Délocalisation Et Rh

réformes organisationnelles vont aller dans le sens de réduction d’emplois : - Externalisation : On se recentre sur son cœur de métier, et on confie les autres activités, à des entreprises extérieures. Cela est négatif pour l’emploi. - Délocalisations vers les pays de l’Est et les pays émergents : Cette justification, celle de la couverture géographique et celui du coût de main d’œuvre trouve ici tout son sens. - Stratégie immobilière de rationalisation des sites : Il y a une fermeture

Mana­­ger des for­­ma­­tions Cegos Commerce inter­­na­­tional, il a été direc­­teur d’entreprises en France comme à l’international. Valérie Jaunasse Mana­­ger des for­­ma­­tions Cegos Paie, droit et rela­­tions sociales, elle a tra­­ vaillé en RH pen­­dant plus de dix ans dans des sec­­teurs variés. Jean Liguori Res­­pon­­sable logis­­tique des For­­ma­­tions inter-­entreprises Cegos, ingé­nieur du Conser­­va­­toire natio­­nal des arts et métiers, il a été direc­­teur d’une société de

Jean-François Goxe Manager des formations Cegos Commerce international, il a été directeur d’entreprises en France comme à l’international. valérie Jaunasse Manager des formations Cegos Paie, droit et relations sociales, elle a tra­ vaillé en RH pendant plus de dix ans dans des secteurs variés. Jean liGuori Responsable logistique des Formations inter­entreprises Cegos, ingénieur du Conser vatoire national des arts et métiers, il a été directeur d’une société de capita lisation et valorisation

Adoption par la Bourse de Casablanca de la structure de Société Anonyme à Conseil de Surveillance et Directoire, conformément à la nouvelle loi sur la S.A., aux statuts de la Bourse de Casablanca et à son cahier des charges. JANVIER 2001 - Délocalisation de la négociation électronique dans les locaux des sociétés de bourse MAI 2001 - Réduction du délai de dénouement théorique des opérations réalisées en bourse de J+5 à J+3. - Intégration de 12 valeurs de la cote casablancaise dans l'indice

de ses dirigeants (déplacer le siège dans un quartier chic) Répondre à des finalités de réalisation du personnel (formation, motivation, réduction des conflits) Répondre à des finalités d’intérêt général (limiter les licenciements, éviter les délocalisations à l’étranger, lutter contre toute pollution, développer le mécénat, lutter contre la pollution … Assurer la survie Objectifs non économiques Image de marque et notoriété Politique sociale favorable Image citoyenne et éthique La réalisation

création, depuis 2004) et son repositionnement à la pointe du luxe * Place importante au sein du groupe Gucci Group * Réseaux de distribution * Faiblesses * Zones encore non couvertes  * Coûts de production très élevés (pas de délocalisation) * Manque d’autonomie par rapport au siège, conflits entre la maison mère et les différentes filiales à travers le monde. II. La stratégie globale de l’entreprise  Nous allons à présent aborder la stratégie d’Yves Saint Laurent dans

assumera ses responsabilités si ça se passe mal… ». « Dans les TIC, des contestations pourraient naître un jour, autour : - Des données personnelles - Du retraitement des déchets informatiques - Des modes managériales d’externalisation et de délocalisation - Des ondes radio - De la qualité du service - … » 4. La GSI selon Olivier RENAUX, Responsable au sein de la division informatique Airbus de Project Solutions : La gouvernance est une adaptation au processus opérationnel de l’entreprise

de la relation client, WEBHELP a depuis son démarrage mis en place une stratégie de centres de production offshore. Ce choix stratégique permet de combiner attractivité et flexibilité de la structure tarifaire avec qualité des prestations. La délocalisation permet de recruter et fidéliser des téléconseillers avec un niveau de formation supérieure (équivalent Bac + 4 à 5), de dimensionner des équipes d’encadrement locales plus importantes et d’effectuer des efforts plus soutenus de contrôle qualité

d’accord. L’objectif numéro 1 des entreprises dans ce contexte est de tirer leur épingle du jeu en recherchant la mobilité, des économies et de nouvelles marges de manœuvres stratégiques et opérationnelles. Et les conséquences sont nombreuses : délocalisation, restructuration, réorganisation, plans sociaux, chasse aux surcouts et aux couts cachés, renforcement du contrôle au sens de la maitrise. Ce ne sont parfois que des décisions de sauvegarde. On voit là un retour rampant du taylorisme, avec des

calcul particulièrement puissant, ce qui constitue probablement l’argument de choc en faveur de ce type de solution. Il faut effectivement garder à l’esprit que les structures limitées à ce niveau (puissance de calcul) peuvent ici se permettre une délocalisation de leurs traitements, et bénéficier ainsi de toutes les ressources et performances mises à leur disposition par le serveur du cloud computing. Bien qu’il ne concerne qu’un nombre assez réduit d’entreprises, cet avantage demeure l’un des plus importants