Einstein Induction Et Déduction En Physique

dans l’intention de tromper son interlocuteur. On ne peut mentir sans connaître la vérité. II) La critique de l’idéal démonstratif a) Le problème de l’induction Au sens strict du terme, une « démonstration » est une preuve basée sur une déduction logique, cad sur un enchaînement de propositions autorisé par des règles logiques. On trouve des démonstrations véritables en mathématique. La question est de savoir s’il en existe ailleurs. ⎝ Le cas des sciences qui portent sur les faits matériels

qui nous sommes trompés. Il existe en effet des cas où nous faisons fausse route. La vérité qui est liée au réel est de deux types : - La vérité logique (ou mathématique) ne concerne que la validité d'une proposition. - La vérité empirique (de la physique ou des sciences naturelles) fait référence aux phénomènes. (Cf. Manuel pages 291 et 292 où Hume et Kant disent la même chose en beaucoup de mots). Examinons chacune d'elle tour à tour. LA VÉRITÉ LOGIQUE Revenons à notre exemple où nous demandons

collectifs par “ le dedans ” au lieu “ du dehors ” et d’atteindre des explications sociologiques. • CAUSALITE : en sciences physiques et naturelles, elle correspond au principe suivant lequel tout a une cause et dans les mêmes conditions les mêmes causes produisent les mêmes effets. La notion est apparue comme fondamentale pour distinguer les sciences humaines des sciences physiques (E. Durkheim, M. Weber, etc.). Abandonnant la recherche d’un facteur clé explicatif (géographique, psychologique, etc),

la géométrie qui soient entièrement exemptes de fausseté ou d’incertitude, pour en donner la raison exacte, remarquons que nous arrivons à la connoissance des choses par deux voies, c’est à savoir, l’expérience et la déduction. De plus, l’expérience est souvent trompeuse ; la déduction, au contraire, ou l’opération par laquelle on infère une chose d’une autre, peut ne pas se faire, si on ne l’aperçoit pas, mais n’est jamais mal faite, même par l’esprit le moins accoutumé à raisonner. Cette opération

rapport sensible et intuitif : réceptivité Cette expérience implique une spontanéité. Nous avons des sensations, divers impression de choses d'événements qui nous touche... Exemple : percevoir Sensation d'entendre un violon, c'est un choc physique qui m'atteint par les sens. L’expérience suppose un jugement. Nous sommes donc ouvert vers le monde. L'expérience suppose l'activité et la passivité Ce qui apparaît c'est l'apparition des choses, résultat conjoint du réel C'est la subjectivité

question, il repond a la question ce qui est beau et non ce qu'est le beau ? Socrate : la beaute des choses est relative, pas au sens de subjectif, mais relatif au sens (qualitatif ?) Ou est le principe du beau ? On vit dans un monde sensible/physique. Mais on ne sait pas de quoi on parle, car on ne sait pas ce que c'est l'essence du beau. Dialogue Aporitique entre Hippias et Socrate. (qui n'a pas de solutions a la fin). Qu-est ce qui fait que la chaise existe ? C'est son concept qui existe

Construction du plan a. Théorie Le plan d’une dissertation de philosophie est la méthode rationnelle permettant de résoudre un problème. Il est proche du raisonnement démonstratif, bien qu’il soit constitué d’une argumentation plutôt que d’une suite de déductions. La notion de rationalité est ici capitale. Il s’agit d’élaborer une stratégie, de mettre en place un plan d’action, de mettre à plat les étapes logiques du raisonnement afin de convaincre le lecteur de la validité d’une thèse. Si bien que dans

science (sans que les deux soient confondues). La science se compose d'un ensemble de disciplines particulières dont chacune porte sur un domaine particulier du savoir scientifique. Il s'agit par exemple des mathématiques3, de la chimie, de la physique, de la biologie, de la mécanique, de l'optique, de la pharmacie, de l'astronomie, de l'archéologie, de l'économie, de la sociologie, etc. Cette catégorisation n'est ni fixe, ni unique, et les disciplines scientifiques peuvent elles-mêmes être découpées

compte (2x+2x =4x, où x peut représenter n'importe quoi). C'est aussi une proposition nécessaire, elle ne peut pas être fausse. Dans aucun monde possible 2+2 ne peut être différent de 4. De même toutes les propositions de la logique et certaines de la physique. Second exemple: Kant reprend celui de la section 1: tout changement a une cause. Ce jugement est universel, il est impossible d'imaginer une objection. Il est vrai par définition. Il signifie qu'il n'y a pas d'effet sans cause. Or le concept de

non-recouvrement, les propositions scientifiques doivent rester compatibles avec toutes les positions religieuses qui cherchent à donner du sens à l'univers (sauf celles qui violent elles-mêmes la démarcation). Albert Einstein et Paul Dirac utilisent le concept de Dieu en commentant la physique quantique, mais les résultats qu'ils établissent ne dépendent pas de son existence. Histoire Au sein du christianisme, le procès de Galilée, en 1633, marque le divorce de la pensée scientifique et de la pensée