Désobéir Peut Il être Un Devoir

L’homme est par nature un être social. Il mène sa vie au sein d’une communauté de semblables qui son carder idéal de vie. Pour mener pleinement son existence, il a besoin d’autrui avec qui il partage les sentiments de vivre, les goûts, car vivre signifie vivre avec parce l’existence n’est complète qu’avec le partage d’avec l’autre des sentiments et des goûts. Des lors il apparaît très clair que sans autrui il n’y aurait pas d’existence car l’homme est un être-avec et donc l’être-sans est

indépendant. Bodin écrira : « il faut que ceux-là qui sont souverains ne soient aucunement sujets aux commandements d’autrui », cette phrase exprime donc bien l’idée selon laquelle le souverain est indépendant et ainsi il peut exercer sa souveraineté comme il l’entend sans devoir se soumettre à un supérieur. Etant donné que Jean Bodin considère la capacité normative comme le critère essentiel de la souveraineté, intéressons nous à cette capacité normative du prince souverain de Bodin. L’auteur

le détail, la logique de cette problématique. Par exemple, à la question : "Faut-il désobéir aux lois ?" la réponse par "oui" ou "non" ne correspond pas à l'exercice attendu. Il faudra montrer pourquoi et dans quelles conditions l'homme est amené à obéir à des lois. Semblablement, il faudra s'interroger sur la nature des lois et se demander dans quel cas, et pour quelles raisons les hommes sont conduits à désobéir aux lois. Ainsi, la dissertation se présente comme un exercice de réflexion dialectique

sont injustes, même si leur respect entraîne la mort de quelqu’un par exemple. Si nous soutenons au contraire qu’on ne doit pas respecter les lois en toute occasion alors c’est que nous considérons qu’il est de notre devoir moral d’enfreindre certaines lois si elles s’avèrent être injustes. Je soutiendrai ici que nous ne devons pas respecter les lois en toute occasion. Pour ce faire, je présenterai l’argument de la distinction entre loi juste et loi injuste et apporterai une objection sur le

Est-il juste que Socrate ne s’évade pas? Depuis l’évolution de l’homme, les gens s’interrogent sur des discours philosophiques. La philosophie se résume, alors, à être un discours rationnel et critique partant principalement sur les problèmes humains fondamentaux, sur la société ainsi que sur le savoir afin de mieux orienter l’action individuelle et collective. La Grèce antique est traditionnellement considérée comme le berceau de la philosophie qui l’a répandu à l’empire romain puis dans toute

soi-même (indépendance d’esprit : penser par soi-même) * Aimer : Sentiment d’affection et d’attachement envers un être ou bien dans notre cas, un état qui désigne la possibilité d’action et de mouvement sans contraintes : La liberté. Désir => aspect de notre condition qui peut être jugé fâcheux. Il est aussi pourtant à la source de notre grandeur. * Arguments : POUR | CONTRE | -Car par définition

certaines personnes se sont opposées à cette violence. Nous ne pouvons-se résigner à être battu, frappé, blessé, malmené par un autre individu sans réagir, à accepter de subir la volonté de l’autre lorsque celle-ci nous offense ou offense autrui. La révolte peut être considérée comme un moyen de défense pour réaffirmer sa liberté et ses droits d’être humain. Il peut s’avérer que la révolte soit même parfois un devoir. Accepter l’avis des autres, le subir et s’y contraindre alors qu’on le désapprouve

quelque chose qui lui tenait à cœur, il préconise la non-violence ainsi que le désobéissance civile .Il est le premier à prêcher l’obéissance aux lois justes, ce qui n’est pas seulement un devoir juridique, mais aussi un devoir moral, mais il prône également qu’à l’inverse, chacun est moralement tenu de désobéir aux lois injustes. Il prône donc l’existence de deux catégories de lois : juste et injuste. Selon lui, une loi juste est une prescription établie par l’homme en conformité avec la loi morale

Critique de la raison pratique (1788). Le thème dominant est la liberté de l’Homme à choisir et à agir indépendamment. L’Homme pense être en proie à des désirs, qu’il ne peut combattre. Ceci le condamne à agir, sans pouvoir réagir. Or Kant propose une thèse à partir de l’extrait. Si l’Homme est contraint de se soumettre à quelque chose, c’est aussi parce qu’il peut le faire ou ne pas le faire. L’Homme est libre de choisir. Il n’est pas uniquement victime de ses désirs, agissant ainsi par pur instinct

judiciaire, qui distingue le juge des parties (victime et prévenu), pour que puisse être jugée une intention ou un acte ? C’est cette question qu’affronte Kant dans le texte qui nous est proposé. Dans un premier temps, nous verrons comment il décrit la conscience accompagnée de son juge intérieur, puis nous aborderons le problème de l’objectivité de ce juge intérieur. Enfin, nous examinerons la question de savoir qui peut se tenir derrière cette figure du juge. Kant se penche sur le fait d’être conscient