Églogue

prologue est un essai des louanges de ce grand prince, qui donne entrée à la comédie du Malade imaginaire, dont le projet a été fait pour le délasser de ses nobles travaux. La décoration représente un lieu champêtre, et néanmoins fort agréable. ÉGLOGUE EN MUSIQUE ET EN DANSE FLORE, PAN, CLIMÈNE, DAPHNÉ, TIRCIS, DORILAS, DEUX ZÉPHIRS, TROUPE DE BERGÈRES ET DE BERGERS FLORE Quittez, quittez vos troupeaux, Venez Bergers, venez Bergères, Accourez, accourez sous ces tendres ormeaux; Je viens vous annoncer

montagne, tiré des Feuilles d'automne, et Mazeppa, tiré des Orientales. Mélodies De nombreux compositeurs ont mis en musique des poèmes de Victor Hugo : Gounod (Sérénade), Bizet (Guitare ; Les Adieux de l'hôtesse arabe), Lalo (Guitare), Delibes (Églogue), Jules Massenet (Soleils couchants), Franck (S'il est un charmant gazon), Fauré (Le Papillon et la Fleur ; L'Absent ; Puisqu'ici bas), Wagner (L'Attente), Liszt (Ô quand je dors ; Comment, disaient-ils), Saint-Saëns (Soirée en mer ; La Fiancée du

divin Hasard, Où l’auguste Vertu, ton épouse encor vierge, Où le Repentir même (oh ! la dernière auberge !), Où tout te dira : Meurs, vieux lâche ! il est trop tard ! » 112Tableaux parisiens 113LXXXVI Paysage Je veux, pour composer chastement mes églogues, Coucher auprès du ciel, comme les astrologues, Et, voisin des clochers, écouter en rêvant Leurs hymnes solennels emportés par le vent. Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde, Je verrai l’atelier qui chante et qui bavarde ; Les tuyaux,

Hasard, Où l'auguste Vertu, ton épouse encor vierge, Où le Repentir même (oh ! la dernière auberge !), Où tout te dira Meurs, vieux lâche ! il est trop tard ! » 83 TABLEAUX PARISIENS LXXXVI - PAYSAGE Je veux, pour composer chastement mes églogues, Coucher auprès du ciel, comme les astrologues, Et, voisin des clochers écouter en rêvant Leurs hymnes solennels emportés par le vent. Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde, Je verrai l'atelier qui chante et qui bavarde; Les tuyaux, les

Meurs, vieux lâche ! il est trop tard ! » Collections 110 Litteratura.com Les Fleurs du Mal TABLEAUX PARISIENS Collections 111 Litteratura.com Tableaux Parisiens LXXXVI PAYSAGE Je veux, pour composer chastement mes églogues, Coucher auprès du ciel, comme les astrologues, Et, voisin des clochers écouter en rêvant Leurs hymnes solennels emportés par le vent. Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde, Je verrai l’atelier qui chante et qui bavarde ; Les tuyaux, les

le divin Hasard, Où l‘auguste Vertu, ton épouse encor vierge, Où le Repentir même (oh! la dernière auberge!), Où tout te dira Meurs, vieux lâche! il est trop tard!»  ableaux arisienne Paysage Je veux, pour composer chastement mes églogues, Coucher auprès du ciel, comme les astrologues, Et, voisin des clochers écouter en rêvant Leurs hymnes solennels emportés par le vent. Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde, Je verrai l‘atelier qui chante et qui bavarde; Les tuyaux, les

l'heure où le divin Hasard, Où l'auguste Vertu, ton épouse encor vierge, Où le Repentir même (oh! la dernière auberge!), Où tout te dira Meurs, vieux lâche! il est trop tard! TABLEAUX PARISIENS LXXXVI. Paysage Je veux, pour composer chastement mes églogues, Coucher auprès du ciel, comme les astrologues, Et, voisin des clochers écouter en rêvant Leurs hymnes solennels emportés par le vent. Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde, Je verrai l'atelier qui chante et qui bavarde ; Les tuyaux, les

évaluant le phénomène de réécriture dont ils procèdent. . L’intertextualité appliquée au mythe d’Orphée Corpus : Texte A : Virgile, Géorgiques, 29 av.J.-C. Texte B : Ronsard, « L’Orphée en forme d’élégie », Les Quatre saisons de l’an, avec une églogue, 1563. Texte C : Rilke, Sonnets à Orphée, 1922. Texte D : Cocteau, Orphée, « Tragédie en un acte et un intervalle », 1926. Intertextualité 22 Séquence 8 – FR10 © Cned – Académie en ligne Séquence 8 – FR10 23 © Cned – Académie en ligne Texte

Quelques mots à un autre XXVII. XXVIII. XXIX.  Halte en marchant LIVRE DEUXIÈME  L’ÂME EN FLEUR I.  Premier Mai II. III.  Le rouet d’Omphale IV.  Chanson V.  Hier au soir VI.  Lettre VII. VIII. IX.  En écoutant les oiseaux X. XI. XII.  Églogue XIII. XIV.  Billet du matin XV.  Paroles dans l’ombre XVI. XVII.  Sous les arbres XVIII. XIX.  N’envions rien XX.  Il fait froid XXI. XXII. XXIII.  Après l’hiver XXIV. XXV. XXVI.  Crépuscule XXVII.  La nichée sous le portail XXVIII

...................................94 X.................................................................................................96 XI. .............................................................................................. 97 XII. Églogue ..............................................................................99 XIII. ..........................................................................................101 XIV. Billet du matin.............................................