ainsi qu’un droit à l’expérimentation, c'est-à-dire une possibilité de déroger à titre expérimental et pour

institutions nationales qui exercent une fonction de règlementation sont organisées selon un mode très largement territorial, presque géographique. Cad on observe qu’il existe des institutions centralisées (basées dans la capitale) et des institutions locales (notamment les collectivités territoriales) qui sont situées sur le territoire national. Section 1 : Les institutions centralisées. Il s’agit d’évoquer ici, tout d’abord, des institutions centralisées géographiquement implantées dans la capitale