Edit Caracalla

Sujet : Les Barbares contre l’Empire romain ? (Occident, IVe-VIIe siècles) En 476 on a pour habitude de considérer que Rome s’est effondré face aux Barbares. Pourtant, dans le contexte de l’époque, cet événement fut sans importance. Plus encore, derrière les clichés se trouve une réalité plus complexe : Odoacre, le chef barbare qui dépose l’empereur Romulus Augustule était déjà largement romanisé, né dans l’Empire de parents qui y avaient vécu (alors que la famille de Romulus faisait partie

On ne devient pas citoyen, on nait citoyen, c’est un système qui est complètement fermé, loi de Clistène « on a le statu athénien, pas d’usurpateur, pas de fraude ». A Rome, on a une ouverture de la citoyenneté, en 212 sous l’empereur Caracalla, cet édit accorde à tous les hommes libres la citoyenneté romaine. Le port de la toge est un signe d’intégration. Conclusion : On voit que être citoyen romain est une fonction qui est envié, elle sera accordé à tous en 212 et est un puissant moyen

2ème source du droit => édit du préteur. → Dans son édit, le prêteur énumérait les cas dans lesquels il allait organisé 1 procès. → EDP crée de nouveaux droits, protégeait les citoyens et reconnaissait 1 situation de fait qui méritait d'être protégée du droit. Donc le prêteur ne pouvait pas promulguer 1 nouvelle loi mais pouvait délivrer aux citoyens de nouveaux moyens de procédure. → EDP avait 1 catalogue d'action. Le prêteur n'est pas obligé de suivre son édit, peut décider autrement, mais

des institutions urbaine en Gaule C) l’importance des institutions romaines Urbanisation encouragées. La ville est un puissant vecteur d’institutions et un puissant relai du pouvoir, justice : état civil L’endroit ou l’empereur rend public ses édit qui s’appliquent sur l’intégralité de l’empire Un foyer culturel : les élites intellectuelles se retrouvent dans la ville, ainsi l’aristocratie. Elle ne tarde pas à se romaniser en se rapprochant le plus possible de la citoyenneté romaine. Un nœud

citoyens romains. Cette situation d’infériorité à peu à peu disparut par une politique d’assimilation dés Jules César en donnant la nationalité aux pérégrins qui faisaient le service militaire, à des groupes entiers. Cela aboutit en 212, l’empereur CARACALLA a décidé par une loi que tous les habitant de l’empire romain seraient citoyen romain. Dans les provinces romaines, il y avait les pro-préteurs (l’équivalent des préteurs). Dans les petites provinces, c’est les procurateurs (un peu comme l’administrateur

populations ne prenaient pas la nationalité romaine . L'aboutissement de ce mouvement va être l'édit de Caracalla . C] La citoyenneté universelle : Sénèque : conseiller de l'empereur Néron , sa vision intéressera aussi Marc Aurel . C'est bien cette idée de citoyenneté universelle qui est dans l'aire du temps . Cette idée va trouver son établissement dans la mesure de l'empereur Caracalla et de son édit . (212 après JC)Il va avoir l'idée de donner la citoyenneté à tous les habitants de l'empire romain

Loi des XII Tables Conquêtes : Italie, Bassin méditerranéen, Macédoine, Grèce, Asie Mineure, Espagne, Gaule narbonnaise Crise de la République Auguste empereur Principat Edite de Caracalla : tous les libres de l’Empire deviennent citoyens romains Dominat Edit de Milan : le christianisme est religion licite Edit de Thessalonique : le christianisme est religion d’Etat Partage de l’Empire romain Chute de Rome Code Théodosien Fin de l’Empire romain d’Occident Justinien 3 Platon, La République

droit d'intégrer de servir Rome, droit d'être magistrat. Les droits civils peuvent donc être acquis autrement que par naissance puisque ils peuvent être acquis par la puissance publique (État). 2°) L'évolution sous le bas Empire et l'édit de Caracalla (212) Cette constatation va pousser Rome à changer un pérégrin en citoyen romain (droit civil + droit politique). L'octroi, par l'État romain, de la citoyenneté romaine est très exceptionnel et individuel, au début de la République. Pendant l'Empire

romaine grâce à l’essor du droit latin (les magistrats accèdent à une citoyenneté romaine totale en sortie de charge) qui gagne la majeure partie de la moitié occidentale de l’Empire. La vraie révolution intervient en 212, quand l’empereur Caracalla accorde par un édit (constitution antonine) la citoyenneté à tous les hommes libres de l’Empire excepté aux deditices – étrangers appartenant à une tribu vaincue ou révoltée contre Rome, juste au-dessus d’un esclave. Désormais, même les plus modestes sont

Pimido La Tabula Banasitana, un exemple de diffusion de la citoyenneté romaine avant l’édit de Caracalla ( 212 ap. JC) PLAN DU COMMENTAIRE Introduction I ) La concession viritane, une procédure exceptionnelle a) une démarche individuelle relayée par le gouverneur b) qui sollicite le beneficium impérial c) et qui est extrêmement encadrée II )