Déchéance De Fantine

Notre thème est Fantine, mère de Cosette qui meurt pour pouvoir sauver sa fille des Thénardier à qui elle en a confié la garde. Nous avons choisi ce thème car ce que vit Fantine est très émouvant. Nous voulons montrer la vie que mène Fantine pour subvenir aux besoins de sa fille. Le roman Les Misérables a été écrit en 1862 par Victor Hugo, écrivain français très engagé dans la lutte pour une meilleure condition du peuple. Dans cet extrait, il s’attarde sur le cas de Fantine, femme du peuple qui

Biographie des Ténardiers: Cette famille occupe un rôle clé dans le roman. En effet, on fait leur connaissance assez vite (en mai 1818 dans le Tome I, Livre IV) lorsque Fantine, la mère de Cosette, passe devant leur auberge « Au sergent de Waterloo » àMontfermeil. La famille est composée du père (né en 1773 ; en 1833, grâce au don de Marius Pontmercy, il émigrera avec sa fille Azelma aux Amériques où il se fera « négrier »), de la mère (sans doute née entre 1783 et 17891, décédée en 1832 en prison)

étudierons et qui s'attarde sur le cas de Fantine, une femme du peuple qui se bat pour subvenir aux besoins de sa fille Causette, nousverrons dans un premier temps comment Hugo présente la possible déchéance de la femme à cette époque, à travers le personnage fictif de Fantine, puis deuxièmement, la façon dont Hugo juge la sociétéde son siècle, selon lui, responsable du destin tragique de cette femme. Hugo dénonce la déchéance de la femme à travers Fantine, pauvre couturière désespérée, en insistant

montre-t-il que Fantine est poussées inévitablement à la prostitution par la société ? Inévitablement : destin/absence de choix, de liberté Société : représente la société dans le texte Comment : par quels moyens, idée d’une chute, descente aux enfers, champs lexicaux, images (rosier, miroir…) Intro : -Ecrivain romantique V.Hugo qui évoque la vie d’une mère qui se sacrifie par amour pour sa fille et pourtant broyée par la société. -Montre les étapes de la chute de Fantine -Cherche

en avec Gavroche. LA 1 : Livre V, Chapitre X → Fantine Comment Victor Hugo s’y prend-t-il pour montrer la misère de Fantine ? I. La peinture de la misère A. Une situation due à la dureté des conditions La description de Fantine commence avec la mise en emphase de l'argent « c'est de l'argent », « 10 francs », « 40 francs », « dette », « ruinée », « créancié » car elle vient d'être « congédiée » et « a moins de travail ». Fantine essuie un double isolement, à le fois avec son enfant

raconte l'injustice dont est frappée Fantine. On pourra dés lors se demander comment Victor Hugo montre que la société à inévitablement poussée Fantine à la prostitution. Puis nous continuerons pour voir l'effet produit sur le lecteur après la description des différentes étapes de la déchéance matériel physique et moral. Premièrement nous verrons comment Fantine est pousser à la prostitution. Nous pouvons nous rendre compte que la société dans laquelle vie Fantine est cruelle. Comme le montre l'hyperbole

bien. Paris : Fantine quitte Paris et porte dans ses bras la petite fille qu'elle et pour laquelle elle a tout sacrifié, Cosette. Elle souhaite retourner à Montreuil, sa ville natale, où elle espère trouver du travail. En chemin, à Montfermeil, elle fait la connaissance d'un couple d'aubergistes, d'allure plutôt accommodante, les Thénardier. Très vite Cosette joue avec les petites filles des aubergistes. Fantine y voit là un signe du ciel et propose de leur confier

I. Description de la misère physique et déchéance de Fantine A.Fantine est démunie -elle vit dans la précarité « elle n’avait plus de lit »champs lex. De la médiocrité « pauvre, se courbant -elle vie dans la souffrance et la haine, sans plaintes elle haïssait, passait des nuits à pleurer se sentait traquer B. elle se fait surexploiter-fantine consacre sa vie au travaille « aucun repos » « 17 heures de travail » , en effet elle mène une vie inhumaine. Les gens qui l’entourent la dévalorise incessamment

Les Misérables Résumé : I. Fantine (première partie) L'évêque et le forçat (livre premier et second) 1815. Après vingt ans de bagne pour le vol d'un pain, Jean Valjean veut se rendre chez lui. Il traverse la ville de Digne et cherche un logement pour la nuit. La seule personne qui accepte de l'héberger, est l'évêque de la ville Mgr Bienvenu. Malgré toute la générosité de l'évêque, le bagnard prend la fuite en pleine nuit, après avoir dérobé les couverts en argent de l'évêque. Au

dont certains vont donner leur nom aux différents tomes du roman, témoins de la misère de ce siècle, misérables eux-mêmes ou proches de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier (dont Éponine, Azelma et Gavroche) ainsi que le représentant de la loi, Javert. Tome I : Fantine Dans ce tome s'entremêlent les deux destinées de Fantine et de Jean Valjean. Le livre s'ouvre sur le portrait long et détaillé de monseigneur Myriel, l'évêque du diocèse de Digne, où il vit très modestement