Eloge De La Fable

Le corpus est composé de 4 textes, le premier est une fable de La Fontaine écrite en 1693 qui se nomme Le philosophe Scythe, le second est un extrait de Rêveries du promeneur solitaire que Rousseau écrivit entre 1776 et 1778 cette partie se nomme « Cinquième Promenade ». Ensuite nous avons un extrait de Pensées écrit par Pascal en 1670 et enfin nous avons le poème Le Mondain qui fut écrit par Voltaire en 1736. Chacun de ses 4 textes traitent du bonheur et surtout de quoi celui-ci dépend t-il c'est

Le songe d'un habitant du mogol Comment cette fable se distingue-t-elle des fables traditionnelles? La fable est un récit dans lequel la narration, appelée "corps" et la moralité appelée "âme" ont tendance à se fondre pour opérer une synthèse du plaisir et du savoir. La moralité peut être exprimée clairement : on la dit "explicit" ; elle peut demander au lecteur de déchiffrer lui-même le sens du récit : on la dit alors "implicite". La fable remonte à l'Antiquité Grecque, elle appartient au

Les membres et l’estomac, De Jean De La Fontaine. AXE 1: Les qualités de l’apologue (qualités typiques) 1. Se baser sur une tradition (elle est double ici, tradition de la fable/ tradition de son efficacité dans l’histoire). Ce qui confère une sorte d’épaisseur à l’argumentation par quelque traits d’universalité. 2. Se baser sur la fiction et l’intérêt que suscite la fiction: elle plait parce qu’elle propose une projection dans l’imaginaire (les parties du corps deviennent autonomes, son

une fable, intitulée « Le pouvoir des fables », à Monsieur de Barillon, ambassadeur de France en Angleterre, dans laquelle il dramatise les bienfaits du genre littéraire lui-même. Il s'agit en effet pour le fabuliste de s'appuyer sur la dimension réflexive de l'apologue pour vanter la supériorité et l'efficacité de la fable sur les longs et ennuyeux discours. Problématique : Nous nous intéresserons donc à la façon dont la dimension spéculaire du texte opère pour proposer un véritable éloge de

instruire les hommes. » La Fontaine s’est inspiré d’une fable d’Esope, écrivain grec du VIè siècle avant JC pour rédiger Le Chêne et le Roseau. Comment La Fontaine fait-il une satire de ses contemporains dans cette fable ? Nous verrons dans un premier paragraphe l’opposition entre les discours des deux personnages antithétiques et anthropomorphiques et dans un second temps, nous nous plongerons sur le dégagement de la morale. Dans cette fable, La Fontaine oppose deux personnages différents, le

aussi le public mondain et cultivé. En quoi La Fontaine renouvelle-t-il le genre de la fable ? 1 Le genre de la fable - « Fables choisies, mises en vers par M. de La Fontaine » : par ce titre modeste, le poète se présente comme le continuateur des fabulistes anciens, Esope et Phèdre. - « L’apologue, dit-il dans la Préface de 1668, est composé de deux parties… Le corps est la fable, l’âme la moralité. » Dédiant au Dauphin son Premier Recueil composé pour les enfants, La

l’hémistiche antithétique qui marque bien l’opposition. Pour finir, le chêne éprouve de la compassion envers le roseau. Cette compassion paraît hypocrite, moqueuse. Au vers 14, il propose ses services au roseau, mais ne peut rien faire. Il fait son propre éloge Le dialogue du chêne montre donc en lui un désir de domination, d’écrasement, avec tout de même de la compassion pour le roseau, qui lui répond alors. A partir du vers 18 jusqu’au vers 24, c’est au tour du roseau de parler, de répondre aux phrases

adresse une fable, intitulée « Le pouvoir des fables », à Monsieur de Barillon, ambassadeur de France en Angleterre, dans laquelle il dramatise les bienfaits du genre littéraire lui-même. Il s'agit en effet pour le fabuliste de s'appuyer sur la dimension réflexive de l'apologue pour vanter la supériorité et l'efficacité de la fable sur les longs et ennuyeux discours. Nous nous intéresserons donc à la façon dont la dimension spéculaire du texte opère pour proposer un véritable éloge de ce genre profondément

La Fontaine donne ses lettres de noblesse à la fable, genre datant de l’antiquité grecque et méprisé car peu prestigieux. Il s’inscrit dans la volonté moraliste du classicisme, courant majeur sous Louis XIV, tout en veillant à divertir son lecteur. Le premier recueil de ses Fables, qui regroupe les livre I à VI, est écrit à l’intention du Dauphin alors âgé de 6 ans. Publié en 1668, il rencontre un très grand succès. Bien que la plupart des fables qu’il contient mettent en scène des animaux et sont

partie de ses idées. Enfin, sa morale constitue un des piliers de ses fables, même quand celle-ci n’est explicitée. Le caractère très austère de la fable Le chêne et le roseau vient du fait qu’elle ait été écrite dans le 1er livre, sa période de fable égayée n’intervenant qu’après. Annonce des axes de lecture La Fontaine nous entretient ici d’une fable à morale implicite. Le Chêne et le Roseau font office de 2 personnages opposés, le fort face au faible. Mais ici, La Fontaine renverse les rôles