Décret 4 Avril 1806

ici dans la constitution de l’existence de deux ordres de juridiction . Ainsi il s’agit d’une modification constitutionnel induite par la révision de 2008 , on avait absolument pas envisagé la révision de 2008 , c’est donc considérable. C.E 16 avril 2010 décision Alcaly 2010 : ici la question était de savoir si la dualité de fonction du C.E ne mettait pas en cause sa partialité . Le C.E va refuser de transmettre la question au Conseil constitutionnel estimant sur la base des articles 38,39,61-1

Les règles constitutionnelles : la Constitution (4 octobre 1958) s’impose à tout le monde. Un Etat de droit avec une Chartre Suprême qui fixe les règles de fonctionnement. Les lois : règles votées par le Parlement (Assemblée National et Sénat) Ces lois doivent être conformes à la Constitution, si cela n’est pas le cas, elle est annulée. Les décrets : règles posées par le Président de la République ou par le 1er Ministre. Définissent les décrets d’application, doivent être conformes à la loi et

caractérise également par la dualité des attributions de l’ordre administratif. La justice administrative française a des attributions contentieuses ( régler les litiges ) mais également des attributions consultatives ( avis sur projets de lois et parfois décrets ). Certains litiges, éventuellement, tombent dans la compétence d’une autre juridiction ( juge judiciaire ). En Allemagne la compétence du JA reste très étendue. Le juge français a des compétences en matière de controle de la légalité ( annulation

terrestre : Code marchand ou Code Savary ; ordonnance sur le commerce maritime de 1681. §3 – Consolidation du Droit commercial La Révolution va apporter le principe de la liberté du commerce et de l’industrie avec les lois des 2 et 17 mars 1791, et le décret de la suppression des corporations, des maîtrises et des jurandes (charges conférées à un ou plusieurs membres d’une corporation). Loi Lechapelier des 14 et 17 juin 1792. Ces décisions modifient totalement la partie du Droit commercial relative

pratique.2. L’influence du libéralisme La chute de la dictature napoléonienne donne lieu à l’élaboration de plusieurs textes constitutionnels : · Le projet de Constitution élaboré par le Sénat (en 1814) ;· La Charte du 4 juin 1814 ;· L’Acte additionnel aux constitutions de l’Empire (22 avril 1815).Rédigé par Benjamin Constant pendant l’épisode des Cent-Jours, l’Acte additionnel consacre son titre VII (art. 59 à 67) à la garantie des « Droits des citoyens ».  Dans le préambule, l’empereur affirme

fonction des personnes imliquées dans les conflits, des juges différents interviendront > institutions juridictionnelles et non judiciaires. PARTIE PREMIERE: Institutions juridictionnelles I. Evolution historique de la justice en France. ( 4 périodes de l'évolution des juridictions françaises: Avant 1789; De 1789-1810; De 1810-1858; Ap. 1858) A. Avant 1789:Une justice complexe et inégalitaire. Période appellée l' Ancien régime a. Une organisation complexe D'abord

donc un droit de liberté. La loi est la source traditionnel du DA, expression de la volonté général va fonder un concept fondamentale : le principe de légalité. Caractéristique du DA. Le CE est présenté comme protecteur de la loi et censeur des décrets. Le DA s’est construit sur la loi et le principe de légalité. Encore aujourd’hui on parle de ce principe, alors qu’aujourd’hui la loi n’est pas la seule source. Ce principe a une signification hérité de la construction du régime politique, permet

assisté a une spécialisation des autorités en charge de juger l’administration. C’est la Constitution de l’An VIII qui crée le Conseil d’État, pour conseiller le gouvernement sur les affaires administratives. Mais il y a une Commission du contentieux (1806) qui s’est constituée au sein du CE. Puis, la loi du 28 pluviôse An VIII a créée les Conseils de préfecture chargé de conseiller les préfectures. Mais à cette époque il n’y avait pas de juridiction administrative propre. Par pour juridiction il faut

notions, outils, fondements, finalités, le même intérêt. D’un point de vue formel, le droit administratif des biens est un droit essentiellement écrit contrairement au droit administratif général, principalement jurisprudentielle, donc codes, lois et décret. Ce droit est constante évolution, le législateur intervient systématiquement, il vient s’y ajouté la jurisprudence constitutionnelle, judiciaire et administrative. Cela complexifie la matière. Le droit administratif des biens est Délicat de nos

signification financière, plusieurs textes financiers consacrent cette expression. Comme la loi du mai 1806, pour l’an 14 et 1806. Il faudra attendre le XIX et le XXème siècle pour trouver une définition. Décret 31 mai 1862, art dispose que le budget de l’Etat est l’acte par lequel sont prévus et autorisés les dépenses et les recettes annuelles de l’Etat. Un siècle plus tard, l’art 1er du décret-loi du 19 juin 1956 le budget prévoit et autorise en la forme législative les ressources et les charges