Démocratie Pensée Rationnelle

choses, Esope lui apporte à nouveau des plats de langues. Il évoque ainsi une contradiction entre les différents aspects du pouvoir de la parole. La parole est la mise en pratique du langage, c’est-à-dire la faculté d’exprimer et de communiquer la pensée de manière aussi bien orale qu’écrite puisque la parole peut être retranscrite. Le pouvoir quant à lui peut être perçu selon deux perspectives principales : soit la capacité d’accomplir une action, soit la relation sociale entre deux personnes inégales

Exposé sur : Pensée politique de John Rawls Fayçal HATRI En tant que processus historique, la pensée politique occidentale trouve un intérêt particulier dans sa confrontation à l’expérience du totalitarisme ayant marqué aussi bien la pensée politique classique face au despotisme ou à l’autoritarisme que la pensé politique moderne face au nazisme au fascisme ou encore au stalinisme. Le totalitarisme se caractérise selon Hanna Arendt par la confiscation de toute

(auteur du XVIème siècle, dans son oeuvre il établit une rupture avec la pensée classique, il inaugurerait la pensée dite moderne.). La pensée dite classique: Léo Strauss essaie de revaloriser la pensée classique devant la modernité, il essaie entre autre de comprendre l'aliénation de la population. Pour revaloriser la pensée classique, L.Strauss tente de poser un regard critique sur la modernité afin de mieux comprendre la pensée classique. La démarche classique consiste à rechercher quel est le meilleur

d’étudier sa religion initialement. En fait, il reçoit la permission d’y voyager afin d'étudier le système carcéral américain avec Gustave de Beaumont en 1831. En désaccord avec le nouveau régime de Louis Philipe et intrigué par la notion de la démocratie américaine, Tocqueville désire visiter l’Amérique. A l’époque, il a seulement 25 ans et son partenaire de voyage, Beaumont, n’a que 28 ans. Ils passent neuf mois à voyager à travers l’Amérique à la recherche de l’essence de cette nouvelle république

progrès de la connaissance. La recherche fondamentale n’a pour fin que son propre progrès. La recherche appliquée est rationnelle par rapport à une fin extrinsèque. Le scientisme entretient la confusion de ces deux rationalités. Il défigure la science au point de lui refuser d’être une pensée. Les finalités des applications relèvent tôt ou tard de décisions politiques. Or la pensée politique s’est laissée de plus en plus enveloppée dans la gestion des contraintes définies par la réalité économiques

Avec la naissance de la politique moderne cette idée a débouché sur une étude rationnelle de la genèse de l’État. Au XVIIIème siècle, Montesquieu a amplifié cette étude, en entreprenant de connaître les lois qui, dérivant de la nature des choses, gouvernent la politique. De cela, a résulté la mise en relation de la vie politique avec la nature humaine, mais aussi avec la nature tout court. L’étude rationnelle de la politique s’est aussi accompagnée d’une politique de la raison, cherchant

politique. Dessin d’une future « Démocratie du travailleur » dont unité intérieure faite d’une « volonté de Dictature totale (qui) se reconnaît dans l’Ordre nouveau comme volonté de Mobilisation totale ». Pensées nourries de l’exp. de la guerre allemande qui s’assimila intérieurement à forme coercitive d’administration directe de l’économie. Volontarisme mobilisateur (philosophie = doctrine qui accorde la primauté à la volonté sur l'intelligence et à l'action sur la pensée intellectuelle / langage courant

Jean-Marie Denquin ==> « Introduction a la science politique » . Achette Jean-Marie Denquin ==> « Science politique » Dominique Chagnollaud ==> « science politique » Il y a aura un certains nombre de cours sur la démocratie ==> Philippe Breaud ==> « démocratie politique » Georges Burdeau ==> « traité de science politique » en plusieurs volume Max Weber ==> il fait parti des grands auteurs ==> « le savant et le politique » ==> « économie et société » Ces

naissent libres et égaux en droits »( Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789). Avant 1789, les inégalités paraissaient légitimes ; l’esclavage en témoigne. L’émancipation de 1789 a comme idée directrice la notion de liberté. La démocratie est libérale à cette époque. La liberté correspond également au détachement de l’Etat de la religion. C’est en 1905 la laïcité et la perte de l’influence de l’Eglise. Les droits sont à présent des droits naturels et non plus des droits divins. Cette

discréditer notion de régime, invitent plutôt à en préciser le sens : Démocratie et régimes autoritaires sont deux catégories très hétérogènes qui ne sont pas absolument séparées : plutôt continuum sur lequel se place une multitude de situations intermédiaires (cf : controverses sur l’adhésion de la Turquie) ⇨ Aujourd’hui quelle est la bonne analyse ? qs pas tranchée mais existence d’une distinction tripartite : démocraties/ rég. auto. et régimes totalitaires  avec comme critère de distinction