Écholalie

annonce l’intériorisation du langage. Notons que par cette conception Vygotski remet en cause la théorie de Piaget. Pour ce dernier, le langage égocentrique est issu d’un processus intra-personnel, il n’a pas d’origine sociale. Il peut-être :  écholalie (répétition de mots pour le plaisir de parler)  monologue (le mot accompagne l’action, il est proche du « penser à haute voix »)  monologue collectif (l’enfant parle tout haut devant les autres, mais pour soi ; il n’y a pas de véritable échange

dans la confidence ➜ dans la confession ( religieux ) ➜ dans une cure psychanalytique 3 ) d’expression - Merleau Ponty : monde ” “ manière pour Homme de vivre & célébré le 4 ) magique & vertu incantatoire - chante le monde - chez les enfants = écholalie : ils répètent tout le temps la même chose à tel point qu’ils pensent la posséder. 5 ) esthétique - en poésie II . Le langage est-il une spécificité de l’Homme ? Communiquer ≠ exprimer - les animaux communiquent. ➜ Von Frisch = éthologue ( étudie

le comportement de leur fille soit trop inquiétant. Très vite, Sophie devient « muette » ou émet des phrases courtes, souvent interrogatives et répétitives, des écholalies. Elle pose les questions à de nombreuses reprises et sa maman lui répond à chaque fois sans perdre patience. Comme de nombreux autistes, Sophie fait des écholalies. Sophie est accueillie dans premier centre- internat vers lequel sont dirigés les enfants en difficulté scolaire. Lorsqu’on place Sophie, elle change de comportement

ce qui vient de l’extérieur. L’autisme de KANNER est reconnu de la façon suivante : - enfant trop sage avec intolérance massive au changement d’habitude - trouble du langage : parfois absence totale de langage et s’il existe « écholalie » (la personne reprend en écho les mots de l’interlocuteur) - trouble moteur : automutilations, attitudes de balancement, stéréotypies (tendance à conserver une même attitude ou à reproduire de façon successive un même mouvement

Les différentes formes de schizophrénie a) Référencées par le DSM-IV-TR Schizophrénie paranoïde : la plus fréquente, le délire et les hallucinations dominent. Schizophrénie catatonique : le patient semble figé, il s’enferme dans le mutisme ou écholalie. Schizophrénie désorganisée : discours et comportements désorganisés, affect abrasé/inapproprié. Schizophrénie indifférenciée : les symptômes sont présents sans qu’on puisse définir un type spécifique Schizophrénie résiduelle : pas de symptômes

L’enfant qui ne sourit pas peut être autiste ou arrière mental L’enfant de 3 à 4 semaines écoute sa mère avec admiration ferme et ouvre la bouche et à l’air intéresser par la conversation et vers 6 à 7 semaines va babiller. Ensuite les écholalies permettent les apparitions du petit langage, première étape et faite grâce à l’interaction de la maman. Vers 6 semaines, le bébé se met à sourire après trois si le bébé ne se met pas à sourire il faut s’inquiéter ; pour pouvoir le déceler au

sur le PPTLexique : · Mimiques  : Gestes et postures du visage · Echopraxie  : Répéter les gestes de l’autre Neurones miroirs · Echolalie  : Répéter les mots de l’autre · Echomimie  : Reproduire les mimiques de l’enfants · Autisme de haut niveau : Pas de déficience intellectuelle

besoin impérieux d’immuabilité de l’environnement avec des résistances aux changements. • Des troubles du langage : retard ou absence totale de langage. L’utilisation du langage, lorsqu’il apparaît, n’a pas de but communicatif et présente une écholalie* immédiate ou différée et/ou une inversion pronominale. • Des activités de jeu répétitives et stéréotypées. • Des réactions inhabituelles de frayeur envers des stimuli sonores. • Un manque d’imagination. • Une bonne mémoire mécanique. • Une

et logiques, qui renvoient à des paradoxes observables dans le discours et le comportement. Le discours est construit de manière illogique et étrange. - dimension hermétique (on ne comprend pas ce discours énigmatique, jeu avec des sonorités, écholalie, écho praxie…) - détachement de la réalité par rapport au comportement (repli autistique) et par rapport aussi au délire qui prend le pas sur l’appréhension de la réalité par le sujet. - ambivalence (pas névrotique) des cpt obs, attitude et

utilisation de la syntaxe et la difficulté dans la construction des phrases. La communication du schizophrène est constamment perturbée, il peut donner des réponses à côté (c’est le syndrome de Gauser) ou en écho (répétition de ce que l’on dit : écholalie). Le schizophrène utilise souvent dans sa communication une symbolique personnelle avec utilisation préférentielle de certains mots et assez souvent le sens global de sa communication nous échappe, il s’agit d’une communication hermétique. L’ensemble