Décrire Colère

l'autre, la pitié ne se développe que plus tard... KLEIN mélanie Elle fait sienne les propositions freudiennes. Le conflit amour/haine est inné. La violence résulte de l'envi, auquel va s'ajouter jalousie et avidité. L'envie est un sentiment de colère qu'éprouve le sujet lorqu'il craint qu'un autre sujet ne possède qch de désirable et en jouisse. Del'issu de ce conflit dépendent son devenir et sa personnalité. (capacité à tolérer le négatif et à contenir sa destructivité) WINICOTT Il est

abandonnions et que nous partions. Cependant, nous restons dans sa chambre et insistons de nouveau pour qu’il se lève : afin de lui faire comprendre qu’il n’a plus le choix, mon collègue allume la lumière, ouvre le rideau et la fenêtre. Jonathan est très en colère, il semble ne pas supporter cette obligation et balance son téléphone portable et son sac à dos vers moi. Nous maintenons notre position, il s’énerve de plus en plus puis se lève, retourne sa table, son matelas, retourne tout son linge, les jette

» 2) L'aveu sincère la tension et le sérieux ont disparu pour laisser la place à la gaîté → Silvia avec ses questions pleures de malice et d'humour «et Mario vous n'y songez donc plus?» «vous m'épouserez malgré ce que vous êtes, malgré la colère d'un père..?» «Savez-vous bien que vous me charmez?» → Dorante avec ses déclarations de plus en plus tendres «mon coeur et ma main t'appartiennent» Silvia suggère son propre amour par une plaisante réparties «tant pis pour vous», «le plaisir qu'ils

L’adjectif : heureux, désespéré, déçu, triste, étonné, jovial, satisfait, coléreux, soulagé, courageux, vaniteux, prétentieux, apeuré… Le nom : la joie, le bonheur, la tristesse, l’admiration, l’étonnement, la tendresse, l’amour, l’amitié, la rancune, la colère, la nostalgie, la douleur, le soulagement, la sécurité, la peur, la vanité… La phrase exclamative exprime un sentiment quel beau paysage ! (admiration) Hélas ! c’est trop tard ! (regret) Appropriation Exercice 1 : Les phrases suivantes expriment-elles

tolérance augmente au point qu'elle ne perçoit plus que ce qu'elle vit est inacceptable. Les violences répétées détruisent son estime de soi. Elle ne se sent plus capable de rien. Parallèlement à la peur, les victimes de violence ressentent de la colère, de la révolte. Certaines ravalent leurs sentiments parce qu'elles ne s'autorisent pas à les exprimer ou qu’elles ont peur de déclencher une violence plus grande chez leur partenaire. D'autres réagissent avec agressivité. Elles vont par exemple crier

logiques et de l’objectivité. II. Convaincre : Fait appel à la raison par des arguments logiques Présence de connecteurs logiques. III. Persuader : Le locuteur joue sur les émotions du lecteur pour le faire réagir. Exemple : culpabilité, remord, colère, la jalousie, l’envie, la haine, violence, indignation, sympathie… IV. Délibérer : Peser le pour et le contre afin de se déterminer. Ce qui lui donne une objectivité. LES REGISTRES : Registres Définitions Epique Vient du terme épopée :

couvre le visage […] et mes yeux, malgré à moi se remplissent de pleurs (v184). Elle exprime la fatalité dont sa lignée est l’objet en évoquant son aïeul le soleil (noble et brillant auteur d’une triste famille v169), sa mère Pasiphaé qui a allumé la colère de Vénus (v253-254). Enfin l’évocation de son hérédité dit implicitement le déchirement tragique qui la caractérise, prise en les puissances solaires et lumineuses (elle est descendantes du soleil) et les puissances animales (avec la référence a

l’amour d’Aricie de crime, ce qui confirme la haine jalouse que voue Phèdre à Aricie. De plus l’anaphore de l’adjectif « jaloux » dans « jalouse rage » et dans « jaloux transports » montre l’association étroite entre la jalousie et la haine ou la colère que sont « rage » et « transports ». Mais, même lorsqu’elle est jalouse, lorsqu’elle éprouve de la haine pour Aricie, elle est lucide. Les questions oratoires « Que fais-je ? Où ma raison se va-t-elle égarer ? » le montrent. Elle se décrit comme « amante

tétanisée. L’épisode violent aura lieu, l’auteur donne l’impression de perdre le contrôle de lui-même. Il dit ne pas pouvoir s’en empêcher. La victime se sent démunie, détruite intérieurement. Elle pense que c’est de sa faute, elle en oublie sa colère, pour que cette violence cesse, elle pense que c’est à elle de changer de comportement... La victime endosse la responsabilité de l‘épisode violent. Certaine personne peuvent penser, que si elle reste c'est qu'elle aime sa, que c'est leur vie

pourquoi ? » d’Octave. De même sa dérobade face à la question de Claudio, à l’acte I, scène 3, apparaît suspecte ; elle donne l’impression que cet appel à son époux est plus une aide contre elle-même qu’un réel amour. Cela se révèle pleinement lors de sa colère, où elle parle avec mépris de ce mariage imposé et de ce mari grossier : « On me l’avait prédit. – Je le savais. – Je m’y attendais. » Marianne une jeune fille rêveuse ? La longue tirade de Marianne (Acte II, scène 1) nous montre, en effet, le rôle