Développement Du Bancassurance

personnel et la commercialisation de nouveaux produits (monétique, bancassurance, factoring crédit à la consommation, gestion des actifs, leasing….) o Une politique de communication interne et externe qui vise à créer une image compatible avec le poids et la position de la BMCE sur le marché. o Réduction des coûts et exploitation des synergies du groupe o Augmentation de la sécurité des opérations et la maîtrise du risque o Développement d’une politique des ressources humaines efficaces pour répondre

V. LES PRODUITS : A. les cartes bancaires. B. les packs. C. les crédits. D. les produits d’épargne. E. le produit de capitalisation. F. le produit de prévoyance santé. G. le produit de prévoyance décès. CONCLUSION : REMERCIMENT Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît Opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont appris beaucoup de choses au cours du mois de juillet, et également à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de

ventes ou service de près de 6.6 millions de clients.Bank of africa est une société anonyme avec un capital de 2 milliards de dirhams, elle a constitué un portefeuille d’activités complémentaire autour des métiers de la finance : banque commercial (développement du commerce extérieur), banque d’affaire, assurance, services financiers spécialises, les activités de marché et de conseil. Elle octroie plus de 179 milliards de dirham de crédit et dispose plus de 213 milliards de dirham des dépôts clientèle

spécialisés présidés par le président directeur général ou un membre de la direction générale qui s’ajoutent aux organes de gouvernance et complètent le dispositif. Attijariwafa Bank affiche aujourd’hui comme vocation essentielle : servir le développement du pays ainsi que de créer de la valeur pour ces clients, ces actionnaires et ces collaborateurs. Quelles sont alors les raisons qui ont poussé à ce rapprochement ? Comment la fusion s’est elle déroulée ? SECTION 1 : Présentation Générale

traditionnelles : monétaires, obligataires, diversifiés, actions et à formule.Fondation crédit agricole pour le développement durableLa promotion des projets d’intérêt général· Le financement et l’assistance technique de structures à but non lucratif nationales et locales· Le renforcement des capacités et appui à la capitalisation des expériences· Le sensibilisation du grand public aux enjeux du développement rural durable· Le renforcement des capacités et la mise en réseau des acteurs locaux.GCAM DocLa gestion

retiens de ce stage. I) Présentation de l’entreprise 1.1/ Historique : 1925 : Ataturk crée la première assurance nationale fondé avec « Turkiye Is Bankasi » 1975 : Anadolu Sigorta fête son 50ème Anniversaire. 1986 : Bancassurance est une nouvelle succursale en Turquie 1987 : La branche Zirai ; une branche agricole commence à fonctionner 1991 : Création de « l’assurance vie » 1997 : Suite du tremblement de terre catastrophique du 17 Août 1999 l’entreprise a aider la population

utilisent un marché plus important avec le réseau bancaire. Pas de coût supplémentaire au niveau de l’implantation. Lorsqu’on achète un véhicule : crédit. Le banquier peut placer l’assurance en même temps que le financement auto. Le problème de la bancassurance est la formation du vendeur. Les leadeurs : AXA 10% du marché (1%) MACIF 9% (-1,9%) GAN 7% MAAF et MAIF 6% Allianz 6% GMF 5% GENERALI 5% MATMUT MMA ACM 3% PACIFICA Distribution Les canaux traditionnels Stratégie

| |4- La clôture du compte |15 | |Chapitre III : Les produits bancassurance et la monétique |16 | |Section 1 : La bancassurance |16 | |I- ADDAMANE CHAABI

fusion, d'absorption et de rapprochement que connaît le secteur de part le monde, car les banques vont devoir se livrer à une concurrence acharnée et féroce. C'est dans ce souci de mondialisation qu'apparaît le rôle essentiel pour la survie et le développement que joue le marketing bancaire. Au Maroc et pendant de nombreuses années, les banques sont restées à l'écart de toute dynamique stratégique. Cette absence de comportement stratégique trouve son explication dans la nature du système bancaire marocain

négligence et la notion de pari. Elle a été rejetée par le système juridique islamique, hormis les impératifs du développement économique. De même que, le pouvoir d’achat limité de certaines couches de la population qui considèrent l’assurance comme un produit de luxe, réservé aux marocains issus de la classe à revenu élevé, constituait en partie un véritable handicap au développement naturel du secteur. Pour toutes ces raisons, l’assurance, toutes branches confondues, totalement étrangère à la